Abidjan – Le « Plan stratégique de développement des médias privés » nécessitera un financement d’au moins 10,9 milliards de FCFA, selon les premières prévisions du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) qui organise de mercredi à jeudi à Abidjan un atelier en vue de finaliser ce plan stratégique 2014-2020.
Ce draft prévoit que 73% de cette somme proviennent des ressources du FSDP avec un gap de 27%.
Pendant deux jours, bailleurs de fonds, experts du ministère du Plan et du Développement, membres du conseil de gestion et de la direction exécutive du FSDP, représentants d’organisations professionnelles et syndicales de la presse affineront la liste des projets, s’assureront de la bonne évaluation des coûts, planifieront leur réalisation et proposeront des sources alternatives de financement.
Pour le président du conseil de gestion du FSDP, Kébé Yacouba, l’objectif de ce plan est de doter la Côte d’Ivoire d’un secteur « dynamique organisé autour d’un espace audiovisuel effectivement libéralisé et d’une presse professionnelle et dépassionnée » à travers un contenu et une qualité sonore des radios non commerciales, une presse écrite fournissant des informations crédibles et apaisées et une amélioration de l’efficacité du FSDP.
Il s’agira pour les médias privés de « participer à la réconciliation et à la cohésion sociale, de contribuer à la relance de l’économie et de travailler à la paix », en jouant leur partition dans le projet de construction d’une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, a déclaré le directeur de cabinet du ministère de la Communication, Doumbia Mori, à l’ouverture des travaux.
De 2009 à 2013, le FSDP a apporté des appuis multiformes aux entreprises de presse, aux radios de proximité et aux organisations professionnelles. Ces appuis se sont traduits par l’octroi d’équipements informatiques, matériels techniques, matériels roulants, des subventions pour l’abonnement aux dépêches pour l’Agence ivoirienne de presse (AIP), des dons de logiciels gestion comptable, financière, des ressources humaines et de gestion électronique de données.
Quatre-sept entreprises de la presse écrite éditant 23 quotidiens et 35 hebdomadaires et 125 radios de proximité sont éligibles aux financements du FSDP, tout comme les télévisions privées qui seront autorisées après la libéralisation de l’espace télévisuel.
(AIP)
aaa/tm
Ce draft prévoit que 73% de cette somme proviennent des ressources du FSDP avec un gap de 27%.
Pendant deux jours, bailleurs de fonds, experts du ministère du Plan et du Développement, membres du conseil de gestion et de la direction exécutive du FSDP, représentants d’organisations professionnelles et syndicales de la presse affineront la liste des projets, s’assureront de la bonne évaluation des coûts, planifieront leur réalisation et proposeront des sources alternatives de financement.
Pour le président du conseil de gestion du FSDP, Kébé Yacouba, l’objectif de ce plan est de doter la Côte d’Ivoire d’un secteur « dynamique organisé autour d’un espace audiovisuel effectivement libéralisé et d’une presse professionnelle et dépassionnée » à travers un contenu et une qualité sonore des radios non commerciales, une presse écrite fournissant des informations crédibles et apaisées et une amélioration de l’efficacité du FSDP.
Il s’agira pour les médias privés de « participer à la réconciliation et à la cohésion sociale, de contribuer à la relance de l’économie et de travailler à la paix », en jouant leur partition dans le projet de construction d’une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, a déclaré le directeur de cabinet du ministère de la Communication, Doumbia Mori, à l’ouverture des travaux.
De 2009 à 2013, le FSDP a apporté des appuis multiformes aux entreprises de presse, aux radios de proximité et aux organisations professionnelles. Ces appuis se sont traduits par l’octroi d’équipements informatiques, matériels techniques, matériels roulants, des subventions pour l’abonnement aux dépêches pour l’Agence ivoirienne de presse (AIP), des dons de logiciels gestion comptable, financière, des ressources humaines et de gestion électronique de données.
Quatre-sept entreprises de la presse écrite éditant 23 quotidiens et 35 hebdomadaires et 125 radios de proximité sont éligibles aux financements du FSDP, tout comme les télévisions privées qui seront autorisées après la libéralisation de l’espace télévisuel.
(AIP)
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