A l’appel des Planteurs de Côte d’Ivoire, Les Abrons, Agni Bona, Agni Bini et Koulango, d’Abengourou à Bondoukou, et toutes les populations adossées à la façade Est du pays, ont dit OUI aux parrains d’ESSY Amara au cours d’une cérémonie KOUN FAO le janvier 2015. C’était en présence du Président Bilé Bilé (natif d’Abengourou) et de Chritophe DOUKA, natif de Divo (Sud Ouest). Rappelons que l’expert Douka Christophe est cette forte personnalité qui avait été dépêchée par ses collègues planteurs aux trousses d’ESSY Amara, happé entre deux avions à Paris, en provenance de New York, loin du tintamarre et du folklore Abidjanais.
Il est aussi utile de le rappeler, c’était devant presque les mêmes acteurs, gardiens de nos us et coutumes que Marcel Amon Tanoh, Directeur de Cabinet du Président Ouattara avait lancé à Abengourou un avis urgent de sélection d’un candidat crédible en vue de battre Ouattara lors de la prochaine présidentielle de 2015. De ce casting piloté par un autre fils d’Abengourou (M.Bilé Bilé) et ses pairs planteurs, est sorti le nom de l’onusien Essy Amara, la seule personnalité répondant aux critères très sélects fixés par le Directeur de Cabinet du Président de la République.
C’est donc ce résultat du casing que le président Bilé-Bilé accompagné de son collaborateur, le Coordonnateur des Planteurs de la Région des Lagunes (Abidjan) et de l’expert Christoph Douka, sont allés communiquer aux parents du diplomate Essy Amara, réunis pour la circonstance dans le Zanzan, et précisément à Koun-Fao.
Sereins et imperturbables à la confirmation de cette bonne nouvelle, malgré l’hostilité des dirigeants du PDCI-RDA, les populations ont accédé à la requête des planteurs puis ont solennellement prêté leur fils (bâtisseur unique dans le monde, à la fois d’une église et d’une mosquée côte à côte) à la Côte d’Ivoire pour une mission messianique et ponctuelle de réconciliation durant les cinq (5) prochaines années.
La pierre qu’auront rejetée les bâtisseurs du pont HKB, deviendra immédiatement et automatiquement la pierre angulaire de l’opposition ivoirienne et de la société civile, afin de bâtir des ponts immatériels entre les différentes communautés nationales. C’est la conviction des parents d’Essy Amara et du Réseau des Jeunes Cadres du Zanzan.
C’est pourquoi, pour les parents d’Essy Amara et le Réseau des Jeunes Cadres du Zanzan, l’hostilité du PDCI vis-à-vis d’ESSY Amara n’est point une calamité, mais au contraire, une aubaine que doivent saisir indistinctement, Mamadou Koulibaly, Laurent Gbagbo, Simone Gbagbo, Nandy Bamba, Affi N’guessan, Laurent Akoun, Douaty Alphonse, Sangaré Aboudramane, Charles Blé Goudé, Aka Ahizi, Kabran Appiah, Henriette Lagou, Charles Konan Banny, KKB, Danielle Bony Claverie, Martial Ahipeau, Doumbia Major, Idriss Ouattara, Damana Pickass, Secré Richard, Koné Katina, Francis Wodié, Ouraga Obou, Bléou Martin, Assoa Adou, Koua Justin, Tiburce Koffi, Yasmin Wognin, Kablan Brou, Samba David, Alexis Gbansé, Christian Vabé et les animateurs de la société civile pour un seul objectif : la reconstruction de l’unité nationale autour d’un candidat unique de l’opposition sans étiquette partisane.
Cette option ne soulagerait-elle pas Henri Konan Bédié et surtout Marcel Amon Tanoh, deux personnalités du pouvoir, dont le rêve est d’avoir face à Ouattara, un candidat sérieux et de grand calibre qui ne traîne pas de casseroles ? Le pauvre, il est bien servi et ne saurait en dire le contraire. Les sont très concrets et ne font jamais désirer.
L’appel est donc lancé à l’opposition politique dans ses diverses tendances à se ranger, non derrière un candidat autoproclamé, mais derrière le candidat appelé en rescousse par les planteurs de Côte d’Ivoire.
C’est toute la différence. A la base la candidature d’ESSY Amara se trouve l’onction de la côte d’ivoire profonde. Comme nous le savons tous, les paysans, agriculteurs de produits de spéculation ou du vivrier, ne sont point dans le tapage à la télé ni à la radio. Leur outil de communication, c’est leur réseau de bouche à oreille, incensurable une fois lancé.
Et croyez-nous, comme une traînée de poudre, le terrible président Bilé Bilé, l’homme au langage direct et plein de conviction capable de déplacer des montagnes, a déjà fait adopter le candidat Essy Amara dans les cœurs dans milieux ruraux très déçus des partis politiques, un sentiment que plus rien ne pourra effacer.
