Oui, on pourrait formuler en ces termes, ce qui nous est donné à lire de façon anonyme par des camps rivaux au sein du plus grand organe de presse ivoirien, Fraternité Matin. De surcroît, cette littérature immonde est offerte au monde sur l’internet.
N’ayons pas la mémoire courte. Pendant plus de dix ans, la Côte d’Ivoire s’était négativement donnée à voir au monde. Depuis quelques années, nous essayons de redorer le blason. Et apparemment, les échos qui viennent de l’extérieur nous laissent penser que l’image naguère d’une Côte d’Ivoire triste, violente et qui perd le nord s’efface. Et voilà qu’elle renaît sous une autre forme toute aussi abjecte. Alors que l’on s’attendait à une fête de la raison dans un débat constructif autour de la gouvernance de Fraternité Matin, un débat que l’on espérait animé et orienté exclusivement dans l’intérêt de l’entreprise, nous sommes plutôt ébahis de constater un déchainement de passions ayant pour cible une personne : Venance KONAN, Directeur Général de Fraternité Matin. Nous aurions applaudi à une critique argumentée de sa gouvernance visant à la contraindre à aller dans le sens de son amélioration. C’est plutôt à une diatribe que l’on assiste sur fond de querelles de personnes.
A lire certains journaux de la place mais surtout les publications sur les réseaux sociaux, une seule conclusion s’impose à l’opinion publique : l’entreprise Fraternité Matin semble ne pas être en crise. Par contre, la Rédaction de Fraternité Matin est subitement piquée par le virus de la division qui donne de l’extérieur le sentiment qu’elle se porte mal et très mal. Elle est même en transe. Elle est prise d’une hystérie collective où se mêlent dénigrement, règlement de compte et autres vilains sentiments, le tout dans un flot de haine poussant les anti et pro-Venance au cannibalisme.
En Côte d’Ivoire, jamais une entreprise n’a été aussi dénudée par ses propres employés. Et nous avons du mal à penser que notre grand quotidien, le plus professionnel des journaux nationaux distribués par Edipresse, lu à l’extérieur, puisse cacher en son sein un tel malaise et une telle crise de moralité de gens censés contribuer à éclaire l’opinion publique. Il est difficilement admissible que des « éducateurs de consciences » soient devenus des scribouillards sans moralité. Ils semblent oublier leurs missions premières. Ici, les pro et les anti Venance ont en commun la même colère, la même haine de l’autre, le même désir d’en découdre, ce qui les conduit à emprunter le même chemin de la parole vénéneuse, de l’irresponsabilité et de l’indécence.
Tous, nous vous appelons à la raison, au débat serein, à la responsabilité face aux défis majeurs qui se dressent violemment devant le journal papier. Loin de nous l’idée de le défendre. Venance KONAN, Directeur Général de Fraternité Matin, reste votre collègue. Il est un pur « produit maison ». Qu’on l’aime ou pas, il est une icône du monde des journalistes ivoiriens, voire africains. Il doit être la fierté de tout journaliste ivoirien. Chacun doit l’assister de ses conseils avisés même si par moments, l’on lui reproche des dérives qu’il faut également objectivement prouver. Dans de telles situations, les vies privées doivent être préservées pour que le débat sur l’intérêt général garde tout son sens et sa mesure. Car, à ce rythme personne n’est à l’abri de telles dérives. Tout le monde peut écrire n’importe quoi sur et contre tout le monde. Ce sera la porte ouverte à tout. Aujourd’hui c’est Venance Konan et ses collaborateurs ou encore quelques personnes mis à l’index par les pro-Venance par réaction. Balle à terre donc.
Nous demandons à Venance KONAN, en tant que premier responsable du Quotidien, d’engager sans délai une politique de communication au sein de l’entreprise, la vraie, la bonne, pour partager avec chacun sa vision du nouveau « Fraternité Matin », pour convaincre chacun de la pertinence de la nouvelle orientation que la Direction Générale veut imprimer à l’entreprise, tant en matière d’objectifs qu’en ressources humaines à mobiliser. C’est l’image d’une Côte d’Ivoire qui travaille à se faire respecter à nouveau dans le concert des nations qui comptent qui s’en trouve grandie. Vous, agents de Fraternité Matin, comme nous, nous avons le même objectif pour notre pays. Grandissons avec lui en le faisant grandir.
