Guiglo – Des délégations du Front populaire ivoirien (FPI) conduites par plusieurs cadres de ce parti dont Marcel Gossio et Alphonse Voho Sahi ont entrepris une vaste tournée dans les départements de Toulepleu, Taï, Bloléquin et Guiglo, afin d’expliquer la crise qui secoue actuellement le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo.
A l’occasion, l’ex-directeur général du port autonome d’Abidjan, Marcel Gossio, a expliqué aux militants les raisons de la crise au FPI qui, selon lui, est née du refus de certains cadres de se soumettre à la gouvernance du président Affi N’Guessan.
Il a ajouté que ces derniers veulent faire croire que le Président Laurent Gbagbo aurait déposé sa candidature bien qu’il soit en prison afin de diriger le parti.
« Toute cette orchestration est le fait d’une minorité qui veut se dérober aux textes démocratiques du parti puis s’accaparer de la présidence du parti », a commenté M. Gossio.
Il a présenté, à ce propos, les "documents falsifiés" de la candidature de Gbagbo présentés par un avocat. Il a assuré aussi que les signatures supposées de celui-ci seraient également falsifiées.
« Ainsi, pour donc éviter des troubles, la justice a annulé le congrès et qu’ils s’en tiennent à la décision de la justice », a-t-il insisté.
Pour Marcel Gossio, le FPI est aujourd’hui divisé en deux camps, le camp d’Affi qui prône la réconciliation avec pour objectif la participation aux prochaines élections et le camp des radicaux qui veulent continuer dans la violence et opter pour la politique de la chaise vide.
« Pour le président Affi, l’heure n’est plus à la violence mais à l’apaisement, à la concession et à la réconciliation. Le dialogue avec le pouvoir pour la survie du FPI s’avère nécessaire et vital », a-t-il argumenté.
Il a donc exhorté les militants à se disposer aux actions d’Affi N’Guessan afin de lutter pour la libération de tous les prisonniers et de négocier le retour du Président Laurent Gbagbo.
tkd/kkf/kkp/ask
A l’occasion, l’ex-directeur général du port autonome d’Abidjan, Marcel Gossio, a expliqué aux militants les raisons de la crise au FPI qui, selon lui, est née du refus de certains cadres de se soumettre à la gouvernance du président Affi N’Guessan.
Il a ajouté que ces derniers veulent faire croire que le Président Laurent Gbagbo aurait déposé sa candidature bien qu’il soit en prison afin de diriger le parti.
« Toute cette orchestration est le fait d’une minorité qui veut se dérober aux textes démocratiques du parti puis s’accaparer de la présidence du parti », a commenté M. Gossio.
Il a présenté, à ce propos, les "documents falsifiés" de la candidature de Gbagbo présentés par un avocat. Il a assuré aussi que les signatures supposées de celui-ci seraient également falsifiées.
« Ainsi, pour donc éviter des troubles, la justice a annulé le congrès et qu’ils s’en tiennent à la décision de la justice », a-t-il insisté.
Pour Marcel Gossio, le FPI est aujourd’hui divisé en deux camps, le camp d’Affi qui prône la réconciliation avec pour objectif la participation aux prochaines élections et le camp des radicaux qui veulent continuer dans la violence et opter pour la politique de la chaise vide.
« Pour le président Affi, l’heure n’est plus à la violence mais à l’apaisement, à la concession et à la réconciliation. Le dialogue avec le pouvoir pour la survie du FPI s’avère nécessaire et vital », a-t-il argumenté.
Il a donc exhorté les militants à se disposer aux actions d’Affi N’Guessan afin de lutter pour la libération de tous les prisonniers et de négocier le retour du Président Laurent Gbagbo.
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