De toute évidence, en 2015, aucun discours politicien, démagogique et mensonger ne peut faire changer d’avis le planteur d’hévéa, ni celui du café cacao, de l’anacarde et du coton de son aspiration profonde à élire Essy Amara à la tête de la Côte d’Ivoire.
Le pragmatisme chez le paysan place LA SOIF DE PAIX ET DE RECONCILIATION NATIONALE au premier rang dans la hiérarchie des projets de sociétés des candidats en présence.
C’est certain, tout leader politique de l’opposition qui a de la vision et l’œil ouvert sur les forces motrices des changements politiques civilisés au Sénégal au Mali et qui a encore en souvenir les voix inattendues qui chantaient le nom de Kouamé Lougué (à la surprise du concerné) au Burkina voisin, saura discerner le ras-le bol du monde paysan et des masses paupérisées vis-à-vis des leaders des partis politiques toute tendances confondues.
En termes très clairs, les signes sont bien perceptibles que tout comme au Burkina où la prise de conscience et de responsabilité par la société civile a étonné le monde, ce qui nous a été donné de voir quant à la détermination des masses paysannes à s’octroyer (légalement et légitimement) le pouvoir et à le donner à qui elles veulent, doit convaincre chacun de nous que les yeux de nos parents planteurs, cultivateurs, éleveurs sont plus qu’ouverts et dotés d’une lecture géopolitique des réalités nationales et internationales rivalisant avec la perception d’experts venants d’Harvard, de Boston, de Londres, de Paris, d’Ottawa, de Berlin ou de Bruxelles, capitale de l’Europe. Christophe Douka, en est un exemple patent.
2ème Expert ivoirien du Cacao au Comité Européen de Normalisation (CEN-TC 45) ;
Président du Syndicat National des Producteurs Individuels de Café-Cacao en C.I.
Président régional de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire responsable du Sud-Bandama (DIVO-LAKOTA-FRESCO-GUITRY) 2ème Expert ivoirien du Cacao au Comité Européen de Normalisation (CEN-TC 45) Juge Consulaire au Tribunal de Commerce d’Abidjan.
Membre de la Coordination des Producteurs Agricoles PDCI-RDA.
Inutile de vouloir les intimider comme les proches de Charles Konan Banny. Ça ne marchera pas, et ce serait une bonne publicité de plus auprès de toute la corporation des agriculteurs de Côte-d’Ivoire, ses mandants, et auprès l’Union Européenne, qui ne saurait tolérer la brimade sur ses experts. C’est un conseil d’amis.
Comme on peut s’en apercevoir, la naïveté a quitté le milieu paysan pour se loger au sein des partis politiques où aident les leaders à emmener leurs militants en bateau.
Il est aussi utile de le rappeler, c’était devant presque les mêmes acteurs, gardiens de nos us et coutumes que Marcel Amon Tanoh, Directeur de Cabinet du Président Ouattara avait lancé à Abengourou un avis urgent de sélection d’un candidat crédible en vue de battre Ouattara lors de la prochaine présidentielle de 2015. De ce casting piloté par un autre fils d’Abengourou (M.Bilé Bilé) et ses pairs planteurs, est sorti le nom de l’onusien Essy Amara, la seule personnalité répondant aux critères très sélects fixés par le Directeur de Cabinet du Président de la République.
C’est donc ce résultat du casing que le président Bilé-Bilé accompagné de son collaborateur, le Coordonnateur des Planteurs de la Région des Lagunes (Abidjan) et de l’expert Christoph Douka, sont allés communiquer aux parents du diplomate Essy Amara, réunis pour la circonstance dans le Zanzan, et précisément à Koun-Fao.
Sereins et imperturbables à la confirmation de cette bonne nouvelle, malgré l’hostilité des dirigeants du PDCI-RDA, les populations ont accédé à la requête des planteurs puis ont solennellement prêté leur fils (bâtisseur unique dans le monde, à la fois d’une église et d’une mosquée côte à côte) à la Côte d’Ivoire pour une mission messianique et ponctuelle de réconciliation durant les cinq (5) prochaines années.
La pierre qu’auront rejetée les bâtisseurs du pont HKB, deviendra immédiatement et automatiquement la pierre angulaire de l’opposition ivoirienne et de la société civile, afin de bâtir des ponts immatériels entre les différentes communautés nationales. C’est la conviction des parents d’Essy Amara et du Réseau des Jeunes Cadres du Zanzan.
