La Côte d’Ivoire et la France ont signé ce jeudi 30 octobre, à la Primature, un avenant au premier Contrat-Désendettement-Développement(C2D) et une convention d’affectation du programme Ebola. Présidant la cérémonie à son cabinet, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a salué cette double signature, insistant particulièrement sur la convention d’affectation Ebola de 6 milliards FCFA. Pour le Chef du gouvernement l’affectation de ce montant se justifie par l’urgence d’une action liée à la vitesse de propagation de cette maladie à l’échelle internationale.
« Pour prévenir durablement la survenue de cette maladie dans notre pays, il importe de renforcer les mécanismes de prévention qui demeurent à ce jour le moyen d’action le plus efficace », a soutenu Daniel Kablan Duncan expliquant que cette confirme bien la ferme volonté du Président de la République et de son gouvernement de mener une lutte de front contre la maladie à virus Ebola.
Représentant la partie française, l’ambassadeur de France, SEM Georges Serre a pour sa part mentionné qu’il était « crucial que le pays se prépare afin de prévenir, maîtriser ou circonscrire l’épidémie » qui pourrait avoir de graves répercussions à moyen et long terme sur le plan humain et économique.
Détaillant les objectifs assignés à cette convention, le diplomate français a fait savoir qu’il s’agit en premier lieu d’anticiper l’apparition des cas par l’information, la sensibilisation et la formation des agents de santé et relais communautaires, notamment dans les zones voisines des pays touchés.
En deuxième lieu, ce financement a pour but d’anticiper sur les aspects logistiques pour le traitement des cas suspects en mettant à disposition des divers intervenants, aussi bien sur le terrain qu’à Abidjan, du matériel de protection, des médicaments, des équipements pour les centres d’isolement.
Troisièmement, soutient Georges Serre, l’appui de la France vise à anticiper la confirmation des cas suspects en appuyant l’Institut Pasteur, qui dispose de plusieurs laboratoires en Côte d’Ivoire, en mettant à sa disposition des réactifs pour analyser les échantillons des cas suspects et en renforçant les capacités de ses laboratoires.
L’ambassadeur de France a assuré que l’ensemble des actions seront mises en œuvre sous la responsabilité du ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, en étroite coordination avec les autres bailleurs de fonds du Plan de réponse, notamment la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et l’Union européenne.
Notons que le 1er C2D a été signé il y a 22 mois, soit le 1er décembre 2012, pour un montant de 413,25 milliards FCFA (630 millions euros), couvrant six (6) secteurs de concentration et trois (3) secteurs transversaux, pour la période 2012-2015.
« Pour prévenir durablement la survenue de cette maladie dans notre pays, il importe de renforcer les mécanismes de prévention qui demeurent à ce jour le moyen d’action le plus efficace », a soutenu Daniel Kablan Duncan expliquant que cette confirme bien la ferme volonté du Président de la République et de son gouvernement de mener une lutte de front contre la maladie à virus Ebola.
Représentant la partie française, l’ambassadeur de France, SEM Georges Serre a pour sa part mentionné qu’il était « crucial que le pays se prépare afin de prévenir, maîtriser ou circonscrire l’épidémie » qui pourrait avoir de graves répercussions à moyen et long terme sur le plan humain et économique.
Détaillant les objectifs assignés à cette convention, le diplomate français a fait savoir qu’il s’agit en premier lieu d’anticiper l’apparition des cas par l’information, la sensibilisation et la formation des agents de santé et relais communautaires, notamment dans les zones voisines des pays touchés.
En deuxième lieu, ce financement a pour but d’anticiper sur les aspects logistiques pour le traitement des cas suspects en mettant à disposition des divers intervenants, aussi bien sur le terrain qu’à Abidjan, du matériel de protection, des médicaments, des équipements pour les centres d’isolement.
Troisièmement, soutient Georges Serre, l’appui de la France vise à anticiper la confirmation des cas suspects en appuyant l’Institut Pasteur, qui dispose de plusieurs laboratoires en Côte d’Ivoire, en mettant à sa disposition des réactifs pour analyser les échantillons des cas suspects et en renforçant les capacités de ses laboratoires.
L’ambassadeur de France a assuré que l’ensemble des actions seront mises en œuvre sous la responsabilité du ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, en étroite coordination avec les autres bailleurs de fonds du Plan de réponse, notamment la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et l’Union européenne.
Notons que le 1er C2D a été signé il y a 22 mois, soit le 1er décembre 2012, pour un montant de 413,25 milliards FCFA (630 millions euros), couvrant six (6) secteurs de concentration et trois (3) secteurs transversaux, pour la période 2012-2015.
