Trois mois après la formation du bureau national du rjr, Diane Ibrahim, 2e vice-président de cette organisation dresse un bilan et interpelle KKB sur ses attaques récurrentes contre le chef de l’Etat.
Vous êtes le 2e vice-président du Rjr auprès de Dah Sansan contre qui vous étiez candidat. Trois mois après la formation du bureau national, comment se passe la cohabitation et quelles sont les missions qui vous sont confiées au sein du BEN ?
Effectivement nous avions été candidat contre le président Dah Sansan. Mais aujourd’hui, le congrès est derrière nous. Nous avons décidé de nous mettre à la disposition de notre parti. Pour ce faire, notre mission au sein du Bureau national, c’est de consolider d’abord ce bureau. Aller à la rencontre des jeunes républicains sur toute l’étendue du territoire, parler avec eux et recueillir leurs préoccupations et les mettre en ordre de bataille pour la réélection du président Alassane Ouattara.
Nous sommes à 9 mois de la présidentielle de 2015. Ne pensez-vous pas que le Rjr est en retard sur l’agenda politique national ?
Je ne dirai pas que le Rjr est en retard. Pour nous, le Rjr est et demeure le fer de lance du Rassemblement des républicains et le maillon essentiel de la réélection du président Ouattara. Aujourd’hui, je peux vous dire que le Rjr est encore dynamique. Le Bureau national a été constitué, il y a seulement trois mois. Il faut donc encore un peu de temps et de moyens pour remobiliser nos camarades. Actuellement, nous nous attelons à cela et je peux vous dire que le Rjr est dans les délais et sera au rendez-vous pour la réélection du président Ouattara.
Pendant que vous rodez la machine, votre mentor, le président Ouattara fait l’objet d’attaques répétées. A titre d’exemple, il y a l’ancien président des jeunes du Pdci qui ne ménage pas du tout le chef de l’Etat. Qu’est ce qui explique votre mutisme ?
Il faut dire ce n’est pas une passivité de notre part. Pour le cas spécifique du député KKB dont vous parlez, nous connaissons son passé et son présent. Son parcours laisse clairement entrevoir qu’il est en plein vagabondage politique. En tant que jeune député, il ferait mieux de raffermir ses liens avec toute la jeunesse ivoirienne. Mais nous le voyons venir. Après son jeu double avec Blé Goudé, il s’est fait adouber par le Pdci, ce qui lui a permis d’être élu député Rhdp de Port-bouët. Tout le bruit qu’il fait actuellement, c’est pour attirer l’estime des jeunes de l’ex-LMP et aussi des indécis. Nous savons que l’homme est une coquille vide. Nous connaissons tous le score qu’il a eu au dernier congrès du Pdci. Le président Ouattara est au travail, son aîné Henri Konan Bedié a lancé l’appel de Daoukro. Notre objectif, c’est d’amplifier cet appel. Au lieu donc de s’attaquer inutilement au président Ouattara pour se faire voir, KKB ferait mieux d’arrêter son vagabondage politique pour chercher à se projeter dans l’avenir parce qu’il n’est pas un exemple pour la jeunesse ivoirienne.
Mais KKB pourrait inquiéter votre candidat dans la mesure où il semble bénéficier du soutien des irréductibles du Pdci et des militants pro-Gbagbo…
Le terrain politique en Côte d’Ivoire est ce qu’il est. Il y a ce que certains racontent dans les journaux et il y a la réalité du terrain. Pour nous, KKB ne peut être un danger pour la réélection du président Ouattara. Il ferait mieux de se calmer et apprendre auprès des aînés au lieu de se donner un coffre qu’il n’a pas. Aujourd’hui la Côte d’Ivoire a une jeunesse consciente et responsable et cette jeunesse ne peut pas confier son destin à un aventurier au parcours sinueux et ambigu.
Vous êtes jeune, comment expliquez-vous certaines tares de la jeunesse ivoirienne comme le phénomène des microbes et les enlèvements d’enfants ?
Ce sont des phénomènes que nous regrettons et condamnons avec la dernière énergie. Mais nous tenons à préciser que ce sont des phénomènes sociaux qui peuvent arriver dans toute société. Nous encourageons le gouvernement à prendre des mesures encore strictes pour circonscrire les choses. Le président de la république lui-même, les ministres de l’intérieur, de la défense et de la famille et l’enfant ont pris le problème à bras le corps et des mesures énergiques ont été prises. Nous invitons tout un chacun à la responsabilité pour que la quiétude revienne dans la société.
La présidentielle, c’est en octobre 2015. Quel est l’agenda du Rjr pour les huit mois a venir pour faire réélire le président Ouattara ?
Le Rdr est un grand parti et nous l’avons démontré à plusieurs reprises. Nous sommes déjà à pied d’œuvre pour la remobilisation de nos bases. Nous avons un calendrier chargé jusqu’en octobre. Ce qu’il faut retenir c’est que le Rjr sera en première ligne de la campagne présidentielle et je peux vous assurer que la victoire du président Ouattara viendra des jeunes du Rdr avec l’appel de nos amis jeunes Rhdp et aussi de toute cette jeunesse consciente, responsable et ambitieuse qui croit à l’émergence de la Cote d’Ivoire.