C’est pourquoi, pour les parents d’Essy Amara et le Réseau des Jeunes Cadres du Zanzan, l’hostilité du PDCI vis-à-vis d’ESSY Amara n’est point une calamité, mais au contraire, une aubaine que doivent saisir indistinctement, Mamadou Koulibaly, Laurent Gbagbo, Simone Gbagbo, Nandy Bamba, Affi N’guessan, Laurent Akoun, Douaty Alphonse, Sangaré Aboudramane, Charles Blé Goudé, Aka Ahizi, Kabran Appiah, Henriette Lagou, Charles Konan Banny, KKB, Danielle Bony Claverie, Martial Ahipeau, Doumbia Major, Idriss Ouattara, Damana Pickass, Secré Richard, Koné Katina, Francis Wodié, Ouraga Obou, Bléou Martin, Assoa Adou, Koua Justin, Tiburce Koffi, Yasmin Wognin, Kablan Brou, Samba David, Alexis Gbansé, Christian Vabé et les animateurs de la société civile pour un seul objectif : la reconstruction de l’unité nationale autour d’un candidat unique de l’opposition sans étiquette partisane.
Cette option ne soulagerait-elle pas Henri Konan Bédié et surtout Marcel Amon Tanoh, deux personnalités du pouvoir, dont le rêve est d’avoir face à Ouattara, un candidat sérieux et de grand calibre qui ne traîne pas de casseroles ? Le pauvre, il est bien servi et ne saurait en dire le contraire. Les sont très concrets et ne font jamais désirer.
L’appel est donc lancé à l’opposition politique dans ses diverses tendances à se ranger, non derrière un candidat autoproclamé, mais derrière le candidat appelé en rescousse par les planteurs de Côte d’Ivoire.
C’est toute la différence. A la base la candidature d’ESSY Amara se trouve l’onction de la côte d’ivoire profonde. Comme nous le savons tous, les paysans, agriculteurs de produits de spéculation ou du vivrier, ne sont point dans le tapage à la télé ni à la radio. Leur outil de communication, c’est leur réseau de bouche à oreille, incensurable une fois lancé.
Et croyez-nous, comme une traînée de poudre, le terrible président Bilé Bilé, l’homme au langage direct et plein de conviction capable de déplacer des montagnes, a déjà fait adopter le candidat Essy Amara dans les cœurs dans milieux ruraux très déçus des partis politiques, un sentiment que plus rien ne pourra effacer.
De toute évidence, en 2015, aucun discours politicien, démagogique et mensonger ne peut faire changer d’avis le planteur d’hévéa, ni celui du café cacao, de l’anacarde et du coton de son aspiration profonde à élire Essy Amara à la tête de la Côte d’Ivoire.
Le pragmatisme chez le paysan place LA SOIF DE PAIX ET DE RECONCILIATION NATIONALE au premier rang dans la hiérarchie des projets de sociétés des candidats en présence.
C’est certain, tout leader politique de l’opposition qui a de la vision et l’œil ouvert sur les forces motrices des changements politiques civilisés au Sénégal au Mali et qui a encore en souvenir les voix inattendues qui chantaient le nom de Kouamé Lougué (à la surprise du concerné) au Burkina voisin, saura discerner le ras-le bol du monde paysan et des masses paupérisées vis-à-vis des leaders des partis politiques toute tendances confondues.
En termes très clairs, les signes sont bien perceptibles que tout comme au Burkina où la prise de conscience et de responsabilité par la société civile a étonné le monde, ce qui nous a été donné de voir quant à la détermination des masses paysannes à s’octroyer (légalement et légitimement) le pouvoir et à le donner à qui elles veulent, doit convaincre chacun de nous que les yeux de nos parents planteurs, cultivateurs, éleveurs sont plus qu’ouverts et dotés d’une lecture géopolitique des réalités nationales et internationales rivalisant avec la perception d’experts venants d’Harvard, de Boston, de Londres, de Paris, d’Ottawa, de Berlin ou de Bruxelles, capitale de l’Europe. Christophe Douka, en est un exemple patent.
2ème Expert ivoirien du Cacao au Comité Européen de Normalisation (CEN-TC 45) ;
Président du Syndicat National des Producteurs Individuels de Café-Cacao en C.I.
Président régional de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire responsable du Sud-Bandama (DIVO-LAKOTA-FRESCO-GUITRY) 2ème Expert ivoirien du Cacao au Comité Européen de Normalisation (CEN-TC 45) Juge Consulaire au Tribunal de Commerce d’Abidjan.
Membre de la Coordination des Producteurs Agricoles PDCI-RDA.
Inutile de vouloir les intimider comme les proches de Charles Konan Banny. Ça ne marchera pas, et ce serait une bonne publicité de plus auprès de toute la corporation des agriculteurs de Côte-d’Ivoire, ses mandants, et auprès l’Union Européenne, qui ne saurait tolérer la brimade sur ses experts. C’est un conseil d’amis.
Comme on peut s’en apercevoir, la naïveté a quitté le milieu paysan pour se loger au sein des partis politiques où aident les leaders à emmener leurs militants en bateau.