Félix Diby Boni, le Secrétaire général de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a démissionné, lundi, de son « poste » et du « Conseil Exécutif » pour des raisons de «convenances personnelles ».
Dans un courrier adressé à la Présidente par intérim de l'Union dont copie a été postée sur sa page Facebook, l'ex-Secrétaire général de l'UNJCI explique sa décision par ‘' l'ambiance'' qui n'honore pas ‘'notre corporation, notre union et les personnes qui la dirigent, en dépit de la volonté de changement que nous avions promise à nos mandants''.
A l'épreuve du terrain, explique Félix Diby Boni, les choses semblent avoir empiré qu'elles ne l'avaient été auparavant. A l'en croire, l'UNJCI sombre dans une crise sans précédent, qui n'est pas loin de faire ''disparaître le peu de crédit'' qui lui reste. M. Diby dénonce ‘'des guerres de clans'' qui ont ‘'achevé de saper'' la cohésion du Conseil dirigeant.
‘'Plus rien ne va. Plus rien ne marche. De l'équipe initiale, il ne reste plus qu'un groupe tiraillé par les divisions internes et des suspicions tant légitimes qu'illégitimes. Sans compter les mains occultes, qui de l'extérieur, manœuvrent à des desseins inavoués'', soutient le Secrétaire général démissionnaire.
Tout ceci, poursuit-t-il, n'est pas de nature à garantir un ‘'environnement favorable'', une ‘'image digne'' de l'UNJCI.
‘'Aujourd'hui, je ne vois aucun challenge que ce Conseil exécutif peut relever dans cette atmosphère délétère et malsaine. Je ne vois pas l'UNJCI prospérer dans un tel contexte'', assène M. Diby qui ne veut pas être ‘'complice et comptable d'actes que je n'aurais pas posés ou cautionnés, encore moins du déclin'' de l'Union.
''Le pacte de confiance étant rompu, je pars du Conseil exécutif tout en restant convaincu qu'à vouloir persévérer dans la voie où l'on mène l'Union, il sera difficile de la sauver'', accuse M. Diby en se tenant disponible pour ‘'participer à d'autres combats futurs pour sa nécessaire réhabilitation après les dures épreuves qu'elle traverse''.
HS/ls/APA
Dans un courrier adressé à la Présidente par intérim de l'Union dont copie a été postée sur sa page Facebook, l'ex-Secrétaire général de l'UNJCI explique sa décision par ‘' l'ambiance'' qui n'honore pas ‘'notre corporation, notre union et les personnes qui la dirigent, en dépit de la volonté de changement que nous avions promise à nos mandants''.
A l'épreuve du terrain, explique Félix Diby Boni, les choses semblent avoir empiré qu'elles ne l'avaient été auparavant. A l'en croire, l'UNJCI sombre dans une crise sans précédent, qui n'est pas loin de faire ''disparaître le peu de crédit'' qui lui reste. M. Diby dénonce ‘'des guerres de clans'' qui ont ‘'achevé de saper'' la cohésion du Conseil dirigeant.
‘'Plus rien ne va. Plus rien ne marche. De l'équipe initiale, il ne reste plus qu'un groupe tiraillé par les divisions internes et des suspicions tant légitimes qu'illégitimes. Sans compter les mains occultes, qui de l'extérieur, manœuvrent à des desseins inavoués'', soutient le Secrétaire général démissionnaire.
Tout ceci, poursuit-t-il, n'est pas de nature à garantir un ‘'environnement favorable'', une ‘'image digne'' de l'UNJCI.
‘'Aujourd'hui, je ne vois aucun challenge que ce Conseil exécutif peut relever dans cette atmosphère délétère et malsaine. Je ne vois pas l'UNJCI prospérer dans un tel contexte'', assène M. Diby qui ne veut pas être ‘'complice et comptable d'actes que je n'aurais pas posés ou cautionnés, encore moins du déclin'' de l'Union.
''Le pacte de confiance étant rompu, je pars du Conseil exécutif tout en restant convaincu qu'à vouloir persévérer dans la voie où l'on mène l'Union, il sera difficile de la sauver'', accuse M. Diby en se tenant disponible pour ‘'participer à d'autres combats futurs pour sa nécessaire réhabilitation après les dures épreuves qu'elle traverse''.
HS/ls/APA