Les journaux quotidiens ivoiriens ont largement commenté dans leur parution de jeudi, les propositions de l’opposition dans le cadre de la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), le trafic de dimant dénoncé par l’ONU et le viol d’une jeune fille.
« Nouvelle CEI, l'Alliance rejette les propositions du gouvernement », titre Notre Voie, le journal officiel du Front populaire ivoirien (FPI) le parti de Laurent Gbagbo.
En effet, l'Alliance des forces démocratiques (AFD, regroupement de 12 partis politique dont le FPI) a fait connaître, mercredi, sa position sur la recomposition annoncée de la Commission électorale indépendante (CEI), en présentant son « ossature » de la future structure chargée d'organiser les élections présidentielles de 2015.
La clé de répartition des membres de la CEI proposée par l'opposition regroupée au sein de l'AFD octroie 4 représentants pour le pouvoir, 4 pour l'opposition, 4 représentants de la société civile.
A ceux-là, il faut ajouter 3 représentants de l'Administration, ayant essentiellement un rôle d'appui technique et sans voix délibératives que sont le ministère de l'intérieur, celui de la Défense ainsi qu'un représentant du ministère de l'Economie et des finances. Soit au total, 16 personnalités y compris le président dont 13 ayant voix délibératives.
« La nouvelle CEI est déséquilibrée », écrit le quotidien L'Intelligent d'Abidjan en citant l'Alliance des forces démocratiques, quand Le Quotidien d'Abidjan, estime que l'opposition rejette la CEI de Ouattara.
Le projet de loi du gouvernement portant recomposition de la CEI prévoit 13 personnalités dont 3 représentants du parti au pouvoir, 3 pour l'opposition, 3 de la société civile et 1 représentant pour chacune des institutions suivantes : présidence de la République, ministère de l'intérieur, ministère de l'Economie et des finances, et magistrature.
Selon Le Mandat, l'opposition propose 16 membres pour la nouvelle CEI. Parlant du débat sur les élections présidentielles de 2015, le journal L'Expression alerte sur la manière dont le FPI va payer cash son absence au parlement. « Sur injonction de l'ONU, le FPI reprend les discussions », renseigne pour sa part La Matinale.
L'actualité ivoirienne est également dominée par le rapport de l'ONU sur l'exploitation du diamant et de l'or en Côte d'Ivoire. A ce propos, le quotidien Soir Info, annonce que le Lieutenant Colonel Ouattara Issiaka dit Wattao est dans le viseur de l'ONU. « Trafic de diamant, Wattao épinglé par l'ONU », ajoutent L'Inter et Le Temps.
Sur le même sujet, le quotidien Le Mandat révèle que c'est un montant de 60 millions de FCFA qui est versé par mois à Wattao dans ce trafic.
Violation de l'embargo sur le diamant, constate L'Expression « Wattao dans de sals draps ». Pour Le Nouveau Courrier, un rapport de l'ONU accable les « hommes de Ouattara qui pillent l'or et le diamant ». « Après les USA, Wattao dans le viseur de l'ONU », souligne le journal Aujourd'hui.
La presse ivoirienne annonce également dans sa parution de ce jour qu'après le jeune mannequin Awa Fadiga, une autre jeune fille a été violée et jetée d'un taxi. Les faits se sont déroulés, mercredi, à Marcory, au Sud d'Abidjan.
« Awa Fadiga n'est pas un cas isolé », explique L'Intelligent d'Abidjan selon qui « une autre fille a été violée et jetée d'un taxi, hier ». La victime est arrivée à l'hôpital dans un état critique, ajoute ce confrère.
« Nouvelle CEI, l'Alliance rejette les propositions du gouvernement », titre Notre Voie, le journal officiel du Front populaire ivoirien (FPI) le parti de Laurent Gbagbo.
En effet, l'Alliance des forces démocratiques (AFD, regroupement de 12 partis politique dont le FPI) a fait connaître, mercredi, sa position sur la recomposition annoncée de la Commission électorale indépendante (CEI), en présentant son « ossature » de la future structure chargée d'organiser les élections présidentielles de 2015.
La clé de répartition des membres de la CEI proposée par l'opposition regroupée au sein de l'AFD octroie 4 représentants pour le pouvoir, 4 pour l'opposition, 4 représentants de la société civile.
A ceux-là, il faut ajouter 3 représentants de l'Administration, ayant essentiellement un rôle d'appui technique et sans voix délibératives que sont le ministère de l'intérieur, celui de la Défense ainsi qu'un représentant du ministère de l'Economie et des finances. Soit au total, 16 personnalités y compris le président dont 13 ayant voix délibératives.
« La nouvelle CEI est déséquilibrée », écrit le quotidien L'Intelligent d'Abidjan en citant l'Alliance des forces démocratiques, quand Le Quotidien d'Abidjan, estime que l'opposition rejette la CEI de Ouattara.
Le projet de loi du gouvernement portant recomposition de la CEI prévoit 13 personnalités dont 3 représentants du parti au pouvoir, 3 pour l'opposition, 3 de la société civile et 1 représentant pour chacune des institutions suivantes : présidence de la République, ministère de l'intérieur, ministère de l'Economie et des finances, et magistrature.
Selon Le Mandat, l'opposition propose 16 membres pour la nouvelle CEI. Parlant du débat sur les élections présidentielles de 2015, le journal L'Expression alerte sur la manière dont le FPI va payer cash son absence au parlement. « Sur injonction de l'ONU, le FPI reprend les discussions », renseigne pour sa part La Matinale.
L'actualité ivoirienne est également dominée par le rapport de l'ONU sur l'exploitation du diamant et de l'or en Côte d'Ivoire. A ce propos, le quotidien Soir Info, annonce que le Lieutenant Colonel Ouattara Issiaka dit Wattao est dans le viseur de l'ONU. « Trafic de diamant, Wattao épinglé par l'ONU », ajoutent L'Inter et Le Temps.
Sur le même sujet, le quotidien Le Mandat révèle que c'est un montant de 60 millions de FCFA qui est versé par mois à Wattao dans ce trafic.
Violation de l'embargo sur le diamant, constate L'Expression « Wattao dans de sals draps ». Pour Le Nouveau Courrier, un rapport de l'ONU accable les « hommes de Ouattara qui pillent l'or et le diamant ». « Après les USA, Wattao dans le viseur de l'ONU », souligne le journal Aujourd'hui.
La presse ivoirienne annonce également dans sa parution de ce jour qu'après le jeune mannequin Awa Fadiga, une autre jeune fille a été violée et jetée d'un taxi. Les faits se sont déroulés, mercredi, à Marcory, au Sud d'Abidjan.
« Awa Fadiga n'est pas un cas isolé », explique L'Intelligent d'Abidjan selon qui « une autre fille a été violée et jetée d'un taxi, hier ». La victime est arrivée à l'hôpital dans un état critique, ajoute ce confrère.
