Abidjan - Des journalistes et des professionnelles de la communication ont élaboré, mardi à Abidjan, une "charte ivoirienne de la liberté d’expression, d’opinion et des droits de la femme à l’information et à la communication", afin de promouvoir l’image de la femme dans les médias.
L'élaboration de cette charte a eu lieu au terme d’un atelier organisé par l’institut Panos en collaboration avec le Réseau des femmes journalistes et professionnelles de la communication de Côte d’Ivoire (REFJPCI) et l’Observatoire de la liberté de la presse de l’éthique et de la déontologie (OLPED).
Selon la présidente du REFJPCI, Agnès Kraidy, cette charte vise à susciter et à encourager les femmes dans le milieu des médias, à attirer l’attention des patrons de presse sur la participation des femmes dans les rédactions, à promouvoir les informations en mettant en évidence les qualités des femmes en lieu et place des stéréotypes diffusés par les médias.
La charte détermine les droits et devoirs de la femme, relativement à la liberté d’expression, d’opinion et de communication. Elle comporte 17 articles et est destinée aux patrons de presse, aux femmes des medias et à celles des associations et organisations féminines, des organisations professionnelles, de la société civile, des partenaires financiers et techniques au développement, précise-t-on.
Un observatoire sera créé pour sa mise en œuvre, une sorte d’instrument de veille-alerte et de plaidoyer sur le traitement de l’information concernant les femmes. Il produira des rapports trimestriels pour interpeller les acteurs sur les éventuels manquements à l'application de la charte.
(AIP)
Tad/kkp/ask
L'élaboration de cette charte a eu lieu au terme d’un atelier organisé par l’institut Panos en collaboration avec le Réseau des femmes journalistes et professionnelles de la communication de Côte d’Ivoire (REFJPCI) et l’Observatoire de la liberté de la presse de l’éthique et de la déontologie (OLPED).
Selon la présidente du REFJPCI, Agnès Kraidy, cette charte vise à susciter et à encourager les femmes dans le milieu des médias, à attirer l’attention des patrons de presse sur la participation des femmes dans les rédactions, à promouvoir les informations en mettant en évidence les qualités des femmes en lieu et place des stéréotypes diffusés par les médias.
La charte détermine les droits et devoirs de la femme, relativement à la liberté d’expression, d’opinion et de communication. Elle comporte 17 articles et est destinée aux patrons de presse, aux femmes des medias et à celles des associations et organisations féminines, des organisations professionnelles, de la société civile, des partenaires financiers et techniques au développement, précise-t-on.
Un observatoire sera créé pour sa mise en œuvre, une sorte d’instrument de veille-alerte et de plaidoyer sur le traitement de l’information concernant les femmes. Il produira des rapports trimestriels pour interpeller les acteurs sur les éventuels manquements à l'application de la charte.
(AIP)
Tad/kkp/ask
