Abidjan – La ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a annoncé, jeudi, à la maison de la presse au Plateau, la mise en place d’un numéro vert pour les journalistes, en vue de leur apporter secours et de réduire les risques d’atteinte à leur intégrité physique dans l’exercice de leur métier.
S’exprimant lors de la célébration de la journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes organisée par l’Unesco, Me Bamba-Lamine a indiqué que les journalistes doivent être mieux protégés que quiconque, dans la mesure où ils exercent un ‘’métier noble’’.
Elle a rassuré les journalistes sur l’ambition du chef de l’Etat d’améliorer les conditions d’exercice de leur métier et reconnu qu’il importe que des mesures vigoureuses soient prises pour mettre fin aux crimes commis à leur encontre.
En décembre 2013, l’Assemblée générale des Nations unies a proclamé le 2 novembre Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes, dans le but de sensibiliser l’opinion au défi que constitue l’impunité et de mobiliser des moyens pour lutter contre cela, indique-t-on.
La date choisie est celle de l’assassinat des deux journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, au Mali, le 2 novembre 2013, précise-t-on.
L’Assemblée générale des Nations unies a chargé l’UNESCO de travailler avec tous les partenaires concernés, en tant qu’institution chef de file de cette journée.
La célébration de cette première journée en Côte d’Ivoire est marquée par un panel sur la sécurité des journalistes animé par Raphaël Lakpé, Zio Moussa et Alfred Dan Moussa. Elle s’articule autour du thème "La sécurité des journalistes : quels enjeux pour la Côte d’Ivoire en période pré-électorale".
kkp/kam
S’exprimant lors de la célébration de la journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes organisée par l’Unesco, Me Bamba-Lamine a indiqué que les journalistes doivent être mieux protégés que quiconque, dans la mesure où ils exercent un ‘’métier noble’’.
Elle a rassuré les journalistes sur l’ambition du chef de l’Etat d’améliorer les conditions d’exercice de leur métier et reconnu qu’il importe que des mesures vigoureuses soient prises pour mettre fin aux crimes commis à leur encontre.
En décembre 2013, l’Assemblée générale des Nations unies a proclamé le 2 novembre Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes, dans le but de sensibiliser l’opinion au défi que constitue l’impunité et de mobiliser des moyens pour lutter contre cela, indique-t-on.
La date choisie est celle de l’assassinat des deux journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, au Mali, le 2 novembre 2013, précise-t-on.
L’Assemblée générale des Nations unies a chargé l’UNESCO de travailler avec tous les partenaires concernés, en tant qu’institution chef de file de cette journée.
La célébration de cette première journée en Côte d’Ivoire est marquée par un panel sur la sécurité des journalistes animé par Raphaël Lakpé, Zio Moussa et Alfred Dan Moussa. Elle s’articule autour du thème "La sécurité des journalistes : quels enjeux pour la Côte d’Ivoire en période pré-électorale".
kkp/kam