Une cérémonie de signature de quatre conventions de collaboration engageant la mise en œuvre d’un projet de production intensive de maïs dénommé « Complexe agro pastoral de Côte d’Ivoire » (CAPCI), s’est tenue, mercredi 12 novembre, au cabinet du ministère de l’Agriculture, avec le groupe américain PIONEER, l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), la Société d’exploitation et de développement aéroportuaire aéronautique et météorologique (SODEXAM) et l’École supérieure d’agronomie (ESA), ces conventions.
Le Directeur général du CAPCI, M. N’Zi Kouadio Yao Sévérin, a indiqué que ce projet à pour objectif, de mettre en place, « un groupement d’intérêt économique sur une ferme pilote de 900 ha, destinée à la culture intensive de maïs hybride PIONEER », une espèce de maïs à haut rendement qui permet d’accroitre de 2 tonnes à 20 tonnes, la production à l’hectare.
Ces conventions s’inscrivent dans le volet agricole de ce projet, a, par ailleurs, expliqué M. N’Zi. Elles permettront au CAPCI de bénéficier du calendrier cultural et des relevés pluviométriques ruraux produits par la SODEXAM, des recherches et des formations du groupe PIONEER, de l’encadrement des producteurs par l’ANADER, et du renforcement de leurs capacités par l’ESA.
Le CAPCI devrait permettre de créer 2.000 emplois et favoriser, à terme, la formation et l’installation de 5.000 producteurs sur 3.000 ha de champ situé dans les régions de la Marahoué (2000 ha) et du Bélier (1.000 ha).
Représentant le ministre de l’Agriculture, le Directeur de cabinet, M. Coulibaly Siaka Minayaha a, toutefois, tenu à préciser que cette espèce de maïs n’est pas un Organisme génétiquement modifié (OGM).
Estimé à 8,26 milliards de FCFA Le CAPCI, s’inscrit dans le Programme national d’investissement agricole (PNIA 2010-2015). Il ambitionne aussi bien de réduire la pauvreté et l’insécurité alimentaire, que de contribuer à l’accélération de la croissance économique de la Côte d’Ivoire, « en assurant la durabilité des microstructures entrepreneuriales (…) pour l’exploitation de terres louées de façon équitable ».
Le Directeur général du CAPCI, M. N’Zi Kouadio Yao Sévérin, a indiqué que ce projet à pour objectif, de mettre en place, « un groupement d’intérêt économique sur une ferme pilote de 900 ha, destinée à la culture intensive de maïs hybride PIONEER », une espèce de maïs à haut rendement qui permet d’accroitre de 2 tonnes à 20 tonnes, la production à l’hectare.
Ces conventions s’inscrivent dans le volet agricole de ce projet, a, par ailleurs, expliqué M. N’Zi. Elles permettront au CAPCI de bénéficier du calendrier cultural et des relevés pluviométriques ruraux produits par la SODEXAM, des recherches et des formations du groupe PIONEER, de l’encadrement des producteurs par l’ANADER, et du renforcement de leurs capacités par l’ESA.
Le CAPCI devrait permettre de créer 2.000 emplois et favoriser, à terme, la formation et l’installation de 5.000 producteurs sur 3.000 ha de champ situé dans les régions de la Marahoué (2000 ha) et du Bélier (1.000 ha).
Représentant le ministre de l’Agriculture, le Directeur de cabinet, M. Coulibaly Siaka Minayaha a, toutefois, tenu à préciser que cette espèce de maïs n’est pas un Organisme génétiquement modifié (OGM).
Estimé à 8,26 milliards de FCFA Le CAPCI, s’inscrit dans le Programme national d’investissement agricole (PNIA 2010-2015). Il ambitionne aussi bien de réduire la pauvreté et l’insécurité alimentaire, que de contribuer à l’accélération de la croissance économique de la Côte d’Ivoire, « en assurant la durabilité des microstructures entrepreneuriales (…) pour l’exploitation de terres louées de façon équitable ».