Depuis hier jeudi 11 décembre, un séminaire de formation organisé par le Cabinet d’expertise de conseil et de courtage en assurances (Cecc), qui a pour thème central : ’’Quels types d’assurances prendre pour garantir et sécuriser le patrimoine humain et matériel de l’entreprise’’, se tient à Grand-Bassam. Pendant deux jours, les participants, composés de responsables en entreprises, de chefs de service d’institutions et de représentants du ministère de l’Économie et des Finances, seront instruits notamment sur ’’le rôle de l’intermédiation dans le développement de l’assurance en Côte d’Ivoire et dans la zone Cima’’.
Pour cette première journée, les échanges ont porté sur le rôle des courtiers dans le domaine de l’intermédiation. Le directeur général de Cecc, Coulibaly Niennenkariga Habib, a expliqué l’importance, pour une personne physique et morale, de recourir à un courtier en assurances.
« Une compagnie d’assurances n’a pas l’obligation d’expliquer ses produits. Donc, quand vous venez souscrire directement, ça veut dire que vous connaissez le contrat, vous savez aussi déjà vos besoins et en fonction du besoin, vous venez à la compagnie d’assurances pour prendre un contrat précis », a-t-il relevé. Le rôle du courtier, selon lui, est d’expliquer, de présenter les produits d’assurance en fonction des besoins du client. « Le sinistre étant la mise en jeu des garanties souscrites, le courtier d’assurances ne s’arrête pas seulement à la souscription, il continue jusqu’à la gestion et à l’indemnisation des sinistres. Il y a une centaine de courtiers, mais ce qui doit orienter toute personne vers une structure de courtage, c’est l’expertise dans le domaine », a soutenu M. Coulibaly. Les participants ont apprécié cette session de formation et souhaité qu’elle soit multipliée. La Direction des Assurances, représentée par Koffi Konan David, contrôleur des assurances, a salué l’initiative de Coulibaly Habib, ’’la première dans l’histoire du courtage en Assurances’’. Idem pour le représentant du ministère de l’Economie et des Finances. Compte tenu de la qualité des échanges, des participants ont souhaité la production de recommandations à l’endroit du gouvernement, relatives aux abus dans la gestion des assurances. Le séminaire, notons-le, prend fin aujourd’hui.
Y.DOUMBIA
Pour cette première journée, les échanges ont porté sur le rôle des courtiers dans le domaine de l’intermédiation. Le directeur général de Cecc, Coulibaly Niennenkariga Habib, a expliqué l’importance, pour une personne physique et morale, de recourir à un courtier en assurances.
« Une compagnie d’assurances n’a pas l’obligation d’expliquer ses produits. Donc, quand vous venez souscrire directement, ça veut dire que vous connaissez le contrat, vous savez aussi déjà vos besoins et en fonction du besoin, vous venez à la compagnie d’assurances pour prendre un contrat précis », a-t-il relevé. Le rôle du courtier, selon lui, est d’expliquer, de présenter les produits d’assurance en fonction des besoins du client. « Le sinistre étant la mise en jeu des garanties souscrites, le courtier d’assurances ne s’arrête pas seulement à la souscription, il continue jusqu’à la gestion et à l’indemnisation des sinistres. Il y a une centaine de courtiers, mais ce qui doit orienter toute personne vers une structure de courtage, c’est l’expertise dans le domaine », a soutenu M. Coulibaly. Les participants ont apprécié cette session de formation et souhaité qu’elle soit multipliée. La Direction des Assurances, représentée par Koffi Konan David, contrôleur des assurances, a salué l’initiative de Coulibaly Habib, ’’la première dans l’histoire du courtage en Assurances’’. Idem pour le représentant du ministère de l’Economie et des Finances. Compte tenu de la qualité des échanges, des participants ont souhaité la production de recommandations à l’endroit du gouvernement, relatives aux abus dans la gestion des assurances. Le séminaire, notons-le, prend fin aujourd’hui.
Y.DOUMBIA