Le fédéral de Korhogo, Coulibaly Lazeni, a récemment effectué une tournée d’information et de désintoxication dans les départements de Dikodougou et de Korhogo. Les sections de la fédération de Dikodougou et celles de Korhogo, de Niofoin et de M’Bengué ont reçu la visite du fédéral Lazeni et de sa délégation.
«Le président Affi nous envoie vous expliquer la crise interne qui secoue le parti», a déclaré le fédéral. Pour qui le Fpi doit survivre et vivre après les évènements de la crise postélectorale. «Tel doit être le combat de chaque militant», pense-t-il. «Oui, nous avons subi et continuons de subir. Mais si nous voulons donner de réelles chances au parti de libérer Laurent Gbagbo et reconquérir le pouvoir, nous les militants devons comprendre une chose et œuvrer dans le sens du retour du Fpi dans le débat politique ivoirien», a-t-il soutenu.
Les secrétaires de comité de base ont salué la voie du dialogue initié par le président Affi.
Pour les questions sur le congrès, le fédéral s’est voulu ferme. «Ne suivez pas toutes les agitations de Kéléfoa et sa clique. Il n’y a qu’une seule candidature pour le congrès du Fpi, c’est celle du président Affi. Des gens ont voulu par procuration diriger le parti, mais ils ont été démasqués», a-t-il ajouté.
Pour ce qui est de la cohésion dans la famille politique Fpi, le fédéral a rassuré : «Affi a tendu la main aux autres». Surtout que «les autres camarades se ressaisissent ! Regardons la réalité en face. Regardons l’intérêt général. On gagnera beaucoup en dialoguant».
A Niofoin, les militants ont dit leur satisfaction, car «on a souffert de la guerre. Nous avons été victimes en 2002, puis en 2011. Nous connaissons ce qu’il y a dedans et c’est seulement avec quelqu’un qui veut dialoguer pour faire avancer les choses que nous sommes prêts à nous engager», a soutenu Silué Moussa, membre du bureau fédéral.
Soma Sékongo, secrétaire de section de Lamékaha, a, pour sa part, invité les militants du parti à ne pas faire de la désobéissance. «Nous attendions cette tournée. On était impatients. Non seulement nous sommes abattus moralement, mais, en plus, beaucoup de militants n’ont aucune information. Il n’y a pas le Fpi de tant ou de tant. Il y a le Fpi et Affi en est le président. Ne faisons pas de la désobéissance», a-t-il conclu.
S.K.B.
«Le président Affi nous envoie vous expliquer la crise interne qui secoue le parti», a déclaré le fédéral. Pour qui le Fpi doit survivre et vivre après les évènements de la crise postélectorale. «Tel doit être le combat de chaque militant», pense-t-il. «Oui, nous avons subi et continuons de subir. Mais si nous voulons donner de réelles chances au parti de libérer Laurent Gbagbo et reconquérir le pouvoir, nous les militants devons comprendre une chose et œuvrer dans le sens du retour du Fpi dans le débat politique ivoirien», a-t-il soutenu.
Les secrétaires de comité de base ont salué la voie du dialogue initié par le président Affi.
Pour les questions sur le congrès, le fédéral s’est voulu ferme. «Ne suivez pas toutes les agitations de Kéléfoa et sa clique. Il n’y a qu’une seule candidature pour le congrès du Fpi, c’est celle du président Affi. Des gens ont voulu par procuration diriger le parti, mais ils ont été démasqués», a-t-il ajouté.
Pour ce qui est de la cohésion dans la famille politique Fpi, le fédéral a rassuré : «Affi a tendu la main aux autres». Surtout que «les autres camarades se ressaisissent ! Regardons la réalité en face. Regardons l’intérêt général. On gagnera beaucoup en dialoguant».
A Niofoin, les militants ont dit leur satisfaction, car «on a souffert de la guerre. Nous avons été victimes en 2002, puis en 2011. Nous connaissons ce qu’il y a dedans et c’est seulement avec quelqu’un qui veut dialoguer pour faire avancer les choses que nous sommes prêts à nous engager», a soutenu Silué Moussa, membre du bureau fédéral.
Soma Sékongo, secrétaire de section de Lamékaha, a, pour sa part, invité les militants du parti à ne pas faire de la désobéissance. «Nous attendions cette tournée. On était impatients. Non seulement nous sommes abattus moralement, mais, en plus, beaucoup de militants n’ont aucune information. Il n’y a pas le Fpi de tant ou de tant. Il y a le Fpi et Affi en est le président. Ne faisons pas de la désobéissance», a-t-il conclu.
S.K.B.