Association Albert de NEEF
Albertdeneef.association@yahoo.fr
N’ayons pas la mémoire courte. Pendant plus de dix ans, la Côte d’Ivoire s’était négativement donnée à voir au monde. Depuis quelques années, nous essayons de redorer le blason. Et apparemment, les échos qui viennent de l’extérieur nous laissent penser que l’image naguère d’une Côte d’Ivoire triste, violente et qui perd le nord s’efface. Et voilà qu’elle renaît sous une autre forme toute aussi abjecte. Alors que l’on s’attendait à une fête de la raison dans un débat constructif autour de la gouvernance de Fraternité Matin, un débat que l’on espérait animé et orienté exclusivement dans l’intérêt de l’entreprise, nous sommes plutôt ébahis de constater un déchainement de passions ayant pour cible une personne : Venance KONAN, Directeur Général de Fraternité Matin. Nous aurions applaudi à une critique argumentée de sa gouvernance visant à la contraindre à aller dans le sens de son amélioration. C’est plutôt à une diatribe que l’on assiste sur fond de querelles de personnes.
A lire certains journaux de la place mais surtout les publications sur les réseaux sociaux, une seule conclusion s’impose à l’opinion publique : l’entreprise Fraternité Matin semble ne pas être en crise. Par contre, la Rédaction de Fraternité Matin est subitement piquée par le virus de la division qui donne de l’extérieur le sentiment qu’elle se porte mal et très mal. Elle est même en transe. Elle est prise d’une hystérie collective où se mêlent dénigrement, règlement de compte et autres vilains sentiments, le tout dans un flot de haine poussant les anti et pro-Venance au cannibalisme.
En Côte d’Ivoire, jamais une entreprise n’a été aussi dénudée par ses propres employés. Et nous avons du mal à penser que notre grand quotidien, le plus professionnel des journaux nationaux distribués par Edipresse, lu à l’extérieur, puisse cacher en son sein un tel malaise et une telle crise de moralité de gens censés contribuer à éclaire l’opinion publique. Il est difficilement admissible que des « éducateurs de consciences » soient devenus des scribouillards sans moralité. Ils semblent oublier leurs missions premières. Ici, les pro et les anti Venance ont en commun la même colère, la même haine de l’autre, le même désir d’en découdre, ce qui les conduit à emprunter le même chemin de la parole vénéneuse, de l’irresponsabilité et de l’indécence.
Tous, nous vous appelons à la raison, au débat serein, à la responsabilité face aux défis majeurs qui se dressent violemment devant le journal papier. Loin de nous l’idée de le défendre. Venance KONAN, Directeur Général de Fraternité Matin, reste votre collègue. Il est un pur « produit maison ». Qu’on l’aime ou pas, il est une icône du monde des journalistes ivoiriens, voire africains. Il doit être la fierté de tout journaliste ivoirien. Chacun doit l’assister de ses conseils avisés même si par moments, l’on lui reproche des dérives qu’il faut également objectivement prouver. Dans de telles situations, les vies privées doivent être préservées pour que le débat sur l’intérêt général garde tout son sens et sa mesure. Car, à ce rythme personne n’est à l’abri de telles dérives. Tout le monde peut écrire n’importe quoi sur et contre tout le monde. Ce sera la porte ouverte à tout. Aujourd’hui c’est Venance Konan et ses collaborateurs ou encore quelques personnes mis à l’index par les pro-Venance par réaction. Balle à terre donc.
Nous demandons à Venance KONAN, en tant que premier responsable du Quotidien, d’engager sans délai une politique de communication au sein de l’entreprise, la vraie, la bonne, pour partager avec chacun sa vision du nouveau « Fraternité Matin », pour convaincre chacun de la pertinence de la nouvelle orientation que la Direction Générale veut imprimer à l’entreprise, tant en matière d’objectifs qu’en ressources humaines à mobiliser. C’est l’image d’une Côte d’Ivoire qui travaille à se faire respecter à nouveau dans le concert des nations qui comptent qui s’en trouve grandie. Vous, agents de Fraternité Matin, comme nous, nous avons le même objectif pour notre pays. Grandissons avec lui en le faisant grandir.
Association Albert de NEEF
Albertdeneef.association@yahoo.fr