Dans le cadre du presse club de l’UNJCI (Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire), ce mardi 25 Mars 2014 à la Maison de presse au Plateau, le Président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Monsieur Jean Kacou DIAGOU a fait le tour de l’actualité économique nationale et donner les grandes lignes de la feuille de route de son organisation.
Cette rencontre, en prélude du 3ème forum ‘‘CGECI ACADEMY 2014’’ qui se tiendra les 25 et 26 Avril à l’Hôtel Ivoire avec pour thème Un entrepreneur un Projet’’ a abordé les questions liées à l’entreprenariat en Côte d’Ivoire. Notamment, la place pour les opérateurs économiques ivoiriens dans les grands projets d’infrastructure telle le PND.
Dans son bref discours introductif, la présidente de l’Unjci , Abiba Dembelé a notamment rappelé que le Président DIAGOU est un modèle de réussite à enseigner aux générations actuelles.
Interlocuteur privilégié du gouvernement et des organisations syndicales de Côte d’Ivoire, la CGECI a décidé de s’impliquer d’avantage dans le développement du pays pour en faire un leader régional. A ainsi entamé Monsieur Diagou. Avant de se poser la question suivante : « Notre projet Côte d’Ivoire 2040 a inspiré le PND. Alors on est en droit de se demander quel est la part des ivoiriens dans ce plan de développement ? » . Selon lui, Il y a 3 ans le forum CGECI ACADEMY a été créé sur le constat selon lequel, il existe très peu d’entreprises réellement ivoiriennes. Parce que l’esprit d’entreprendre n’est pas le lot le plus partagé en Côte d’Ivoire. C’est une mentalité francophone, alors que les pays voisin tel que le Ghana pullulent d’entrepreneurs.
« Cette année nous avons décidé de donner du concret. Les grands projets demandent des grosses sommes aux entreprises qui postulent et nos entreprises n’ont pas ces fonds. Alors les projets de développement vont-ils se faire sans les entreprises ivoiriennes ? Nous avons commis des experts pour recenser toutes les opportunités d’affaires que peuvent engendrer le plan de développement de la Cote d’Ivoire. Les spécialistes ont recensé tous les projets qui peuvent accompagner les grands projets et l’édition CGECI ACADEMY DE 2014 sera le lieu où les entrepreneurs ivoiriens sauront tous sur les opportunités que leur offrent les grands projets de la Côte d’Ivoire. Les Hommes d’affaires sauront dans quel domaine et comment peuvent-ils participer à ce plan national de développement. Il y a de petit projets qui accompagne les grands, auxquels les ivoiriens peuvent participer et la presse doit nous accompagner dans cette œuvre qui profite au ivoiriens. » A insisté monsieur DIAGOU.
Le président de la CGECI a profité des échanges avec la presse pour dénoncer la pression fiscale que supportent les entreprises ivoiriennes de même que l’inertie du pouvoir à dédommager les entreprises sinistrées lors de la crise postélectorale. Quand au code du travail, il l’a estimé pénalisant pour les investisseurs. « La rigidité du système ne facilite pas la tâche des entreprises ». A-t-il dit.
Pour le président de la CGECI, la Côte d’Ivoire a entamé un second souffle de développement. Le patronat aurait pu rester dans son rôle de défenseur des intérêts de ces membres, mais il en est sortir pour inculquer l’entreprenariat aux ivoiriens, une étape importante pour l’atteinte de l’émergence dans un délai raisonnable. A la Presse, M. Diagou a demandé son concours pour la vulgarisation de cette initiative CGECI ACADEMY qui participe à l’éclosion de l’esprit d’entreprenariat des ivoiriens. Monsieur Jean Kacou Diagou a rappelé que la CGECI contribue à 85% à la recette fiscale de la Côte d’Ivoire, avec plus 1000 entreprises du secteur moderne du pays.
Cette rencontre, en prélude du 3ème forum ‘‘CGECI ACADEMY 2014’’ qui se tiendra les 25 et 26 Avril à l’Hôtel Ivoire avec pour thème Un entrepreneur un Projet’’ a abordé les questions liées à l’entreprenariat en Côte d’Ivoire. Notamment, la place pour les opérateurs économiques ivoiriens dans les grands projets d’infrastructure telle le PND.
Dans son bref discours introductif, la présidente de l’Unjci , Abiba Dembelé a notamment rappelé que le Président DIAGOU est un modèle de réussite à enseigner aux générations actuelles.
Interlocuteur privilégié du gouvernement et des organisations syndicales de Côte d’Ivoire, la CGECI a décidé de s’impliquer d’avantage dans le développement du pays pour en faire un leader régional. A ainsi entamé Monsieur Diagou. Avant de se poser la question suivante : « Notre projet Côte d’Ivoire 2040 a inspiré le PND. Alors on est en droit de se demander quel est la part des ivoiriens dans ce plan de développement ? » . Selon lui, Il y a 3 ans le forum CGECI ACADEMY a été créé sur le constat selon lequel, il existe très peu d’entreprises réellement ivoiriennes. Parce que l’esprit d’entreprendre n’est pas le lot le plus partagé en Côte d’Ivoire. C’est une mentalité francophone, alors que les pays voisin tel que le Ghana pullulent d’entrepreneurs.
« Cette année nous avons décidé de donner du concret. Les grands projets demandent des grosses sommes aux entreprises qui postulent et nos entreprises n’ont pas ces fonds. Alors les projets de développement vont-ils se faire sans les entreprises ivoiriennes ? Nous avons commis des experts pour recenser toutes les opportunités d’affaires que peuvent engendrer le plan de développement de la Cote d’Ivoire. Les spécialistes ont recensé tous les projets qui peuvent accompagner les grands projets et l’édition CGECI ACADEMY DE 2014 sera le lieu où les entrepreneurs ivoiriens sauront tous sur les opportunités que leur offrent les grands projets de la Côte d’Ivoire. Les Hommes d’affaires sauront dans quel domaine et comment peuvent-ils participer à ce plan national de développement. Il y a de petit projets qui accompagne les grands, auxquels les ivoiriens peuvent participer et la presse doit nous accompagner dans cette œuvre qui profite au ivoiriens. » A insisté monsieur DIAGOU.
Le président de la CGECI a profité des échanges avec la presse pour dénoncer la pression fiscale que supportent les entreprises ivoiriennes de même que l’inertie du pouvoir à dédommager les entreprises sinistrées lors de la crise postélectorale. Quand au code du travail, il l’a estimé pénalisant pour les investisseurs. « La rigidité du système ne facilite pas la tâche des entreprises ». A-t-il dit.
Pour le président de la CGECI, la Côte d’Ivoire a entamé un second souffle de développement. Le patronat aurait pu rester dans son rôle de défenseur des intérêts de ces membres, mais il en est sortir pour inculquer l’entreprenariat aux ivoiriens, une étape importante pour l’atteinte de l’émergence dans un délai raisonnable. A la Presse, M. Diagou a demandé son concours pour la vulgarisation de cette initiative CGECI ACADEMY qui participe à l’éclosion de l’esprit d’entreprenariat des ivoiriens. Monsieur Jean Kacou Diagou a rappelé que la CGECI contribue à 85% à la recette fiscale de la Côte d’Ivoire, avec plus 1000 entreprises du secteur moderne du pays.