L’anniversaire du ‘’Débat de la semaine‘’ continue. Après la première partie consacrée au débat du samedi, nous vous proposons ce jour une rétrospective du ‘’Débat continue‘’ animé par les grins, agoras ou autres associations, et publié chaque lundi.
L’An un du ‘’Débat de la semaine‘’, c’est aussi l’An un du ‘’Débat continue‘’. Les deux tribunes sont nées ensemble et portent toujours sur le même thème. En initiant le ‘’Débat de la semaine‘’ prioritairement ouvert aux spécialistes des questions abordées, aux leaders de la société civile et à la classe politique, Nord-Sud Quotidien n’a pas oublié ses lecteurs. Vu que vous avez votre mot à dire, et étant convaincus que vos contributions enrichiraient davantage les échanges, nous avons décidé de vous réserver deux pages tous les lundis, soit le même espace consacré au débat du samedi. Mieux, nous avons décidé de venir vers vous, vous tendre notre micro chez vous, et partager vos réalités quotidiennes. En effet, les grins sont des clubs de voisins ou d’amis de quartier. Ils rassemblent des personnes de tous les rangs sociaux (On y trouve côte à côte des directeurs généraux, des ouvriers, des fonctionnaires, et même des sans-emplois) qui se réunissent généralement les après-midi, autour d’une théière, pour commenter tous les sujets d’actualité, en s’inspirant le plus souvent du contenu des journaux. Contrairement aux idées reçues, les opinions y sont très variées et les analyses critiques et objectives. Mais nous n’avons pas visité que les grins. Toujours persuadé que l’émergence de la Côte d’Ivoire ne se fera qu’avec l’ensemble des fils et des filles du pays, Nord-Sud Quotidien a aussi associé à cette rubrique les agoras animés par les partisans de l’opposition, en l’occurrence la Fédération nationale des organisations des parlements et agoras de Côte d’Ivoire (Fenopaci) qui a accueilli nos reporters, le 23 septembre, dans l’un de ses fiefs de Port-Bouët. Les membres du ‘’parlement’’ II-Plateaux (Cocody), eux, ont choisi de se déplacer, en juin dernier, jusqu’au siège du journal pour le débat sur un éventuel impact de la confirmation des charges contre Gbagbo à la Cpi, sur le processus de réconciliation nationale. Nous gardons des souvenirs très cordiaux de ce rendez-vous. Selon les thèmes, nous avons ciblé des organisations sectorielles ou corporatistes. Ainsi, pour parler de la courte durée de vie de certaines infrastructures routières, nos équipes ont été reçues par l’Union des fédérations des syndicats de chauffeurs de Cocody, et l’Union des transporteurs de la même commune. Nous avons été également les hôtes de la Fédération nationale des syndicats de chauffeurs de Côte d’Ivoire. Dans l’ambiance de la gare routière d’Adjamé, nous avons évalué avec ces syndicalistes, réunis en grand nombre, la situation du racket sur les routes. De même, à l’occasion de la journée internationale de la femme, le journal est allé à la rencontre de veuves de la crise postélectorale regroupées au sein de l’association Fô-hondi (Paix et solidarité, en Baoulé), basée à Abobo Akeikoi. De même, notre délégation a débattu des difficultés des entreprises de presse avec le Groupement des diffuseurs de presse de Côte d’Ivoire (Gdpci) à son Qg d’Adjamé Marie-Thérèse Houphouet-Boigny. Les exemples sont nombreux. De l’Association des frères d’Abobo(Afa), le tout premier grin visité, le samedi 13 juillet 2013, jusqu’ au Banco 1 dont les habitants ont été invités à proposer des solutions durables contre les éboulements meurtriers des saisons pluvieuses, en passant par les grins de Gagnoa, Daloa,Man, Aboisso, d’Abengourou et de Bouaké, les rencontres ont permis aux débatteurs, outre leurs avis sur les thèmes du jour, de donner un écho à leurs préoccupations quotidiennes. Une source de satisfaction supplémentaire pour nous.
