Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le projet Complexe agro-pastoral de Côte d’Ivoire (CAPCI) destiné à investir dans la production intensive de maïs pour le renforcement de l’alimentation est rentré, mercredi, dans sa phase active avec la signature de quatre conventions d’une valeur de 8, 26 milliards de FCFA.
Ces quatre conventions de collaboration engageant la mise en œuvre de ce projet ont été signées entre le CAPCI et le groupe américain PIONEER, l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), la Société d’exploitation et de développement aéroportuaire aéronautique et météorologique (SODEXAM) et l’École supérieure d’agronomie (ESA).
Elles permettront au CAPCI de bénéficier du calendrier cultural et des relevés pluviométriques ruraux produits par la SODEXAM, des recherches et des formations du groupe PIONEER, de l’encadrement des producteurs par l’ANADER, et du renforcement de leurs capacités par l’ESA.
Ce projet a pour objectif, selon le Directeur général du CAPCI, Sévérin Yao Kouadio N’Zi, de mettre en place, ‘’un groupement d’intérêt économique sur une ferme pilote de 900 hectares, destinée à la culture intensive de maïs hybride PIONEER’’, une espèce de maïs à haut rendement qui permet d’accroitre de 2 tonnes à 20 tonnes, la production à l’hectare.
Le CAPCI devrait permettre de créer 2.000 emplois et favoriser, à terme, la formation et l’installation de 5.000 producteurs sur 3.000 hectares de champ situé dans les régions de la Marahoué (2000 hectares) et du Bélier (1.000 hectares).
Représentant le ministre de l’Agriculture, le Directeur de cabinet, Minayaha Siaka Coulibaly a pour sa part précisé que cette espèce de maïs n’est pas un Organisme génétiquement modifié (OGM). Le CAPCI, s’inscrit dans le Programme national d’investissement agricole (PNIA 2010-2015).
Il ambitionne aussi bien de réduire la pauvreté et l’insécurité alimentaire, que de contribuer à l’accélération de la croissance économique de la Côte d’Ivoire, ‘’en assurant la durabilité des microstructures entrepreneuriales (…) pour l’exploitation de terres louées de façon équitable’’,, explique une note d’information du ministère ivoirien de l’agriculture.
LS
Ces quatre conventions de collaboration engageant la mise en œuvre de ce projet ont été signées entre le CAPCI et le groupe américain PIONEER, l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), la Société d’exploitation et de développement aéroportuaire aéronautique et météorologique (SODEXAM) et l’École supérieure d’agronomie (ESA).
Elles permettront au CAPCI de bénéficier du calendrier cultural et des relevés pluviométriques ruraux produits par la SODEXAM, des recherches et des formations du groupe PIONEER, de l’encadrement des producteurs par l’ANADER, et du renforcement de leurs capacités par l’ESA.
Ce projet a pour objectif, selon le Directeur général du CAPCI, Sévérin Yao Kouadio N’Zi, de mettre en place, ‘’un groupement d’intérêt économique sur une ferme pilote de 900 hectares, destinée à la culture intensive de maïs hybride PIONEER’’, une espèce de maïs à haut rendement qui permet d’accroitre de 2 tonnes à 20 tonnes, la production à l’hectare.
Le CAPCI devrait permettre de créer 2.000 emplois et favoriser, à terme, la formation et l’installation de 5.000 producteurs sur 3.000 hectares de champ situé dans les régions de la Marahoué (2000 hectares) et du Bélier (1.000 hectares).
Représentant le ministre de l’Agriculture, le Directeur de cabinet, Minayaha Siaka Coulibaly a pour sa part précisé que cette espèce de maïs n’est pas un Organisme génétiquement modifié (OGM). Le CAPCI, s’inscrit dans le Programme national d’investissement agricole (PNIA 2010-2015).
Il ambitionne aussi bien de réduire la pauvreté et l’insécurité alimentaire, que de contribuer à l’accélération de la croissance économique de la Côte d’Ivoire, ‘’en assurant la durabilité des microstructures entrepreneuriales (…) pour l’exploitation de terres louées de façon équitable’’,, explique une note d’information du ministère ivoirien de l’agriculture.
LS