Le président de l’Organisation non gouvernementale (ONG)’‘SOS Forêts’’, Dr Mathieu Wadja Egnankou, a annoncé, mardi à Cocody, l’organisation d’un prix du meilleur journaliste et organe de presse traitant des questions liées à l’environnement, lors d’un atelier de formation des acteurs des médias sur l’Accord de partenariat volontaire relatif à l’exploitation du bois (APV/FLEGT) et de la gouvernance forestière.
Ce prix, souligne-t-on, va octroyer 500 mille FCFA au meilleur journaliste et au meilleur organe de presse qui ont, entre autres, traité des questions liées à la problématique de la gestion forestière, la protection des forêts, les parcs et réserves, les écosystèmes, le réchauffement climatique, la destruction de la mangrove, la dégradation de la diversité biologique.
Pour le président de ‘’SOS FORET’’, ce prix est à la fois une motivation pour les acteurs des médias dans leur mission de sensibilisation et d’information du public, et aussi un appui pour la société civile dans le cadre des négociations devant aboutir à la signature des accords APV/FLEGT en 2017.
Prodiguant des conseils aux hommes des médias, le président du jury de ce prix, Touré Moussa, journaliste à Fraternité Matin, a indiqué qu’il faut traiter l’information liée aux questions de l’environnement de ‘’façon attrayante, en abordant l’angle qui établit un rapport entre les bienfaits et le bien-être de la population’’.
« Il existe toujours une place pour ce type d’information au même titre que les informations politiques», a-t-il ajouté.
Un jury, composé de six membres, devra juger les productions écrites ou audiovisuelles publiées depuis le 26 août jusqu'à la fin du mois d’octobre. Le prix est annuel et s’étend pour le moment sur une période de trois ans, selon Dr Wadja.
tad/dm/tm
Ce prix, souligne-t-on, va octroyer 500 mille FCFA au meilleur journaliste et au meilleur organe de presse qui ont, entre autres, traité des questions liées à la problématique de la gestion forestière, la protection des forêts, les parcs et réserves, les écosystèmes, le réchauffement climatique, la destruction de la mangrove, la dégradation de la diversité biologique.
Pour le président de ‘’SOS FORET’’, ce prix est à la fois une motivation pour les acteurs des médias dans leur mission de sensibilisation et d’information du public, et aussi un appui pour la société civile dans le cadre des négociations devant aboutir à la signature des accords APV/FLEGT en 2017.
Prodiguant des conseils aux hommes des médias, le président du jury de ce prix, Touré Moussa, journaliste à Fraternité Matin, a indiqué qu’il faut traiter l’information liée aux questions de l’environnement de ‘’façon attrayante, en abordant l’angle qui établit un rapport entre les bienfaits et le bien-être de la population’’.
« Il existe toujours une place pour ce type d’information au même titre que les informations politiques», a-t-il ajouté.
Un jury, composé de six membres, devra juger les productions écrites ou audiovisuelles publiées depuis le 26 août jusqu'à la fin du mois d’octobre. Le prix est annuel et s’étend pour le moment sur une période de trois ans, selon Dr Wadja.
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