Vous êtes le 2e vice-président du Rjr auprès de Dah Sansan contre qui vous étiez candidat. Trois mois après la formation du bureau national, comment se passe la cohabitation et quelles sont les missions qui vous sont confiées au sein du BEN ?
Effectivement nous avions été candidat contre le président Dah Sansan. Mais aujourd’hui, le congrès est derrière nous. Nous avons décidé de nous mettre à la disposition de notre parti. Pour ce faire, notre mission au sein du Bureau national, c’est de consolider d’abord ce bureau. Aller à la rencontre des jeunes républicains sur toute l’étendue du territoire, parler avec eux et recueillir leurs préoccupations et les mettre en ordre de bataille pour la réélection du président Alassane Ouattara.
Nous sommes à 9 mois de la présidentielle de 2015. Ne pensez-vous pas que le Rjr est en retard sur l’agenda politique national ?
Je ne dirai pas que le Rjr est en retard. Pour nous, le Rjr est et demeure le fer de lance du Rassemblement des républicains et le maillon essentiel de la réélection du président Ouattara. Aujourd’hui, je peux vous dire que le Rjr est encore dynamique. Le Bureau national a été constitué, il y a seulement trois mois. Il faut donc encore un peu de temps et de moyens pour remobiliser nos camarades. Actuellement, nous nous attelons à cela et je peux vous dire que le Rjr est dans les délais et sera au rendez-vous pour la réélection du président Ouattara.
Pendant que vous rodez la machine, votre mentor, le président Ouattara fait l’objet d’attaques répétées. A titre d’exemple, il y a l’ancien président des jeunes du Pdci qui ne ménage pas du tout le chef de l’Etat. Qu’est ce qui explique votre mutisme ?
Il faut dire ce n’est pas une passivité de notre part. Pour le cas spécifique du député KKB dont vous parlez, nous connaissons son passé et son présent. Son parcours laisse clairement entrevoir qu’il est en plein vagabondage politique. En tant que jeune député, il ferait mieux de raffermir ses liens avec toute la jeunesse ivoirienne. Mais nous le voyons venir. Après son jeu double avec Blé Goudé, il s’est fait adouber par le Pdci, ce qui lui a permis d’être élu député Rhdp de Port-bouët. Tout le bruit qu’il fait actuellement, c’est pour attirer l’estime des jeunes de l’ex-LMP et aussi des indécis. Nous savons que l’homme est une coquille vide. Nous connaissons tous le score qu’il a eu au dernier congrès du Pdci. Le président Ouattara est au travail, son aîné Henri Konan Bedié a lancé l’appel de Daoukro. Notre objectif, c’est d’amplifier cet appel. Au lieu donc de s’attaquer inutilement au président Ouattara pour se faire voir, KKB ferait mieux d’arrêter son vagabondage politique pour chercher à se projeter dans l’avenir parce qu’il n’est pas un exemple pour la jeunesse ivoirienne.
Mais KKB pourrait inquiéter votre candidat dans la mesure où il semble bénéficier du soutien des irréductibles du Pdci et des militants pro-Gbagbo…
Le terrain politique en Côte d’Ivoire est ce qu’il est. Il y a ce que certains racontent dans les journaux et il y a la réalité du terrain. Pour nous, KKB ne peut être un danger pour la réélection du président Ouattara. Il ferait mieux de se calmer et apprendre auprès des aînés au lieu de se donner un coffre qu’il n’a pas. Aujourd’hui la Côte d’Ivoire a une jeunesse consciente et responsable et cette jeunesse ne peut pas confier son destin à un aventurier au parcours sinueux et ambigu.
Vous êtes jeune, comment expliquez-vous certaines tares de la jeunesse ivoirienne comme le phénomène des microbes et les enlèvements d’enfants ?
Ce sont des phénomènes que nous regrettons et condamnons avec la dernière énergie. Mais nous tenons à préciser que ce sont des phénomènes sociaux qui peuvent arriver dans toute société. Nous encourageons le gouvernement à prendre des mesures encore strictes pour circonscrire les choses. Le président de la république lui-même, les ministres de l’intérieur, de la défense et de la famille et l’enfant ont pris le problème à bras le corps et des mesures énergiques ont été prises. Nous invitons tout un chacun à la responsabilité pour que la quiétude revienne dans la société.
La présidentielle, c’est en octobre 2015. Quel est l’agenda du Rjr pour les huit mois a venir pour faire réélire le président Ouattara ?
Le Rdr est un grand parti et nous l’avons démontré à plusieurs reprises. Nous sommes déjà à pied d’œuvre pour la remobilisation de nos bases. Nous avons un calendrier chargé jusqu’en octobre. Ce qu’il faut retenir c’est que le Rjr sera en première ligne de la campagne présidentielle et je peux vous assurer que la victoire du président Ouattara viendra des jeunes du Rdr avec l’appel de nos amis jeunes Rhdp et aussi de toute cette jeunesse consciente, responsable et ambitieuse qui croit à l’émergence de la Cote d’Ivoire.