Le phénomène du racket coûte annuellement 350 milliards de FCFA aux caisses de l’Etat ivoirien, a révélé, lundi, le Premier ministre, ministre de l’Economie, des finances et du budget Daniel Kablan Duncan.
« Cette lutte contre le racket va s’intensifier sur les principaux axes routiers que sont l’autoroute du Nord, la côtière et la Dorsale de l’Est », a déclaré M. Duncan au cours d’une conférence de presse qu’il a animée autour du thème « Infrastructures, secteur privé, bien-être social ».
« Par ce que ce phénomène coûte 350 milliards de FCFA par an aux caisses de l’Etat. Ce n’est pas normal », a-t-il ajouté.
Le bien-être social des populations qui préoccupe au plus haut point l’ensemble du gouvernement selon Daniel Kablan Duncan a été l’objet d’un sérieux et minutieux examen au cours de cette troisième conférence de presse du chef du gouvernement ivoirien.
Les autorités ivoiriennes ont achevé récemment la mise en place des instruments de bonne gouvernance avec la nomination des neuf membres de la Haute autorité pour la bonne gouvernance créée par décret présidentiel, le 20 novembre 2013. Cette institution est chargée d’élaborer une stratégie nationale de lutte contre la corruption qu’elle met en œuvre.
Elle cordonne et supervise par ailleurs, toutes les politiques de prévention et de lutte contre la corruption. Une évaluation des instruments et mesures administratives doit être effectuée périodiquement.
La Haute autorité présidée par l’ex-ministre René François Aphing-Kouassi, Magistrat, recherche les causes structurelles de la corruption afin de proposer des mesures capables de les annihiler aussi bien dans les services publics que parapublics.
LS/hs/APA
« Cette lutte contre le racket va s’intensifier sur les principaux axes routiers que sont l’autoroute du Nord, la côtière et la Dorsale de l’Est », a déclaré M. Duncan au cours d’une conférence de presse qu’il a animée autour du thème « Infrastructures, secteur privé, bien-être social ».
« Par ce que ce phénomène coûte 350 milliards de FCFA par an aux caisses de l’Etat. Ce n’est pas normal », a-t-il ajouté.
Le bien-être social des populations qui préoccupe au plus haut point l’ensemble du gouvernement selon Daniel Kablan Duncan a été l’objet d’un sérieux et minutieux examen au cours de cette troisième conférence de presse du chef du gouvernement ivoirien.
Les autorités ivoiriennes ont achevé récemment la mise en place des instruments de bonne gouvernance avec la nomination des neuf membres de la Haute autorité pour la bonne gouvernance créée par décret présidentiel, le 20 novembre 2013. Cette institution est chargée d’élaborer une stratégie nationale de lutte contre la corruption qu’elle met en œuvre.
Elle cordonne et supervise par ailleurs, toutes les politiques de prévention et de lutte contre la corruption. Une évaluation des instruments et mesures administratives doit être effectuée périodiquement.
La Haute autorité présidée par l’ex-ministre René François Aphing-Kouassi, Magistrat, recherche les causes structurelles de la corruption afin de proposer des mesures capables de les annihiler aussi bien dans les services publics que parapublics.
LS/hs/APA