Profitant de la rentrée officielle de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (APBEF-CI) le mercredi 2 avril 2014, à son siège au Plateau, dont le thème était : « un citoyen, un compte bancaire », le président Souleymane Diarrassouba président a fait le bilan de l’exercice 2013.
Selon Souleymane Diarrassouba, dressant le bilan du secteur bancaire à fin 2013, « les perspectives de croissance vigoureuse de l’économie nationale en 2014 dépendent partiellement d’un investissement privé accru. Les financements accordés par les établissements de crédits aux entreprises privées en 2013 ont connu une forte évolution, avec 446 milliards de FCFA de plus que l’année précédente, représentant à fin 2013, 78% des concours octroyés par les banques à leurs clients. Cette tendance va se poursuivre». Selon le premier responsable de l’APBEF-CI, ‘’en 2013, les crédits accordés par les banques ont augmenté de 23% avec une hausse en volume de 550 milliards de FCFA. Les prêts constituant plus de 99% des emplois clientèle octroyés par l’ensemble des établissements de crédits’’. Souleymane Diarrassouba, estime que l’industrie bancaire a fortement contribué aux performances macroéconomiques de la Côte d’Ivoire en 2013, comme cela a été relevé par le FMI. Que les Crédits à long terme, auxquels recourent les entreprises pour financer leurs investissements, ont connu au cours de l’année passée, leur plus forte hausse. Plus de 40% par rapport à 2012, gagnant ainsi près de 43 milliards de FCFA supplémentaires. « C’est là, la matérialité de l’accompagnement que le secteur bancaire apporte au financement des investissements productifs et à la promotion immobilière dans notre pays. L’assouplissement par la BCEAO des règles prudentielles, notamment le ratio de transformation à fin 2012, a permis aux banques d’augmenter leurs concours à court et surtout à moyen et long termes de 236 milliards de FCFA », a fait remarquer Souleymane Diarrassouba. Qui a précisé que le marché bancaire reste dépendant des dépôts des ‘’institutionnels’’ et des entreprises avec 236 milliards de ressources additionnelles. Comme avantages, la bancarisation permet, l’accès des populations démunies aux services financiers, afin de réduire la pauvreté, une large collecte de l’épargne et surtout le développement de la clientèle de particulier, qui se présente comme une double opportunité pour les banques à fin collecter massivement des ressources et de minimiser le risque.
Dosso Villard
Selon Souleymane Diarrassouba, dressant le bilan du secteur bancaire à fin 2013, « les perspectives de croissance vigoureuse de l’économie nationale en 2014 dépendent partiellement d’un investissement privé accru. Les financements accordés par les établissements de crédits aux entreprises privées en 2013 ont connu une forte évolution, avec 446 milliards de FCFA de plus que l’année précédente, représentant à fin 2013, 78% des concours octroyés par les banques à leurs clients. Cette tendance va se poursuivre». Selon le premier responsable de l’APBEF-CI, ‘’en 2013, les crédits accordés par les banques ont augmenté de 23% avec une hausse en volume de 550 milliards de FCFA. Les prêts constituant plus de 99% des emplois clientèle octroyés par l’ensemble des établissements de crédits’’. Souleymane Diarrassouba, estime que l’industrie bancaire a fortement contribué aux performances macroéconomiques de la Côte d’Ivoire en 2013, comme cela a été relevé par le FMI. Que les Crédits à long terme, auxquels recourent les entreprises pour financer leurs investissements, ont connu au cours de l’année passée, leur plus forte hausse. Plus de 40% par rapport à 2012, gagnant ainsi près de 43 milliards de FCFA supplémentaires. « C’est là, la matérialité de l’accompagnement que le secteur bancaire apporte au financement des investissements productifs et à la promotion immobilière dans notre pays. L’assouplissement par la BCEAO des règles prudentielles, notamment le ratio de transformation à fin 2012, a permis aux banques d’augmenter leurs concours à court et surtout à moyen et long termes de 236 milliards de FCFA », a fait remarquer Souleymane Diarrassouba. Qui a précisé que le marché bancaire reste dépendant des dépôts des ‘’institutionnels’’ et des entreprises avec 236 milliards de ressources additionnelles. Comme avantages, la bancarisation permet, l’accès des populations démunies aux services financiers, afin de réduire la pauvreté, une large collecte de l’épargne et surtout le développement de la clientèle de particulier, qui se présente comme une double opportunité pour les banques à fin collecter massivement des ressources et de minimiser le risque.
Dosso Villard
