Divo – Le président de la jeunesse communale de Divo, Adéhi Aubin a marqué, mardi, le désaccord de son organisation avec la déclaration de candidature de Charles Konan Banny à l’élection présidentielle de 2015, expliquant que bien qu’organisatrice de la cérémonie, la jeunesse communale n’en est nullement l’initiatrice.
« Nous avons organisé, mais nous ne sommes pas les initiateurs. La presse en a fait son choux gras, il était important pour notre structure qui fédère toutes les jeunesses de Divo de faire certaines clarifications », a déclaré Adéhi Aubin au cours d’une conférence de presse.
« Quand les hommes de Banny sont venus nous rencontrer, ils ont dit que c’est une rencontre entre la jeunesse et le grand-frère. Au cours de l’activité le discours avait une coloration politique.
A ce titre-là, il est en porte à faux avec l’approche que nous avons menée avec lui. Nous regrettons ce fait », a fait savoir Adéhi Aubin qui a promis que sa structure sera désormais plus regardante sur son implication dans toutes les nouvelles sollicitations.
Il a réaffirmé le caractère apolitique de la jeunesse communale et insisté sur ses objectifs. Il s’agit selon lui d’être une courroie de transmission entre les aspirations de toutes les jeunesses et la mairie.
« La jeunesse communale de Divo n’a aucunement apporté sa caution à la candidature de Banny. Nous précisons que nous sommes apolitiques. Notre action s’inscrit dans l’appui à la politique de la mairie en faveur de la jeunesse. Nous sommes un peu comme la porte entre la maire et les jeunes. Nous sommes les porte voix de la jeunesse auprès du maire. Nous sommes un organe de propositions en matière d’amélioration des conditions de vie des jeunes ».
« Je suis venu vous confier mon intention d’entreprendre ce long voyage, ce voyage utile. En poussant mon premier cri de bébé à Divo, c’est ici que mon premier combat a commencé. Si je dois engager un autre combat je dois revenir là où mon cordon ombilical a été enterré », a déclaré Charles Konan Banny lors de son adresse de Divo. La salle du centre culturel de Divo l’avait alors ovationné comme pour lui donner son onction.
Quelques semaines après ce meeting le conseil fédéral des jeunes leaders pour le développement du Lôh Djiboua (Cfdj) s’était insurgé contre le choix de la ville de Divo pour la déclaration officielle de candidature de Charles Konan Banny.
Au cours d’une conférence de presse animée par son président Elie Azragnon devant de nombreux membres, le Cfdj avait regretté que c’est toujours lorsqu’il est « en perte de vitesse que Charles Konan Banny se tourne vers Divo pour mener des activités qui pourraient s’avérer nuisibles pour l’essor de l’ensemble du Lôh Djiboua ».
(AIP)
gso/ask
« Nous avons organisé, mais nous ne sommes pas les initiateurs. La presse en a fait son choux gras, il était important pour notre structure qui fédère toutes les jeunesses de Divo de faire certaines clarifications », a déclaré Adéhi Aubin au cours d’une conférence de presse.
« Quand les hommes de Banny sont venus nous rencontrer, ils ont dit que c’est une rencontre entre la jeunesse et le grand-frère. Au cours de l’activité le discours avait une coloration politique.
A ce titre-là, il est en porte à faux avec l’approche que nous avons menée avec lui. Nous regrettons ce fait », a fait savoir Adéhi Aubin qui a promis que sa structure sera désormais plus regardante sur son implication dans toutes les nouvelles sollicitations.
Il a réaffirmé le caractère apolitique de la jeunesse communale et insisté sur ses objectifs. Il s’agit selon lui d’être une courroie de transmission entre les aspirations de toutes les jeunesses et la mairie.
« La jeunesse communale de Divo n’a aucunement apporté sa caution à la candidature de Banny. Nous précisons que nous sommes apolitiques. Notre action s’inscrit dans l’appui à la politique de la mairie en faveur de la jeunesse. Nous sommes un peu comme la porte entre la maire et les jeunes. Nous sommes les porte voix de la jeunesse auprès du maire. Nous sommes un organe de propositions en matière d’amélioration des conditions de vie des jeunes ».
« Je suis venu vous confier mon intention d’entreprendre ce long voyage, ce voyage utile. En poussant mon premier cri de bébé à Divo, c’est ici que mon premier combat a commencé. Si je dois engager un autre combat je dois revenir là où mon cordon ombilical a été enterré », a déclaré Charles Konan Banny lors de son adresse de Divo. La salle du centre culturel de Divo l’avait alors ovationné comme pour lui donner son onction.
Quelques semaines après ce meeting le conseil fédéral des jeunes leaders pour le développement du Lôh Djiboua (Cfdj) s’était insurgé contre le choix de la ville de Divo pour la déclaration officielle de candidature de Charles Konan Banny.
Au cours d’une conférence de presse animée par son président Elie Azragnon devant de nombreux membres, le Cfdj avait regretté que c’est toujours lorsqu’il est « en perte de vitesse que Charles Konan Banny se tourne vers Divo pour mener des activités qui pourraient s’avérer nuisibles pour l’essor de l’ensemble du Lôh Djiboua ».
(AIP)
gso/ask