Deux nouvelles structures, RTI Distribution et RTI Productions, sont au centre de la nouvelle stratégie dévoilée, vendredi à Abidjan, par le directeur général de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), Ahmadou Bakayoko, pour la production de fictions de qualité, capables de conquérir le marché international.
Pour ce faire, RTI Production va intensifier la coproduction et le préachat de productions tandis que RTI Distribution procédera à la valorisation des fictions ivoiriennes sur ses chaînes et à l’étranger sur les salons, marchés et festivals dédiés.
La première chaine de télévision publique ivoirienne a élaboré à cet effet un catalogue comprenant notamment "Brouteur.com II", "Rêve sans faim", "Family stories", version anglaise de "Ma famille", "Faut pas fâcher", "Qui fait ça ?", "Les leçons de la vie II" ou encore "On est où là ?", qu’elle présentera du 05 au 07 novembre à Johannesburg lors du Discop Africa 2014.
Le Discop Africa est le rendez-vous incontournable et le plus attendu en Afrique pour les industries de la télévision. Elle rassemble, depuis 2008, plus de 2.000 acheteurs, vendeurs et producteurs de films, de programmes TV, de formats et de chaînes packagées, indique-t-on.
"Notre ambition est de jouer la chance de la Côte d’Ivoire sur un marché très concurrentiel avec des productions de qualité, répondant aux standards internationaux et aux attentes des téléspectateurs", s’est engagé le DG de la RTI, lors de la cérémonie qui se déroulait dans les locaux de télévision, à Cocody.
"Cette industrie qui contribue au rayonnement des grands pays producteurs aura des retombées sur les auteurs, les acteurs et c’est toute la filière qui se trouvera innervée de cette manne financière", a-t-il argumenté.
La vente et l’achat de contenu télévisuel sous toutes ses formes représentent plus d’un demi-milliard de Dollars US avec de multiples perspectives de développement, Nollywood contribuant, par exemple, à hauteur de 2% au PIB du Nigéria.
Pour relever ce défi de la redynamisation du cinéma et de la production de fictions, la RTI a créé la marque "Babiwood", lancé un concours de détection de "Nouveaux talents" de scénaristes qu’elle a formés avec le soutien de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Elle a aussi investi plus de 200 millions de francs CFA pour le préachat et la coproduction de fictions et ambitionne de créer son propre studio d’enregistrement.
"Cette nouvelle collaboration nous permet de travailler dans de bonnes conditions professionnelles. C’est une très belle expérience", s’est réjouie la réalisatrice Anna Ballo.
Pour ce faire, RTI Production va intensifier la coproduction et le préachat de productions tandis que RTI Distribution procédera à la valorisation des fictions ivoiriennes sur ses chaînes et à l’étranger sur les salons, marchés et festivals dédiés.
La première chaine de télévision publique ivoirienne a élaboré à cet effet un catalogue comprenant notamment "Brouteur.com II", "Rêve sans faim", "Family stories", version anglaise de "Ma famille", "Faut pas fâcher", "Qui fait ça ?", "Les leçons de la vie II" ou encore "On est où là ?", qu’elle présentera du 05 au 07 novembre à Johannesburg lors du Discop Africa 2014.
Le Discop Africa est le rendez-vous incontournable et le plus attendu en Afrique pour les industries de la télévision. Elle rassemble, depuis 2008, plus de 2.000 acheteurs, vendeurs et producteurs de films, de programmes TV, de formats et de chaînes packagées, indique-t-on.
"Notre ambition est de jouer la chance de la Côte d’Ivoire sur un marché très concurrentiel avec des productions de qualité, répondant aux standards internationaux et aux attentes des téléspectateurs", s’est engagé le DG de la RTI, lors de la cérémonie qui se déroulait dans les locaux de télévision, à Cocody.
"Cette industrie qui contribue au rayonnement des grands pays producteurs aura des retombées sur les auteurs, les acteurs et c’est toute la filière qui se trouvera innervée de cette manne financière", a-t-il argumenté.
La vente et l’achat de contenu télévisuel sous toutes ses formes représentent plus d’un demi-milliard de Dollars US avec de multiples perspectives de développement, Nollywood contribuant, par exemple, à hauteur de 2% au PIB du Nigéria.
Pour relever ce défi de la redynamisation du cinéma et de la production de fictions, la RTI a créé la marque "Babiwood", lancé un concours de détection de "Nouveaux talents" de scénaristes qu’elle a formés avec le soutien de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Elle a aussi investi plus de 200 millions de francs CFA pour le préachat et la coproduction de fictions et ambitionne de créer son propre studio d’enregistrement.
"Cette nouvelle collaboration nous permet de travailler dans de bonnes conditions professionnelles. C’est une très belle expérience", s’est réjouie la réalisatrice Anna Ballo.