Depuis le mercredi 12 mars, le gouvernement ivoirien a subi un réaménagement technique qui touche deux ministères que sont : l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique et la Fonction Publique et la Reforme Administrative.
Ainsi donc, Cissé Bacongo et Gnamien Konan nommés respectivement Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme administrative et Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, échangeront, ce mercredi 19 mars, leurs dossiers respectifs au cours d’une cérémonie de passation de charges.
Assurément de part et d’autre de ces ministères, un bilan s’impose. Pour ce qui concerne Cissé Bacongo, après 8 années passées à la tête du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, celui qui était surnommé le "père du Départ nouveau" ou encore le "bâtisseur" en raison de sa présence très remarquée sur les chantiers de réhabilitation, dont ceux des cités universitaires en cours de finition, laisse ainsi des acquis mais également des défis que devront s’employer à relever son successeur.
Il s’agit, entre autres, de : l’érection des URES de Daloa et Korhogo en Universités de plein exercice, la maîtrise des effectifs dans les universités et grandes écoles par l’institution de la préinscription en ligne, l’amélioration des curricula par l’instauration du système LMD, l’interconnexion des universités pour l’amélioration du taux d’encadrement des étudiants, la suppression du tronc commun en filière des sciences de la santé, l’augmentation de la prime de recherche, la mise en place du programme d’appui stratégique à la recherche scientifique, l’assainissement du sous secteur enseignement supérieur privé, l’appui à la création de l’union patronale de l’enseignement supérieur privé, l’homologation des diplômes post BTS, etc.
Quant au Ministre Gnamien Konan il lègue à son successeur des diligences au nombre desquelles : le recensement des fonctionnaires, l’adoption du SIGFAE qui constitue un outil de transparence et de bonne gouvernance, le lourd dossier ENA, le reclassement des cadres de l’administration publique, etc.
En outre, il devra poursuivre le démarrage des travaux d’extension de Daloa et Korhogo, le démarrage des travaux de construction des nouvelles universités, la réalisation du pôle économique sur le site de l’UFHB, la finalisation de la bancarisation des bourses qui permettra de venir à bout des retards observés dans le paiement, la réalisation du projet 1 enseignant/1 ordinateur lancé dans le cadre du renforcement des capacités des enseignants, etc.
L’administration étant une continuité, nous ne pouvons que souhaiter à ces deux Ministres d’être à la hauteur des nouvelles missions à eux confiées par le Chef de l’Etat.
Ainsi donc, Cissé Bacongo et Gnamien Konan nommés respectivement Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme administrative et Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, échangeront, ce mercredi 19 mars, leurs dossiers respectifs au cours d’une cérémonie de passation de charges.
Assurément de part et d’autre de ces ministères, un bilan s’impose. Pour ce qui concerne Cissé Bacongo, après 8 années passées à la tête du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, celui qui était surnommé le "père du Départ nouveau" ou encore le "bâtisseur" en raison de sa présence très remarquée sur les chantiers de réhabilitation, dont ceux des cités universitaires en cours de finition, laisse ainsi des acquis mais également des défis que devront s’employer à relever son successeur.
Il s’agit, entre autres, de : l’érection des URES de Daloa et Korhogo en Universités de plein exercice, la maîtrise des effectifs dans les universités et grandes écoles par l’institution de la préinscription en ligne, l’amélioration des curricula par l’instauration du système LMD, l’interconnexion des universités pour l’amélioration du taux d’encadrement des étudiants, la suppression du tronc commun en filière des sciences de la santé, l’augmentation de la prime de recherche, la mise en place du programme d’appui stratégique à la recherche scientifique, l’assainissement du sous secteur enseignement supérieur privé, l’appui à la création de l’union patronale de l’enseignement supérieur privé, l’homologation des diplômes post BTS, etc.
Quant au Ministre Gnamien Konan il lègue à son successeur des diligences au nombre desquelles : le recensement des fonctionnaires, l’adoption du SIGFAE qui constitue un outil de transparence et de bonne gouvernance, le lourd dossier ENA, le reclassement des cadres de l’administration publique, etc.
En outre, il devra poursuivre le démarrage des travaux d’extension de Daloa et Korhogo, le démarrage des travaux de construction des nouvelles universités, la réalisation du pôle économique sur le site de l’UFHB, la finalisation de la bancarisation des bourses qui permettra de venir à bout des retards observés dans le paiement, la réalisation du projet 1 enseignant/1 ordinateur lancé dans le cadre du renforcement des capacités des enseignants, etc.
L’administration étant une continuité, nous ne pouvons que souhaiter à ces deux Ministres d’être à la hauteur des nouvelles missions à eux confiées par le Chef de l’Etat.