La 21ème édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée samedi dernier. Une procession, à cet effet, est partie du Groupe Fraternité Matin à Adjamé pour atteindre la Maison de la Presse au Plateau.
Plusieurs journalistes exerçant en Côte d’Ivoire ont répondu à l’appel de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (l’Unjci). Ils ont pris part à cette procession à la tête de laquelle se trouvait Me Affoussiata Bamba lamine, ministre de la Communication. Sur les banderoles tenues par les hommes de médias, on pouvait lire : ‘’Appliquons la Convention collective pour garantir les meilleures conditions de travail aux journalistes’’ ou encore,’’ la liberté des médias pour un avenir meilleur’’. Les responsables des différentes structures du monde de la presse, notamment l’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire (APECI), le Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI), l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), ont tous décrit la situation pas très reluisante des journalistes ivoiriens. Cependant, ils sont reconnaissant des efforts accomplis par les pouvoirs publics pour le mieux-être du journaliste. Cette année, il y a eu une remise d’un prix au lauréat du concours de caricatures sur « la sécurité des journalistes ». Ce prix porte le nom de Désiré Oué, tué le vendredi 14 novembre 2013, à son domicile. Prenant la parole au nom du Gouvernement, Affoussiata Bamba, après avoir fait l’historique de cette journée, a montré l’importance de la liberté de la presse dans la vie d’une nation. « Je note avec vous que la liberté de la presse s’impose de plus en plus à tous les Etats comme l’un des indicateurs majeurs de la bonne gouvernance et un facteur de développement. Regardez les pays africains autour de vous, pour vous apercevoir que la liberté de la presse en Côte d’Ivoire est une réalité, et non une notion abstraite ! », a-t-elle salué. Tout en reconnaissant que des efforts restent à faire pour améliorer les conditions de travail des journalistes. « Certes, des efforts restent encore à faire sur le long chemin de la liberté de la presse, mais, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que la presse en Côte d’Ivoire n’est pas bâillonnée, encore moins muselée, et cela, nonobstant le militantisme politique avéré de certains journalistes qui confondent liberté de la presse et fantasme, et préfèrent parfois la propagande à l’information! », a-t-elle conclu. Notons que le ministre de la Communication a parcouru les 3 km du circuit de la marche.
Paul Kouakou (stagiaire)
Plusieurs journalistes exerçant en Côte d’Ivoire ont répondu à l’appel de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (l’Unjci). Ils ont pris part à cette procession à la tête de laquelle se trouvait Me Affoussiata Bamba lamine, ministre de la Communication. Sur les banderoles tenues par les hommes de médias, on pouvait lire : ‘’Appliquons la Convention collective pour garantir les meilleures conditions de travail aux journalistes’’ ou encore,’’ la liberté des médias pour un avenir meilleur’’. Les responsables des différentes structures du monde de la presse, notamment l’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire (APECI), le Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI), l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), ont tous décrit la situation pas très reluisante des journalistes ivoiriens. Cependant, ils sont reconnaissant des efforts accomplis par les pouvoirs publics pour le mieux-être du journaliste. Cette année, il y a eu une remise d’un prix au lauréat du concours de caricatures sur « la sécurité des journalistes ». Ce prix porte le nom de Désiré Oué, tué le vendredi 14 novembre 2013, à son domicile. Prenant la parole au nom du Gouvernement, Affoussiata Bamba, après avoir fait l’historique de cette journée, a montré l’importance de la liberté de la presse dans la vie d’une nation. « Je note avec vous que la liberté de la presse s’impose de plus en plus à tous les Etats comme l’un des indicateurs majeurs de la bonne gouvernance et un facteur de développement. Regardez les pays africains autour de vous, pour vous apercevoir que la liberté de la presse en Côte d’Ivoire est une réalité, et non une notion abstraite ! », a-t-elle salué. Tout en reconnaissant que des efforts restent à faire pour améliorer les conditions de travail des journalistes. « Certes, des efforts restent encore à faire sur le long chemin de la liberté de la presse, mais, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que la presse en Côte d’Ivoire n’est pas bâillonnée, encore moins muselée, et cela, nonobstant le militantisme politique avéré de certains journalistes qui confondent liberté de la presse et fantasme, et préfèrent parfois la propagande à l’information! », a-t-elle conclu. Notons que le ministre de la Communication a parcouru les 3 km du circuit de la marche.
Paul Kouakou (stagiaire)