Ouvert ce lundi 19 Mai 2014 à Ivoire Golf Club, les Journées de l’entrepreneuriat Féminin organisées par la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), ont mis l’accent sur le problème de financement des femmes entrepreneures en particulier. Selon kassandra kolbert, de la SFI : « A projet égal, les hommes sont financés à plus de 80%, tandis que les femmes ont moins de 20% de chance de bénéficier de financement ». Il y a donc lieu de faire bouger les lignes.
Le président de la CGECI, Jean Kacou DIAGOU a précisé que « Les pays dans lesquels les femmes sont traitées sur un pied d’égalité avec les hommes jouissent d’une meilleure croissance économique. Les entreprises qui comptent des femmes parmi leurs dirigeants affichent de meilleurs résultats ». Il encourage le système financier et les institutions publiques a se pencher sérieusement sur la question.
Plusieurs panels animent ces deux jours. Notamment un panel sur les avantages du secteur formel. Madame TOURE Massogbè Diabaté, présidente de la commission Entreprenariat Féminin (CDEF) de la CGECI, « Notre objectif est d’offrir aux femmes entrepreneures cette chance de sortir des sentiers battus pour se réaliser au travers de leur activité ».
Ainsi, encourager l’entrepreneuriat féminin est un enjeu important parce que la production économique par les femmes n’est pas seulement bonne pour elles-seules, mais elle est également bonne pour tout le monde, notamment, en matière de paix, de croissance économique, de sécurité alimentaire et de sécurité humaine. Elle contribue au bien-être des générations présentes et à venir, car les femmes sont plus susceptibles de partager leurs revenus avec leur famille et leur communauté au sens large. Leur donner les moyens de se réaliser dans la création ou la reprise d’entreprise constitue également un levier clé pour la compétitivité et l’emploi.
Le président de la CGECI, Jean Kacou DIAGOU a précisé que « Les pays dans lesquels les femmes sont traitées sur un pied d’égalité avec les hommes jouissent d’une meilleure croissance économique. Les entreprises qui comptent des femmes parmi leurs dirigeants affichent de meilleurs résultats ». Il encourage le système financier et les institutions publiques a se pencher sérieusement sur la question.
Plusieurs panels animent ces deux jours. Notamment un panel sur les avantages du secteur formel. Madame TOURE Massogbè Diabaté, présidente de la commission Entreprenariat Féminin (CDEF) de la CGECI, « Notre objectif est d’offrir aux femmes entrepreneures cette chance de sortir des sentiers battus pour se réaliser au travers de leur activité ».
Ainsi, encourager l’entrepreneuriat féminin est un enjeu important parce que la production économique par les femmes n’est pas seulement bonne pour elles-seules, mais elle est également bonne pour tout le monde, notamment, en matière de paix, de croissance économique, de sécurité alimentaire et de sécurité humaine. Elle contribue au bien-être des générations présentes et à venir, car les femmes sont plus susceptibles de partager leurs revenus avec leur famille et leur communauté au sens large. Leur donner les moyens de se réaliser dans la création ou la reprise d’entreprise constitue également un levier clé pour la compétitivité et l’emploi.