Le président sortant, Amédée Assi Adon, a été réélu à la présidence du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) à l’issue du 3ème congrès ordinaire du groupement qui s’est tenu à l’Hotel Mafouët à Grand-Bassam.
Avec 19 voix, le directeur général fondateur des Editions Appo a été réélu à la tête du GEPCI devant Allan Aliali de la société Aymar Groupe (6 voix), Dibi Attoungbré, patron de Horizon Média, éditeur de Le Mandat (5 voix).
Ouvert samedi par l’Inspecteur général du ministère de la Communication, Jean Claude Bayala, le 3ème congrès ordinaire du GEPCI avait pour thème "Quelles stratégies pour les éditeurs Ivoiriens face à la crise mondiale de la presse ? "
Jean Claude Bayala a conseillé, face aux défis de la mévente, de l'application de l'annexe de la Convention collective et de la mauvaise formation des journalistes, aux patrons de presse d'explorer "de nouvelles stratégies pour conquérir de nouveaux horizons", "dans la convivialité, la sérénité et dans la solidarité".
Il les a invités à faire preuve de gratitude à l'égard du gouvernement qui les soutient à travers le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) qui vient de leur accorder un financement de l'impression de leurs journaux sur une période six mois,.
"La gratitude que vous pouvez marquer au gouvernement, c'est d'appliquer l'annexe vous concernant pour l'application de la Convention collective, parce qu'il ne peut y avoir de presse sans journalistes et vice-versa. Vous êtes condamnés à vivre ensemble", a-t-il conseillé.
A noter que les travaux du congrès se sont achevés hier.
Avec 19 voix, le directeur général fondateur des Editions Appo a été réélu à la tête du GEPCI devant Allan Aliali de la société Aymar Groupe (6 voix), Dibi Attoungbré, patron de Horizon Média, éditeur de Le Mandat (5 voix).
Ouvert samedi par l’Inspecteur général du ministère de la Communication, Jean Claude Bayala, le 3ème congrès ordinaire du GEPCI avait pour thème "Quelles stratégies pour les éditeurs Ivoiriens face à la crise mondiale de la presse ? "
Jean Claude Bayala a conseillé, face aux défis de la mévente, de l'application de l'annexe de la Convention collective et de la mauvaise formation des journalistes, aux patrons de presse d'explorer "de nouvelles stratégies pour conquérir de nouveaux horizons", "dans la convivialité, la sérénité et dans la solidarité".
Il les a invités à faire preuve de gratitude à l'égard du gouvernement qui les soutient à travers le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) qui vient de leur accorder un financement de l'impression de leurs journaux sur une période six mois,.
"La gratitude que vous pouvez marquer au gouvernement, c'est d'appliquer l'annexe vous concernant pour l'application de la Convention collective, parce qu'il ne peut y avoir de presse sans journalistes et vice-versa. Vous êtes condamnés à vivre ensemble", a-t-il conseillé.
A noter que les travaux du congrès se sont achevés hier.