Un atelier de renforcement des capacités des professionnels des médias et de la communication sur la traite, l’exploitation et le travail des enfants, s’est ouvert, jeudi, à Abidjan, en présence de la Première Dame, Dominique Ouattara.
Organisé par le Comité national de surveillance du travail des enfants (CNS), cet atelier enregistre la participation d’une centaine de journalistes et de professionnels de la communication de l’ensemble du pays.
« La tenue de ce séminaire répond à un souhait que j’ai émis personnellement car, je pense que votre contribution est essentielle dans ce combat (…) je voudrais saluer le travail que vous accomplissez quotidiennement dans le cadre de la lutte contre l’exploitation et le travail des enfants dans notre Pays », a déclaré Mme Ouattara en s’adressant aux participants.
« Grâce à vos initiatives personnelles et votre conscience professionnelle, vous envoyez des alertes à travers la presse écrite, la radio et la télévision. Ces alertes ont pour effet de mettre en lumière, la réalité des pires formes du travail des enfants dans notre pays, tant et si bien qu’aujourd’hui, tous les Ivoiriens sont sensibles à cette question », a-t-elle poursuivi.
Selon la Première Dame, les journalistes ont permis de lever les barrières pour une sensibilisation plus efficace de la lutte contre les pires formes de travail des enfants. « C’est pourquoi, j’ai voulu vous rencontrer et associer solennellement chacune et chacun d’entre vous à la bataille que nous livrons chaque jour contre ce fléau », a ajouté Dominique Ouattara.
Le Comité national de surveillance et le Comité interministériel ont organisé depuis 2012, dans le domaine de la formation et de la sensibilisation, des séminaires à l’intention des membres du corps préfectoral, des inspecteurs du travail et des assistants sociaux, des maires et des magistrats ainsi que des policiers et gendarmes.
« Votre métier vous confère une proximité avec les populations qui fait de vous des partenaires de choix dans la lutte contre les pires formes du travail des enfants. C’est pourquoi, je voudrais solliciter solennellement votre concours pour nous permettre de consolider nos acquis. Mieux, d’atteindre des objectifs plus conséquents encore », a encore expliqué Mme Ouattara.
« Aidez-nous, à stopper l’exploitation des enfants dans notre pays, en expliquant à nos frères et sœurs, dans les villes et les campagnes ainsi qu’à nos parents paysans, les dangers auxquels ils exposent leurs enfants victimes d’exploitation. Aucun secteur n’est à négliger », a-t-elle plaidé.
« Partout où nos enfants sont exploités, agissez ! Votre métier vous confère le pouvoir de changer les choses. Je sais que votre implication aidant, nous ferons pencher la balance en faveur du bien-être et de l’éducation de nos enfants », a conclu Dominique Ouattara.
LS/hs/APA
Organisé par le Comité national de surveillance du travail des enfants (CNS), cet atelier enregistre la participation d’une centaine de journalistes et de professionnels de la communication de l’ensemble du pays.
« La tenue de ce séminaire répond à un souhait que j’ai émis personnellement car, je pense que votre contribution est essentielle dans ce combat (…) je voudrais saluer le travail que vous accomplissez quotidiennement dans le cadre de la lutte contre l’exploitation et le travail des enfants dans notre Pays », a déclaré Mme Ouattara en s’adressant aux participants.
« Grâce à vos initiatives personnelles et votre conscience professionnelle, vous envoyez des alertes à travers la presse écrite, la radio et la télévision. Ces alertes ont pour effet de mettre en lumière, la réalité des pires formes du travail des enfants dans notre pays, tant et si bien qu’aujourd’hui, tous les Ivoiriens sont sensibles à cette question », a-t-elle poursuivi.
Selon la Première Dame, les journalistes ont permis de lever les barrières pour une sensibilisation plus efficace de la lutte contre les pires formes de travail des enfants. « C’est pourquoi, j’ai voulu vous rencontrer et associer solennellement chacune et chacun d’entre vous à la bataille que nous livrons chaque jour contre ce fléau », a ajouté Dominique Ouattara.
Le Comité national de surveillance et le Comité interministériel ont organisé depuis 2012, dans le domaine de la formation et de la sensibilisation, des séminaires à l’intention des membres du corps préfectoral, des inspecteurs du travail et des assistants sociaux, des maires et des magistrats ainsi que des policiers et gendarmes.
« Votre métier vous confère une proximité avec les populations qui fait de vous des partenaires de choix dans la lutte contre les pires formes du travail des enfants. C’est pourquoi, je voudrais solliciter solennellement votre concours pour nous permettre de consolider nos acquis. Mieux, d’atteindre des objectifs plus conséquents encore », a encore expliqué Mme Ouattara.
« Aidez-nous, à stopper l’exploitation des enfants dans notre pays, en expliquant à nos frères et sœurs, dans les villes et les campagnes ainsi qu’à nos parents paysans, les dangers auxquels ils exposent leurs enfants victimes d’exploitation. Aucun secteur n’est à négliger », a-t-elle plaidé.
« Partout où nos enfants sont exploités, agissez ! Votre métier vous confère le pouvoir de changer les choses. Je sais que votre implication aidant, nous ferons pencher la balance en faveur du bien-être et de l’éducation de nos enfants », a conclu Dominique Ouattara.
LS/hs/APA
