Abidjan - L’ancien Premier ministre Ahoussou Kouadio Jeannot était mercredi l’invité du ‘’Fauteuil blanc’’ du quotidien Le Nouveau Réveil et s’est prononcé sur divers sujets qui sont en ligne de mire dans la presse ivoirienne de ce jour.
Le Nouveau Réveil qui le recevait a consacré la quasi-totalité de sa parution à l’évènement avec ce titre à la Une, "Ahoussou fait de grosses révélations".
Selon le ministre d’Etat auprès du président de la République, "si notre passé récent nous a divisés, que le futur nous rassemble", car le plus important c’est la Côte d’Ivoire, ce "vaste champ que nous devons cultiver avec amour", ajoutant que "la mère-patrie attend que nous lui donnions tous ses atouts".
Dans la perspective de la présidentielle de 2015 qui a suscité l’appel lancé à Daoukro par le président du PDCI, Henri Konan Bédié, pour une candidature consensuelle de l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara, Ahoussou Jeannot pense que "l’appel de Daoukro a trois volets, la candidature unique, le parti unifié et l’alternance".
Selon lui, "si on peut revenir au parti unique pour rebâtir le pays, c’est une bonne chose". Ce bout de phrase fait aussi la Une de l’Intelligent d’Abidjan.
Le juriste du PDCI nourrit l’espoir que si les dirigeants de son parti et ceux du Rassemblement des républicains (RDR) parviennent à un parti unifié, "il appartiendra à chacun de se faire valoir" mais avant, souhaite M. Ahoussou, ils doivent "reconstruire la confiance" entre eux.
Le débat sur l’éligibilité a été remis au goût du jour avec la sortie de l’ancien ministre Faustin Kouamé qui a préconisé une révision de la constitution. Sur ce point, Me Ahoussou estime que "si on peut s’abstenir de réviser la constitution, il faut le faire".
Cela fait dire à Le Monde d’Abidjan que "La constitution ne sera pas modifiée", soutenu par Le Temps qui conclut que "Ahoussou s’oppose à la révision de la constitution".
L’ancien Premier ministre s’est aussi prononcé sur une éventuelle alliance avec le Front populaire ivoirien (FPI), l’ancien parti au pouvoir. Dans Soir Info, il révèle qu’ "une coalition avec le FPI n’est pas à écarter".
Et Le Quotidien d’Abidjan d’enfoncer le clou avec ces propos du conférencier : "Ne soyez pas surpris d’une alliance FPI-PDCI". Ce qui fait dire à Le Monde d’Abidjan que "Ahoussou annonce une possibilité d’alliance avec le FPI".
Un drame s’est produit mercredi dans la commune d’Attécoubé avec l’effondrement d’un immeuble qui était en démolition parce que situé dans une zone à risques. Fraternité Matin qui se fait l’écho de la tragédie soutient que "la démolition d’un bâtiment à Attécoubé fait plusieurs victimes" et que "des personnes seraient encore sous les décombres".
Le Patriote se veut plus explicite et annonce qu’à Attécoubé, "un immeuble s’effondre et fait deux morts et deux blessés". Le même bilan de deux morts se trouve à la Une de L’Expression qui précise que le nombre des blessés s’évalue à 18.
De son côté, Soir Info souligne que "le déguerpissement a viré au drame" avec l’effondrement du l’immeuble sur les agents démolisseurs faisant "au moins quatre morts, plusieurs blessés et des portés disparus".
Quand à Notre Voie, il constate qu’il y a eu "un drame à Attécoubé, un immeuble s’est effondré aux environs de midi avec un bilan provisoire d’un mort, neuf victimes évacuées dans des formations sanitaires et 10 autres manœuvres coincés sous les décombres".
La ville de Cotonou a abrité la 64ème session du comité régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique qui a vu l’élection d’un nouveau directeur qui remplacera à partir de février, l’Angolais Luis Sambo.
Selon Fraternité Matin, c’est la "Botswanaise Matshidiso Moeti Rebecca qui a été élue" face à quatre candidats dont l’ex-ministre ivoirien de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Thérèse N’Dri Yoman. Ce qui fait jubiler Notre Voie qui barre en manchette que pour le poste de l’OMS-Afrique "La candidate de Ouattara battue".
