Paris - La Côte d’Ivoire, premier pays producteur de cacao, est "déterminée" à éliminer le "fléau" du travail des enfants dans les plantations, même s’il reste "beaucoup à faire", a déclaré mardi à Paris Dominique Ouattara, Première dame de ce pays d’Afrique de l’ouest.
"Avec une production annuelle d’1,75 million de tonnes, la culture de notre cacao s’inscrit dans une perspective de durabilité répondant aux valeurs éthiques recommandées", a affirmé l’épouse du président Alassane Ouattara, qui est à la tête d’un Comité national de surveillance contre la traite et le travail des enfants et de la fondation "Children of Africa".
La Côte d’Ivoire est considérée comme une importante destination régionale du trafic d’enfants en provenance des pays frontaliers, notamment le Burkina Faso et le Mali, afin de travailler dans ses cultures.
"Les entreprises intervenant dans la filière du cacao et du chocolat ont décidé de nous soutenir en consentant d’importants investissements dans la construction et la réhabilitation d’écoles proches des grandes plantations de cacao", a indiqué la Première dame, qui a signé en octobre 2013 avec son homologue burkinabè Chantal Campaoré, un accord de coopération entre les deux pays pour lutter contre la traite des enfants.
"Bien sûr, il reste encore beaucoup à faire mais nous sommes déterminés à lutter jusqu’à l’élimination totale de ce fléau", a assuré Dominique Ouattara.
Le nombre d’enfants travaillant en Côte d’Ivoire dans la culture du cacao est d’au moins 300.000 et peut s’élever jusqu’à un million, selon la fondation Initiative internationale pour le cacao (ICI), une organisation créée par l’industrie du chocolat pour lutter contre le travail des enfants dans la filière, qui souligne que cette notion recouvre une réalité complexe, allant du travail forcé à une contribution occasionnelle.
Une enquête menée sur le phénomène par l’université américaine de Tulane doit être rendue publique avant la fin de l’année 2014.
Dominique Ouattara s’exprimait à l’occasion de l’ouverture à Paris du 20e Salon du chocolat, une édition anniversaire qui donne lieu à une exposition sur l’histoire de ce "patrimoine universel".
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao, avec environ 35% des parts de marché, et qui représente 15% du PIB du pays.
alm/ial/blb/thm
"Avec une production annuelle d’1,75 million de tonnes, la culture de notre cacao s’inscrit dans une perspective de durabilité répondant aux valeurs éthiques recommandées", a affirmé l’épouse du président Alassane Ouattara, qui est à la tête d’un Comité national de surveillance contre la traite et le travail des enfants et de la fondation "Children of Africa".
La Côte d’Ivoire est considérée comme une importante destination régionale du trafic d’enfants en provenance des pays frontaliers, notamment le Burkina Faso et le Mali, afin de travailler dans ses cultures.
"Les entreprises intervenant dans la filière du cacao et du chocolat ont décidé de nous soutenir en consentant d’importants investissements dans la construction et la réhabilitation d’écoles proches des grandes plantations de cacao", a indiqué la Première dame, qui a signé en octobre 2013 avec son homologue burkinabè Chantal Campaoré, un accord de coopération entre les deux pays pour lutter contre la traite des enfants.
"Bien sûr, il reste encore beaucoup à faire mais nous sommes déterminés à lutter jusqu’à l’élimination totale de ce fléau", a assuré Dominique Ouattara.
Le nombre d’enfants travaillant en Côte d’Ivoire dans la culture du cacao est d’au moins 300.000 et peut s’élever jusqu’à un million, selon la fondation Initiative internationale pour le cacao (ICI), une organisation créée par l’industrie du chocolat pour lutter contre le travail des enfants dans la filière, qui souligne que cette notion recouvre une réalité complexe, allant du travail forcé à une contribution occasionnelle.
Une enquête menée sur le phénomène par l’université américaine de Tulane doit être rendue publique avant la fin de l’année 2014.
Dominique Ouattara s’exprimait à l’occasion de l’ouverture à Paris du 20e Salon du chocolat, une édition anniversaire qui donne lieu à une exposition sur l’histoire de ce "patrimoine universel".
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao, avec environ 35% des parts de marché, et qui représente 15% du PIB du pays.
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