Daloa - Le Secrétaire de section du Haut-Sassandra, du Syndicat national des Agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI), Eustache Gorébi, a exhorté samedi, les acteurs locaux de la presse à "s’approprier, voire consolider le processus de réconciliation nationale".
Gorébi qui intervenait dans le cadre de la première édition de la journée régionale de la presse, initiée par sa structure dans le Haut-Sassandra, a estimé qu’il était "nécessaire, voire impératif que les médias jouent leur partition dans la recherche des voies et moyens pour une vie paisible et favorable au développement durable".
"Accusée à tort ou à raison d’être souvent à l’origine des crises qui ont secoué le pays, ou d’y avoir suffisamment contribué, la presse se doit à présent de redorer son blason en s’impliquant résolument dans le processus de paix et de réconciliation", a-t-il précisé.
Car, "sans la paix qui est un préalable à tout développement, les acteurs de la presse, notamment les journalistes, seraient eux-mêmes en danger et ne pourraient travailler dans la quiétude", a-t-il ajouté.
M. Tra Bi Tra, conseiller régional, représentant le Pr. Alphonse Djédjé Mady, parrain de la journée et le préfet de région, Brou Kouamé ont appelé, eu égard au rôle éminemment important que joue la presse dans la société, ses acteurs, les journalistes, au respect scrupuleux de l’éthique et de la déontologie du journalisme, à plus de responsabilité dans l’exercice du métier, afin d’être de véritables vecteurs du développement socio-économique.
Le conférencier, François Gombahi, journaliste à la Radio des Nations Unies en Côte d’Ivoire, tout en admettant que "les médias dans leur ensemble, peuvent œuvrer pour le meilleur et pour le pire", a souhaité cependant que les journalistes du Haut-Sassandra, voire du pays, choisissent de "jouer la bonne carte, celle qui réconcilie les ivoiriens, à travers une information honnête et équilibrée".
La journée qui s’est déroulée autour du thème :’’le rôle de la presse dans le processus de réconciliation nationale’’, devrait avoir une deuxième édition l’année prochaine, conformément au souhait du préfet de région, de voir se pérenniser cette initiative. Dans la mesure où une presse responsable, a-t-il soutenu, a le devoir d’aider à la réconciliation dans un pays fragilisé par une crise de plus d’une décennie.
yy/ask
Gorébi qui intervenait dans le cadre de la première édition de la journée régionale de la presse, initiée par sa structure dans le Haut-Sassandra, a estimé qu’il était "nécessaire, voire impératif que les médias jouent leur partition dans la recherche des voies et moyens pour une vie paisible et favorable au développement durable".
"Accusée à tort ou à raison d’être souvent à l’origine des crises qui ont secoué le pays, ou d’y avoir suffisamment contribué, la presse se doit à présent de redorer son blason en s’impliquant résolument dans le processus de paix et de réconciliation", a-t-il précisé.
Car, "sans la paix qui est un préalable à tout développement, les acteurs de la presse, notamment les journalistes, seraient eux-mêmes en danger et ne pourraient travailler dans la quiétude", a-t-il ajouté.
M. Tra Bi Tra, conseiller régional, représentant le Pr. Alphonse Djédjé Mady, parrain de la journée et le préfet de région, Brou Kouamé ont appelé, eu égard au rôle éminemment important que joue la presse dans la société, ses acteurs, les journalistes, au respect scrupuleux de l’éthique et de la déontologie du journalisme, à plus de responsabilité dans l’exercice du métier, afin d’être de véritables vecteurs du développement socio-économique.
Le conférencier, François Gombahi, journaliste à la Radio des Nations Unies en Côte d’Ivoire, tout en admettant que "les médias dans leur ensemble, peuvent œuvrer pour le meilleur et pour le pire", a souhaité cependant que les journalistes du Haut-Sassandra, voire du pays, choisissent de "jouer la bonne carte, celle qui réconcilie les ivoiriens, à travers une information honnête et équilibrée".
La journée qui s’est déroulée autour du thème :’’le rôle de la presse dans le processus de réconciliation nationale’’, devrait avoir une deuxième édition l’année prochaine, conformément au souhait du préfet de région, de voir se pérenniser cette initiative. Dans la mesure où une presse responsable, a-t-il soutenu, a le devoir d’aider à la réconciliation dans un pays fragilisé par une crise de plus d’une décennie.
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