SGBCI, la première banque ivoirienne, explique la baisse de son résultat par un provisionnement exceptionnel lié à des prêts risqués. Mais force est de reconnaître qu'elle souffre aussi des assauts de la concurrence.
Le 21 mai, le hall du siège de la Société générale de banques en Côte d'Ivoire (SGBCI) s'est transformé en salle de spectacle pour la célébration des 150 ans de la maison mère française, Société générale. Des festivités organisées dans un contexte assez spécial, marqué par un recul du résultat net de la SGBCI en 2013, et en présence d'Alexandre Maymat, le directeur délégué chargé de l'Afrique, de l'Asie, de la Méditerranée et de l'outre-mer, arrivé de Paris pour encourager ses collaborateurs à relancer la machine. suite de l'article sur Jeune Afrique
Le 21 mai, le hall du siège de la Société générale de banques en Côte d'Ivoire (SGBCI) s'est transformé en salle de spectacle pour la célébration des 150 ans de la maison mère française, Société générale. Des festivités organisées dans un contexte assez spécial, marqué par un recul du résultat net de la SGBCI en 2013, et en présence d'Alexandre Maymat, le directeur délégué chargé de l'Afrique, de l'Asie, de la Méditerranée et de l'outre-mer, arrivé de Paris pour encourager ses collaborateurs à relancer la machine. suite de l'article sur Jeune Afrique