Abidjan - L’audition de quatre dirigeants du Front populaire ivoirien (FPI), le président du parti, Affi N’Guessan, le secrétaire général, Laurent Akoun et des vice-présidents, Marie Odette Lorougnon et Richard Kodjo, jeudi, à la brigade de recherche, est le chou gras des journaux de ce vendredi.
"Brigade de recherche : Affi et ses collaborateurs entendus", note "Fraternité Matin. Le journal, indique que les dirigeants du FPI, ont été entendus de 10H15 à 18h45 puis ont regagné leur domicile. Il précise que selon les sources proches du FPI, ils ont été entendus sur leur mot d’ordre de boycott du recensement général de la population et de l’habitat. Le confrère écrit également que les militants présents aux alentours de la brigade, ont été dispersés à coup de gaz lacrymogène par les forces de sécurité.
"Le Patriote", un canard proche du Rassemblement des Républicain (RDR), rebondit sur ce sujet, affichant à sa UNE "Affi et ses trois compères à la brigade de recherche, hier : 9 H pour cuisiner une bande d’anarchistes". Le quotidien élucide dans ses colonnes : "Il s’est agi donc, au cours de cette audition, pour Pascal Affi N’Guessan et ses amis de répondre aux questions des autorités judiciaires sur les raisons réelles du boycott lancé par le FPI au sujet du recensement général de la population et de l’habitat (RGPH).
"9h d’audition de quatre dirigeants du FPI : les raisons de la dérive dictatoriale", affiche "Notre Voie", une gazette proche du Front Populaire Ivoirien (FPI). Elle rapporte également dans ses lignes les propos du président du FPI, Affi N’Guessan, tenus après son audition : "Quelles que soient les accusations, le FPI ne peut pas tomber sous le coup de la loi".
"Le Nouveau Réveil", un canard proche du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), révèle, quant à lui, qu’ "Affi se dédie devant les enquêteurs". Le journal, explique que "Le président Pascal Affi N’Guessan et ses trois camarades de la direction du FPI, interrogés respectivement sur le mot d’ordre du boycott du recensement, ont indiqué que leur mot d’ordre n’avait aucunement pour but de troubler l’ordre", précisant que selon le FPI "Ils n’auraient pas donné de consigne aux militants dans ce sens".
"C’était chaud au plateau : plusieurs cadres du FPI arrêtés, hier : des militant gazés", lit-on à la UNE de " Soirinfo", avec une photo des militants gazés pour illustrer ce titre.
Dans la même veine, "L’Inter", écrit que "la situation était électrique au plateau hier. Et pour cause les militants du FPI ont envahi l’entrée de la Brigade de recherche pour protester contre la procédure engagée contre leurs leaders" et ont été "gazés et arrêtés".
"L’Intelligent d’Abidjan", rebondit sur cette audition et explique que "le salut d’Affi et ses siens, selon certaines indiscrétions, est venue de la grande magnanimité du président de la République, Alassane Ouattara" et il souligne que la procédure judiciaire suit son cours
cgf/gak/ask
"Brigade de recherche : Affi et ses collaborateurs entendus", note "Fraternité Matin. Le journal, indique que les dirigeants du FPI, ont été entendus de 10H15 à 18h45 puis ont regagné leur domicile. Il précise que selon les sources proches du FPI, ils ont été entendus sur leur mot d’ordre de boycott du recensement général de la population et de l’habitat. Le confrère écrit également que les militants présents aux alentours de la brigade, ont été dispersés à coup de gaz lacrymogène par les forces de sécurité.
"Le Patriote", un canard proche du Rassemblement des Républicain (RDR), rebondit sur ce sujet, affichant à sa UNE "Affi et ses trois compères à la brigade de recherche, hier : 9 H pour cuisiner une bande d’anarchistes". Le quotidien élucide dans ses colonnes : "Il s’est agi donc, au cours de cette audition, pour Pascal Affi N’Guessan et ses amis de répondre aux questions des autorités judiciaires sur les raisons réelles du boycott lancé par le FPI au sujet du recensement général de la population et de l’habitat (RGPH).
"9h d’audition de quatre dirigeants du FPI : les raisons de la dérive dictatoriale", affiche "Notre Voie", une gazette proche du Front Populaire Ivoirien (FPI). Elle rapporte également dans ses lignes les propos du président du FPI, Affi N’Guessan, tenus après son audition : "Quelles que soient les accusations, le FPI ne peut pas tomber sous le coup de la loi".
"Le Nouveau Réveil", un canard proche du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), révèle, quant à lui, qu’ "Affi se dédie devant les enquêteurs". Le journal, explique que "Le président Pascal Affi N’Guessan et ses trois camarades de la direction du FPI, interrogés respectivement sur le mot d’ordre du boycott du recensement, ont indiqué que leur mot d’ordre n’avait aucunement pour but de troubler l’ordre", précisant que selon le FPI "Ils n’auraient pas donné de consigne aux militants dans ce sens".
"C’était chaud au plateau : plusieurs cadres du FPI arrêtés, hier : des militant gazés", lit-on à la UNE de " Soirinfo", avec une photo des militants gazés pour illustrer ce titre.
Dans la même veine, "L’Inter", écrit que "la situation était électrique au plateau hier. Et pour cause les militants du FPI ont envahi l’entrée de la Brigade de recherche pour protester contre la procédure engagée contre leurs leaders" et ont été "gazés et arrêtés".
"L’Intelligent d’Abidjan", rebondit sur cette audition et explique que "le salut d’Affi et ses siens, selon certaines indiscrétions, est venue de la grande magnanimité du président de la République, Alassane Ouattara" et il souligne que la procédure judiciaire suit son cours
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