Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan était face à la presse, vendredi 12 décembre, à son cabinet pour présenter officiellement les résultats de la Côte d’Ivoire dans le cadre du rapport Doing Business 2015 du Groupe de la Banque Mondiale qui évalue les réformes réalisées au cours de l’année 2014 pour l’amélioration du climat des affaires dans 189 pays. Selon le Cjef du Gouvernement ivoirien, le résultat fondamental ou l’information majeure qui dooit être retenue, c’est que pour la seconde année consécutive, le pays est classé parmi les 10 pays ayant fait les plus grandes réformes dans le monde, passant du 7ème rang au 4ème rang.
“La Cote d’Ivoire est aussi le seul pays à se maintenir dans le Top 10 des réformateurs au cours des deux dernières années”, s’est félicité le conférencier expliquant que ces résultats témoignent de ce que “la Côte d’Ivoire est parvenue à maintenir, au cours des douze derniers mois, le rythme des réformes du Doing Business impulsées depuis deux années et qui ont permis, déjà dans le cadre du rapport Doing Business 2014, de réaliser des performances très élevées”.
Pour Daniel Kablan Duncan, ces performances qui s’observent par des avancées notables ont été rendues possible dans le secteur économique par le fait que "le Gouvernement s’est mis rapidement au travail" pour accélérer les réformes visant à relancer l’économie ivoirienne, la rendre plus compétitive pour en faire l’une des économies les plus attractives en Afrique.
Affichant l’ojectif suprême d’atteindre l’émergence à l’horizon 2020, la Côte d’Ivoire, a assuré le Premier ministe, fait du secteur privé le pilier de sa croissance économique. Aussi les reformes à réaliser à cet effet constituent un défi permanent pour d’une part, maintenir durablement le pays dans le peloton de tête des grands pays réformateurs.
D’autre part, hisser la Côte d’Ivoire aux premiers rangs du classement Doing Business à moyen terme, d’abord dans les cent premiers pays, et ensuite dans les cinquante premiers.
Pour y parvenir, a insisté le locataire de Primature, le Gouvernement entend poursuivre, d’ici mars 2015, l’accélération des réformes en cours, mais également engager de nouvelles réformes se rapportant à « la Création d’entreprise », « l’octroi du permis de construire », « le raccordement à l’électricité », « le transfert de Propriété », « le commerce transfrontalier », « l’exécution des contrats », « l’obtention des prêts » et « la réforme fiscale ».
“L’année 2015 devra ainsi confirmer les avancées notables de la Côte d’Ivoire en matière d’amélioration du climat des affaires”, a—t-il relevé, soulignant toutefois que “nous ne faisons pas les réformes pour les bailleurs de fonds mais pour nous-mêmes”.
“La Cote d’Ivoire est aussi le seul pays à se maintenir dans le Top 10 des réformateurs au cours des deux dernières années”, s’est félicité le conférencier expliquant que ces résultats témoignent de ce que “la Côte d’Ivoire est parvenue à maintenir, au cours des douze derniers mois, le rythme des réformes du Doing Business impulsées depuis deux années et qui ont permis, déjà dans le cadre du rapport Doing Business 2014, de réaliser des performances très élevées”.
Pour Daniel Kablan Duncan, ces performances qui s’observent par des avancées notables ont été rendues possible dans le secteur économique par le fait que "le Gouvernement s’est mis rapidement au travail" pour accélérer les réformes visant à relancer l’économie ivoirienne, la rendre plus compétitive pour en faire l’une des économies les plus attractives en Afrique.
Affichant l’ojectif suprême d’atteindre l’émergence à l’horizon 2020, la Côte d’Ivoire, a assuré le Premier ministe, fait du secteur privé le pilier de sa croissance économique. Aussi les reformes à réaliser à cet effet constituent un défi permanent pour d’une part, maintenir durablement le pays dans le peloton de tête des grands pays réformateurs.
D’autre part, hisser la Côte d’Ivoire aux premiers rangs du classement Doing Business à moyen terme, d’abord dans les cent premiers pays, et ensuite dans les cinquante premiers.
Pour y parvenir, a insisté le locataire de Primature, le Gouvernement entend poursuivre, d’ici mars 2015, l’accélération des réformes en cours, mais également engager de nouvelles réformes se rapportant à « la Création d’entreprise », « l’octroi du permis de construire », « le raccordement à l’électricité », « le transfert de Propriété », « le commerce transfrontalier », « l’exécution des contrats », « l’obtention des prêts » et « la réforme fiscale ».
“L’année 2015 devra ainsi confirmer les avancées notables de la Côte d’Ivoire en matière d’amélioration du climat des affaires”, a—t-il relevé, soulignant toutefois que “nous ne faisons pas les réformes pour les bailleurs de fonds mais pour nous-mêmes”.