La Représentante spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire et Chef de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Aïchatou Mindaoudou, s’est réjouie, mercredi soir, de la décision prise par le gouvernement de réformer la Commission Electorale Indépendante (CEI).
« J’ai réaffirmé l’importance que les Nations Unies accordaient au processus électoral », a indiqué Mme Mindaoudou au terme d’une rencontre avec le Ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko.
Elle a souhaité, par ailleurs selon une note d’information de la mission onusienne transmise à APA , « qu’un mécanisme crédible inclusif et transparent soit mis en place pour permettre l’organisation, en Côte d’Ivoire, d’un scrutin présidentiel libre, crédible et régulier qui se déroulera dans le calme ».
Évoquant le dialogue politique, Mme Mindaoudou, a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à accompagner les Ivoiriens dans ce processus.
«Nous souhaitons que Mme la Représentante spéciale continue de s’impliquer dans le rapprochement entre le gouvernement et l’opposition », a pour sa part déclaré le Ministre Hamed Bakayoko, soulignant la nécessité pour les Ivoiriens de se parler.
« Nous ne pourrons jamais faire l’économie du dialogue. Tôt ou tard, il faudrait que nous nous rencontrions. Nous sommes condamnés à nous parler. Je pense que la Représentante spéciale fait bien d’apaiser les uns les autres. Le gouvernement reste ouvert au dialogue », a-t-il fait savoir.
Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, en Conseil des ministres un projet de loi portant sur la réforme de la CEI. La Commission centrale de cette institution passe de 31 à 13 membres.
Elle se compose d’un représentant du Président de la République, d’un représentant du ministre de l’intérieur et de la sécurité, d’un représentant du ministre de l’économie et des finances, d’un magistrat désigné par le Conseil supérieur de la magistrature.
La CEI « reformée » comprend également trois représentants de la société civile dont deux religieux, trois représentants du parti au pouvoir et trois représentants de l’opposition.
LS/APA
« J’ai réaffirmé l’importance que les Nations Unies accordaient au processus électoral », a indiqué Mme Mindaoudou au terme d’une rencontre avec le Ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko.
Elle a souhaité, par ailleurs selon une note d’information de la mission onusienne transmise à APA , « qu’un mécanisme crédible inclusif et transparent soit mis en place pour permettre l’organisation, en Côte d’Ivoire, d’un scrutin présidentiel libre, crédible et régulier qui se déroulera dans le calme ».
Évoquant le dialogue politique, Mme Mindaoudou, a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à accompagner les Ivoiriens dans ce processus.
«Nous souhaitons que Mme la Représentante spéciale continue de s’impliquer dans le rapprochement entre le gouvernement et l’opposition », a pour sa part déclaré le Ministre Hamed Bakayoko, soulignant la nécessité pour les Ivoiriens de se parler.
« Nous ne pourrons jamais faire l’économie du dialogue. Tôt ou tard, il faudrait que nous nous rencontrions. Nous sommes condamnés à nous parler. Je pense que la Représentante spéciale fait bien d’apaiser les uns les autres. Le gouvernement reste ouvert au dialogue », a-t-il fait savoir.
Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, en Conseil des ministres un projet de loi portant sur la réforme de la CEI. La Commission centrale de cette institution passe de 31 à 13 membres.
Elle se compose d’un représentant du Président de la République, d’un représentant du ministre de l’intérieur et de la sécurité, d’un représentant du ministre de l’économie et des finances, d’un magistrat désigné par le Conseil supérieur de la magistrature.
La CEI « reformée » comprend également trois représentants de la société civile dont deux religieux, trois représentants du parti au pouvoir et trois représentants de l’opposition.
LS/APA