Cissé Sindou
L’An un du ‘’Débat de la semaine‘’, c’est aussi l’An un du ‘’Débat continue‘’. Les deux tribunes sont nées ensemble et portent toujours sur le même thème. En initiant le ‘’Débat de la semaine‘’ prioritairement ouvert aux spécialistes des questions abordées, aux leaders de la société civile et à la classe politique, Nord-Sud Quotidien n’a pas oublié ses lecteurs. Vu que vous avez votre mot à dire, et étant convaincus que vos contributions enrichiraient davantage les échanges, nous avons décidé de vous réserver deux pages tous les lundis, soit le même espace consacré au débat du samedi. Mieux, nous avons décidé de venir vers vous, vous tendre notre micro chez vous, et partager vos réalités quotidiennes. En effet, les grins sont des clubs de voisins ou d’amis de quartier. Ils rassemblent des personnes de tous les rangs sociaux (On y trouve côte à côte des directeurs généraux, des ouvriers, des fonctionnaires, et même des sans-emplois) qui se réunissent généralement les après-midi, autour d’une théière, pour commenter tous les sujets d’actualité, en s’inspirant le plus souvent du contenu des journaux. Contrairement aux idées reçues, les opinions y sont très variées et les analyses critiques et objectives. Mais nous n’avons pas visité que les grins. Toujours persuadé que l’émergence de la Côte d’Ivoire ne se fera qu’avec l’ensemble des fils et des filles du pays, Nord-Sud Quotidien a aussi associé à cette rubrique les agoras animés par les partisans de l’opposition, en l’occurrence la Fédération nationale des organisations des parlements et agoras de Côte d’Ivoire (Fenopaci) qui a accueilli nos reporters, le 23 septembre, dans l’un de ses fiefs de Port-Bouët. Les membres du ‘’parlement’’ II-Plateaux (Cocody), eux, ont choisi de se déplacer, en juin dernier, jusqu’au siège du journal pour le débat sur un éventuel impact de la confirmation des charges contre Gbagbo à la Cpi, sur le processus de réconciliation nationale. Nous gardons des souvenirs très cordiaux de ce rendez-vous. Selon les thèmes, nous avons ciblé des organisations sectorielles ou corporatistes. Ainsi, pour parler de la courte durée de vie de certaines infrastructures routières, nos équipes ont été reçues par l’Union des fédérations des syndicats de chauffeurs de Cocody, et l’Union des transporteurs de la même commune. Nous avons été également les hôtes de la Fédération nationale des syndicats de chauffeurs de Côte d’Ivoire. Dans l’ambiance de la gare routière d’Adjamé, nous avons évalué avec ces syndicalistes, réunis en grand nombre, la situation du racket sur les routes. De même, à l’occasion de la journée internationale de la femme, le journal est allé à la rencontre de veuves de la crise postélectorale regroupées au sein de l’association Fô-hondi (Paix et solidarité, en Baoulé), basée à Abobo Akeikoi. De même, notre délégation a débattu des difficultés des entreprises de presse avec le Groupement des diffuseurs de presse de Côte d’Ivoire (Gdpci) à son Qg d’Adjamé Marie-Thérèse Houphouet-Boigny. Les exemples sont nombreux. De l’Association des frères d’Abobo(Afa), le tout premier grin visité, le samedi 13 juillet 2013, jusqu’ au Banco 1 dont les habitants ont été invités à proposer des solutions durables contre les éboulements meurtriers des saisons pluvieuses, en passant par les grins de Gagnoa, Daloa,Man, Aboisso, d’Abengourou et de Bouaké, les rencontres ont permis aux débatteurs, outre leurs avis sur les thèmes du jour, de donner un écho à leurs préoccupations quotidiennes. Une source de satisfaction supplémentaire pour nous.
Cissé Sindou
