Abidjan (Côte d’Ivoire) - La rencontre entre le Chef de l’Etat Alassane Ouattara et les soldats mécontents ainsi que le rejet de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI) souhaité par Pascal Affi N’guessan et le départ de l’ex-Président Burkinabé Blaise Compaoré au Maroc, occupent la Une de la presse ivoirienne parue, vendredi, sur l’ensemble du territoire national.
Le Chef de l'Etat ivoirien a reçu, jeudi après-midi, au palais présidentiel du Plateau, une délégation des soldats mécontents après les négociations que ceux-ci ont eues avec le Comité interministériel.
Le Président Alassane Ouattara rassure les militaires, titre en Une, le quotidien à capitaux public Fraternité Matin qui ajoute en citant M. Ouattara, « tous vos problèmes seront résolus ». Notre Voie, voit autrement cette révolte des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI). « Crise de confiance entre Ouattara et son armée », souligne ce quotidien.
Après une rencontre avec les mutins, hier, Ouattara plaide dans les colonnes de Soir Info que « d'autres ne rentrent pas dans la danse ». Grogne des FRCI, écrit L'Inter, « Ouattara et les militaires se mettent d'accord ».
Alassane Ouattara face aux soldats mutins hier, rapporte en Une, Le Nouveau Réveil, « n'affaiblissez pas mon travail ». Selon le confrère, le Président Alassane Ouattara rassurant que « tous les arriérés seront réglés » a été ferme : « pas de chienlit dans ce pays ».
« Ne faites plus ça ! » lance le Chef de l'Etat aux « insurgés », selon le journal Le Mandat qui précise que les arriérés seront réglés sur six mois. Pour le quotidien L'Expression, les soldats mettent fin au vœu des déstabilisateurs.
« Nous ne saurons détruire votre œuvre », déclarent ces soldats dans les colonnes de ce journal, là où le Chef de l'Etat rassure, «quand je donne ma parole, je la tiens ». Après la révolte des militaires, mardi, constate Le Nouveau Courrier, « Ouattara a peur ».
La Matinale note un « accord parfait » entre Alassane Ouattara et les militaires. « Ils (militaires) ont renouvelé soumission et obéissance à Ouattara » et « présenté leurs excuses au Président de la République ».
Le courrier de Pascal Affi N'guessan réclamant le rejet de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du FPI, est également largement commenté par les journaux quotidiens ivoiriens parus ce jour.
« Proposition de candidature de Laurent Gbagbo, Affi attaque l'imposture », titre en Une, Notre Voie, le journal officiel du FPI qui présente par ailleurs la lettre de contestation. « Candidature à la présidence du FPI, Affi porte plainte contre Gbagbo », renchérit Soir Info.
«Affi N'guessan attaque la candidature de Laurent Gbagbo», ajoute L'Inter qui publie sa lettre au Comité de contrôle. Dans les colonnes de L'Expression, Affi parle à Gbagbo : « tu n'es pas éligible ». Pour Fraternité Matin, Affi dit non à Gbagbo.
Le départ de l'ex-Président Burkinabé Blaise Compaoré au Maroc est également à la Une des journaux.
Après trois semaines à Yamoussoukro, Blaise Compaoré s'exile au Maroc, écrit Notre Voie. Soir Info dit connaître ce que la « présidence a promis à Blaise Compaoré ».
« Compaoré a quitté Yamoussoukro, hier », titre L'Inter en mettant en relief les « ministres ivoiriens qui l'accompagnaient ». Pour Le Nouveau Courrier, « Compaoré fuit la Côte d'Ivoire ».
LS/hs/APA
Le Chef de l'Etat ivoirien a reçu, jeudi après-midi, au palais présidentiel du Plateau, une délégation des soldats mécontents après les négociations que ceux-ci ont eues avec le Comité interministériel.
Le Président Alassane Ouattara rassure les militaires, titre en Une, le quotidien à capitaux public Fraternité Matin qui ajoute en citant M. Ouattara, « tous vos problèmes seront résolus ». Notre Voie, voit autrement cette révolte des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI). « Crise de confiance entre Ouattara et son armée », souligne ce quotidien.
Après une rencontre avec les mutins, hier, Ouattara plaide dans les colonnes de Soir Info que « d'autres ne rentrent pas dans la danse ». Grogne des FRCI, écrit L'Inter, « Ouattara et les militaires se mettent d'accord ».
Alassane Ouattara face aux soldats mutins hier, rapporte en Une, Le Nouveau Réveil, « n'affaiblissez pas mon travail ». Selon le confrère, le Président Alassane Ouattara rassurant que « tous les arriérés seront réglés » a été ferme : « pas de chienlit dans ce pays ».
« Ne faites plus ça ! » lance le Chef de l'Etat aux « insurgés », selon le journal Le Mandat qui précise que les arriérés seront réglés sur six mois. Pour le quotidien L'Expression, les soldats mettent fin au vœu des déstabilisateurs.
« Nous ne saurons détruire votre œuvre », déclarent ces soldats dans les colonnes de ce journal, là où le Chef de l'Etat rassure, «quand je donne ma parole, je la tiens ». Après la révolte des militaires, mardi, constate Le Nouveau Courrier, « Ouattara a peur ».
La Matinale note un « accord parfait » entre Alassane Ouattara et les militaires. « Ils (militaires) ont renouvelé soumission et obéissance à Ouattara » et « présenté leurs excuses au Président de la République ».
Le courrier de Pascal Affi N'guessan réclamant le rejet de la candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du FPI, est également largement commenté par les journaux quotidiens ivoiriens parus ce jour.
« Proposition de candidature de Laurent Gbagbo, Affi attaque l'imposture », titre en Une, Notre Voie, le journal officiel du FPI qui présente par ailleurs la lettre de contestation. « Candidature à la présidence du FPI, Affi porte plainte contre Gbagbo », renchérit Soir Info.
«Affi N'guessan attaque la candidature de Laurent Gbagbo», ajoute L'Inter qui publie sa lettre au Comité de contrôle. Dans les colonnes de L'Expression, Affi parle à Gbagbo : « tu n'es pas éligible ». Pour Fraternité Matin, Affi dit non à Gbagbo.
Le départ de l'ex-Président Burkinabé Blaise Compaoré au Maroc est également à la Une des journaux.
Après trois semaines à Yamoussoukro, Blaise Compaoré s'exile au Maroc, écrit Notre Voie. Soir Info dit connaître ce que la « présidence a promis à Blaise Compaoré ».
« Compaoré a quitté Yamoussoukro, hier », titre L'Inter en mettant en relief les « ministres ivoiriens qui l'accompagnaient ». Pour Le Nouveau Courrier, « Compaoré fuit la Côte d'Ivoire ».
LS/hs/APA