Yamoussoukro, Des journalistes et correspondants de presse à Yamoussoukro (centre, région du Bélier) ont été sensibilisés sur les abus et violences sexuelles, ainsi que les punitions physiques et humiliantes (PPH) infligés aux enfants, à l’occasion d'une séance de formation organisée par l'ONG "Renaissance, santé Bouaké" (RSB), jeudi.
Initiée dans le cadre du projet ''Protection miwa'' contre les abus, l'exploitation, la violence sexuelle, les punitions physiques humiliantes ainsi que le renforcement du système national de protection de l'enfant à Yamoussoukro, la séance de formation et de sensibilisation de la presse locale a été l'occasion pour la directrice exécutif du projet, Mme Dorothée Touali, d'insister sur la violence quotidienne faite aux enfants au mépris de leurs droits.
S'exprimant sur le cas de punitions physiques et humiliantes (PPH), la directrice exécutive du projet ''Protection miwa'' a indiqué qu'il y a des ''solutions alternatives'', à savoir ''faire copier plusieurs fois sa leçon à un enfant, que de lui porter main'', a conseillé Mme Touali, prévenant ''qu'un enfant qui subit une violence devient un adulte dangereux'.'
Aussi, a-t-elle invité les journalistes et hommes de médias à relayer l'information, pour une meilleure sensibilisation des populations sur la protection des enfants.
Le projet ''Protection miwa'' va durer deux ans. Environ 600 enfants, victimes d'abus sexuel et de punitions physiques humiliantes et de leurs droits juridiques, sont les bénéficiaires directs.
Trente mille autres enfants, dans les écoles et dans les communautés, bénéficieront également des sessions de sensibilisation, de même que 30.000 adultes, à travers des formations, des campagnes de proximité, pour permettre aux enfants de jouir de leurs droits à la protection contre l'abus, l'exploitation, la négligence et les violences.
(AIP)
nam/kp
Initiée dans le cadre du projet ''Protection miwa'' contre les abus, l'exploitation, la violence sexuelle, les punitions physiques humiliantes ainsi que le renforcement du système national de protection de l'enfant à Yamoussoukro, la séance de formation et de sensibilisation de la presse locale a été l'occasion pour la directrice exécutif du projet, Mme Dorothée Touali, d'insister sur la violence quotidienne faite aux enfants au mépris de leurs droits.
S'exprimant sur le cas de punitions physiques et humiliantes (PPH), la directrice exécutive du projet ''Protection miwa'' a indiqué qu'il y a des ''solutions alternatives'', à savoir ''faire copier plusieurs fois sa leçon à un enfant, que de lui porter main'', a conseillé Mme Touali, prévenant ''qu'un enfant qui subit une violence devient un adulte dangereux'.'
Aussi, a-t-elle invité les journalistes et hommes de médias à relayer l'information, pour une meilleure sensibilisation des populations sur la protection des enfants.
Le projet ''Protection miwa'' va durer deux ans. Environ 600 enfants, victimes d'abus sexuel et de punitions physiques humiliantes et de leurs droits juridiques, sont les bénéficiaires directs.
Trente mille autres enfants, dans les écoles et dans les communautés, bénéficieront également des sessions de sensibilisation, de même que 30.000 adultes, à travers des formations, des campagnes de proximité, pour permettre aux enfants de jouir de leurs droits à la protection contre l'abus, l'exploitation, la négligence et les violences.
(AIP)
nam/kp