Abidjan – Le gouvernement ivoirien souhaite faire de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) un "instrument privilégié" de la relance socio-économique initiée par le président de la République, même si "beaucoup reste à faire", a déclaré, jeudi, le ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, en prélude à la Journée mondiale de la télévision prévue ce vendredi.
Le gouvernement a réhabilité tous les émetteurs de la RTI, à hauteur de 3,8 milliards de FCFA pour une couverture de 96% du territoire national.
Elle est accessible sur internet et sur le satellite, donnant une plus grande visibilité au plan international et permettant à la diaspora ivoirienne d'être mieux informée.
Toutefois, "beaucoup reste à faire pour que notre télévision devienne l'un des instruments privilégiés de la politique de relance socio-économique prônée par le président", relativise la porte-parole adjointe du gouvernement qui invite « les responsables à poursuivre leurs efforts pour le bonheur de nos concitoyens » tout comme les professionnels des chaînes de télévisions internationales dont elle souhaite voir exercer leur métier "dans la rigueur et avec un sens élevé du devoir".
La Côte d’Ivoire est engagée dans deux importants projets que constituent le passage au numérique et la libéralisation de l'espace télévisuel qui engageront la RTI dans une rude concurrence à laquelle elle doit faire face.
"C'est pourquoi, depuis son avènement à la magistrature suprême en 2011, le président de la République a inscrit la communication au cœur de sa gouvernance et a instruit le gouvernement d'engager un processus de mutation profonde de la RTI, dans la perspective de la hisser au rang des chaînes de renom, en Afrique et dans le reste du monde", explique Me Affoussiata Bamba-Lamine, soulignant que sa "grille des programmes est en plein réaménagement pour répondre à l'évolution des temps" par un ajustement de son contenu et de sa capacité technique.
Initiée par les Nations unies, la Journée mondiale de la télévision vise à "encourager des échanges internationaux d'émissions consacrées notamment à des questions telles que la paix, la sécurité, le développement économique et social et le renforcement des échanges culturels".
(AIP)
aaa/kkp/tm
Le gouvernement a réhabilité tous les émetteurs de la RTI, à hauteur de 3,8 milliards de FCFA pour une couverture de 96% du territoire national.
Elle est accessible sur internet et sur le satellite, donnant une plus grande visibilité au plan international et permettant à la diaspora ivoirienne d'être mieux informée.
Toutefois, "beaucoup reste à faire pour que notre télévision devienne l'un des instruments privilégiés de la politique de relance socio-économique prônée par le président", relativise la porte-parole adjointe du gouvernement qui invite « les responsables à poursuivre leurs efforts pour le bonheur de nos concitoyens » tout comme les professionnels des chaînes de télévisions internationales dont elle souhaite voir exercer leur métier "dans la rigueur et avec un sens élevé du devoir".
La Côte d’Ivoire est engagée dans deux importants projets que constituent le passage au numérique et la libéralisation de l'espace télévisuel qui engageront la RTI dans une rude concurrence à laquelle elle doit faire face.
"C'est pourquoi, depuis son avènement à la magistrature suprême en 2011, le président de la République a inscrit la communication au cœur de sa gouvernance et a instruit le gouvernement d'engager un processus de mutation profonde de la RTI, dans la perspective de la hisser au rang des chaînes de renom, en Afrique et dans le reste du monde", explique Me Affoussiata Bamba-Lamine, soulignant que sa "grille des programmes est en plein réaménagement pour répondre à l'évolution des temps" par un ajustement de son contenu et de sa capacité technique.
Initiée par les Nations unies, la Journée mondiale de la télévision vise à "encourager des échanges internationaux d'émissions consacrées notamment à des questions telles que la paix, la sécurité, le développement économique et social et le renforcement des échanges culturels".
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