Abidjan- L’Union nationale des journalisteS de Côte d’Ivoire (UNJCI) tient une assemblée générale ordinaire, le 10 mai, selon sa présidente intérimaire, HAbiba Dembélé Sahouet, qui en a fait l’annonce, jeudi, au cours d’une visite à l’Agence ivoirienne de presse (AIP).
"Nous sommes venus vous informer de la tenue à mi-mandat de l’assemblée générale ordinaire, qui aura lieu le 10 mai. Cette AGO qui devait se tenir un peu plus tôt a été retardée en raison de la crise qu’a connue l’UNJCI", a fait savoir HAbiba Dembélé, faisant allusion à la "mise en congé" du président élu, Traoré Moussa, dans l’affaire de tentative présumée de corruption du journaliste Assalé Tiémoko.
Cette mesure a valu à Traoré Moussa le retrait, pour six mois, de sa carte d’identité de journaliste professionnel par le Conseil national de la presse.
"La crise est maintenant derrière nous", a-t-elle souligné, invitant les journalistes de l’AIP à y prendre part pour signifier leurs attentes en ce qui concerne "la réforme du prix Ebony" et "la gestion de la Maison de la presse" dont le conseil de gestion ne se réunit plus depuis la nomination de sa présidente, Josette Barry, au ministère de la Communication.
La présidente de l’UNJCI qui dirigeait une délégation de cinq membres a en outre demandé l’adhésion des journalistes à "leur organisation" et leur participation à l’AGO qui, a-t-elle précisé "n’est pas élective" avant d’indiquer que la Journée internationale de la liberté de la presse sera célébrée du 30 avril au 03 mai, sous la supervision de l’UNESCO.
Le 04 mars. Traoré Moussa, président statutaire de l’UNJCI, sous le coup d’une sanction du conseil national de la Presse (CNP) a passé le flambeau à Habiba Dembélé Sahouet pour assurer l’intérim de la présidence de l’union.
Ik/ask
"Nous sommes venus vous informer de la tenue à mi-mandat de l’assemblée générale ordinaire, qui aura lieu le 10 mai. Cette AGO qui devait se tenir un peu plus tôt a été retardée en raison de la crise qu’a connue l’UNJCI", a fait savoir HAbiba Dembélé, faisant allusion à la "mise en congé" du président élu, Traoré Moussa, dans l’affaire de tentative présumée de corruption du journaliste Assalé Tiémoko.
Cette mesure a valu à Traoré Moussa le retrait, pour six mois, de sa carte d’identité de journaliste professionnel par le Conseil national de la presse.
"La crise est maintenant derrière nous", a-t-elle souligné, invitant les journalistes de l’AIP à y prendre part pour signifier leurs attentes en ce qui concerne "la réforme du prix Ebony" et "la gestion de la Maison de la presse" dont le conseil de gestion ne se réunit plus depuis la nomination de sa présidente, Josette Barry, au ministère de la Communication.
La présidente de l’UNJCI qui dirigeait une délégation de cinq membres a en outre demandé l’adhésion des journalistes à "leur organisation" et leur participation à l’AGO qui, a-t-elle précisé "n’est pas élective" avant d’indiquer que la Journée internationale de la liberté de la presse sera célébrée du 30 avril au 03 mai, sous la supervision de l’UNESCO.
Le 04 mars. Traoré Moussa, président statutaire de l’UNJCI, sous le coup d’une sanction du conseil national de la Presse (CNP) a passé le flambeau à Habiba Dembélé Sahouet pour assurer l’intérim de la présidence de l’union.
Ik/ask
