Le gouvernement ivoirien a organisé jeudi un atelier de renforcement des capacités de son comité technique de négociation dans le cadre de l'accord de partenariat volontaire avec l'Union européenne (UE) sur la gouvernance forestière.
La rencontre avait pour objectif de faire connaître le projet pour fédérer le plus de parties prenantes et contribuer à l'avancement du processus de négociation de l'accord de partenariat volontaire concernant les questions liées au marché domestique et à la définition de la légalité du bois.
Le calendrier d'exécution du projet, le comité de réflexion sur le marché national du bois, la nécessité de formaliser le marché national du bois et l'état d'avancement de la grille de légalité ont été présentés lors de l'atelier de formation.
De même l'amélioration et l'harmonisation de la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l'accord de partenariat volontaire ont été abordées.
Pour le représentant du ministre des Eaux et Forêts, Gouessé Lanciné, le projet est "l'expression d'une bonne gouvernance en matière forestière" en Côte d'Ivoire.
Daniela Rofi, de la délégation de l'UE en Côte d'Ivoire, a souhaité que "les négociations se poursuivent de manière concrète" afin que "ce processus soit un succès".
L'accord de partenariat volontaire prévoit l'application des réglementations forestières et une bonne gouvernance lors des échanges commerciaux en n'autorisant que du bois légal sur le marché européen.
Il entend résoudre les problèmes de l'exploitation illégale des forêts et du commerce du bois et des produits dérivés qui y sont associés.
Le début des négociations du gouvernement ivoirien avec l'UE date de juin 2013.
La rencontre avait pour objectif de faire connaître le projet pour fédérer le plus de parties prenantes et contribuer à l'avancement du processus de négociation de l'accord de partenariat volontaire concernant les questions liées au marché domestique et à la définition de la légalité du bois.
Le calendrier d'exécution du projet, le comité de réflexion sur le marché national du bois, la nécessité de formaliser le marché national du bois et l'état d'avancement de la grille de légalité ont été présentés lors de l'atelier de formation.
De même l'amélioration et l'harmonisation de la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l'accord de partenariat volontaire ont été abordées.
Pour le représentant du ministre des Eaux et Forêts, Gouessé Lanciné, le projet est "l'expression d'une bonne gouvernance en matière forestière" en Côte d'Ivoire.
Daniela Rofi, de la délégation de l'UE en Côte d'Ivoire, a souhaité que "les négociations se poursuivent de manière concrète" afin que "ce processus soit un succès".
L'accord de partenariat volontaire prévoit l'application des réglementations forestières et une bonne gouvernance lors des échanges commerciaux en n'autorisant que du bois légal sur le marché européen.
Il entend résoudre les problèmes de l'exploitation illégale des forêts et du commerce du bois et des produits dérivés qui y sont associés.
Le début des négociations du gouvernement ivoirien avec l'UE date de juin 2013.