Dans L’Inter, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, dévoile ce qui a fait perdre N’Dri Yoman, expliquant que "les candidatures du Mali et du Bénin ont compromis les chances" de l’Ivoirienne qui avait "le profil pour diriger l’organisation" mais qui a été victime "du bloc des pays de l’Est et du Sud" autour de la candidature du Botswana.
fmo/kkp/kam
Le Nouveau Réveil qui le recevait a consacré la quasi-totalité de sa parution à l’évènement avec ce titre à la Une, "Ahoussou fait de grosses révélations".
Selon le ministre d’Etat auprès du président de la République, "si notre passé récent nous a divisés, que le futur nous rassemble", car le plus important c’est la Côte d’Ivoire, ce "vaste champ que nous devons cultiver avec amour", ajoutant que "la mère-patrie attend que nous lui donnions tous ses atouts".
Dans la perspective de la présidentielle de 2015 qui a suscité l’appel lancé à Daoukro par le président du PDCI, Henri Konan Bédié, pour une candidature consensuelle de l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara, Ahoussou Jeannot pense que "l’appel de Daoukro a trois volets, la candidature unique, le parti unifié et l’alternance".
Selon lui, "si on peut revenir au parti unique pour rebâtir le pays, c’est une bonne chose". Ce bout de phrase fait aussi la Une de l’Intelligent d’Abidjan.
Le juriste du PDCI nourrit l’espoir que si les dirigeants de son parti et ceux du Rassemblement des républicains (RDR) parviennent à un parti unifié, "il appartiendra à chacun de se faire valoir" mais avant, souhaite M. Ahoussou, ils doivent "reconstruire la confiance" entre eux.
Le débat sur l’éligibilité a été remis au goût du jour avec la sortie de l’ancien ministre Faustin Kouamé qui a préconisé une révision de la constitution. Sur ce point, Me Ahoussou estime que "si on peut s’abstenir de réviser la constitution, il faut le faire".
Cela fait dire à Le Monde d’Abidjan que "La constitution ne sera pas modifiée", soutenu par Le Temps qui conclut que "Ahoussou s’oppose à la révision de la constitution".
L’ancien Premier ministre s’est aussi prononcé sur une éventuelle alliance avec le Front populaire ivoirien (FPI), l’ancien parti au pouvoir. Dans Soir Info, il révèle qu’ "une coalition avec le FPI n’est pas à écarter".
Et Le Quotidien d’Abidjan d’enfoncer le clou avec ces propos du conférencier : "Ne soyez pas surpris d’une alliance FPI-PDCI". Ce qui fait dire à Le Monde d’Abidjan que "Ahoussou annonce une possibilité d’alliance avec le FPI".
Un drame s’est produit mercredi dans la commune d’Attécoubé avec l’effondrement d’un immeuble qui était en démolition parce que situé dans une zone à risques. Fraternité Matin qui se fait l’écho de la tragédie soutient que "la démolition d’un bâtiment à Attécoubé fait plusieurs victimes" et que "des personnes seraient encore sous les décombres".
Le Patriote se veut plus explicite et annonce qu’à Attécoubé, "un immeuble s’effondre et fait deux morts et deux blessés". Le même bilan de deux morts se trouve à la Une de L’Expression qui précise que le nombre des blessés s’évalue à 18.
De son côté, Soir Info souligne que "le déguerpissement a viré au drame" avec l’effondrement du l’immeuble sur les agents démolisseurs faisant "au moins quatre morts, plusieurs blessés et des portés disparus".
Quand à Notre Voie, il constate qu’il y a eu "un drame à Attécoubé, un immeuble s’est effondré aux environs de midi avec un bilan provisoire d’un mort, neuf victimes évacuées dans des formations sanitaires et 10 autres manœuvres coincés sous les décombres".
La ville de Cotonou a abrité la 64ème session du comité régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique qui a vu l’élection d’un nouveau directeur qui remplacera à partir de février, l’Angolais Luis Sambo.
Selon Fraternité Matin, c’est la "Botswanaise Matshidiso Moeti Rebecca qui a été élue" face à quatre candidats dont l’ex-ministre ivoirien de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Thérèse N’Dri Yoman. Ce qui fait jubiler Notre Voie qui barre en manchette que pour le poste de l’OMS-Afrique "La candidate de Ouattara battue".
Dans L’Inter, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, dévoile ce qui a fait perdre N’Dri Yoman, expliquant que "les candidatures du Mali et du Bénin ont compromis les chances" de l’Ivoirienne qui avait "le profil pour diriger l’organisation" mais qui a été victime "du bloc des pays de l’Est et du Sud" autour de la candidature du Botswana.
fmo/kkp/kam