Abidjan - Co-animant une conférence de presse mardi à Abidjan, le secrétaire général du Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), Guillaume Gbato, et celui du Syndicat autonome des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Saappci), Glodé Francelin, ont affiché leur volonté de faire appliquer la convention collective qui régit leur profession dès fin Juillet.
"Cette année, ça passe ou ça casse. Alors, nous estimons qu’après le 31 juillet, le Conseil national de la presse (CNP) doit passer au contrôle et nous l’y aiderons, pour que tous les hors-la-loi soient traqués et mis hors d’état de nuire", ont déclaré Guillaume Gbato et Glodé Francelin. Ils ont rappelé l’octroi de 800 000 000 de FCFA de subvention par l’Etat, estimant que les chefs d’entreprises de presse n’ont aucune raison de se dérober à l’application de la mesure.
Les deux secrétaires ont, en outre, précisé n’avoir pas été saisis officiellement d’une quelconque négociation tendant à remettre en cause la décision prise par le CNP le 7 mai 2014. D’ailleurs, ont-ils menacé, quiconque entreprendra une démarche pour ne pas faire appliquer la décision, ‘’nous trouvera forcement sur son chemin’’.
Pour les syndicalistes, la phase des négociations étant terminée, les journalistes doivent se tenir prêts à dénoncer les ‘’ennemis de notre presse’’.
Ils ont salué certains chefs d’entreprises, notamment ceux de "Nord Sud Quotidien", de "La Matinale" et de "l’Intelligent d’Abidjan" qui "se sont déjà engagés à appliquer la convention’’, tout en encourageant ceux qui hésitent encore.
(AIP)
ik/kkp/ask
"Cette année, ça passe ou ça casse. Alors, nous estimons qu’après le 31 juillet, le Conseil national de la presse (CNP) doit passer au contrôle et nous l’y aiderons, pour que tous les hors-la-loi soient traqués et mis hors d’état de nuire", ont déclaré Guillaume Gbato et Glodé Francelin. Ils ont rappelé l’octroi de 800 000 000 de FCFA de subvention par l’Etat, estimant que les chefs d’entreprises de presse n’ont aucune raison de se dérober à l’application de la mesure.
Les deux secrétaires ont, en outre, précisé n’avoir pas été saisis officiellement d’une quelconque négociation tendant à remettre en cause la décision prise par le CNP le 7 mai 2014. D’ailleurs, ont-ils menacé, quiconque entreprendra une démarche pour ne pas faire appliquer la décision, ‘’nous trouvera forcement sur son chemin’’.
Pour les syndicalistes, la phase des négociations étant terminée, les journalistes doivent se tenir prêts à dénoncer les ‘’ennemis de notre presse’’.
Ils ont salué certains chefs d’entreprises, notamment ceux de "Nord Sud Quotidien", de "La Matinale" et de "l’Intelligent d’Abidjan" qui "se sont déjà engagés à appliquer la convention’’, tout en encourageant ceux qui hésitent encore.
(AIP)
ik/kkp/ask