Monsieur le délégué, vous avez reçu le secrétaire exécutif du Pdci mardi dernier au siège du Pdci à Cocody dans le cadre de sa tournée nationale. Que peut-on retenir de cette rencontre ?
Je voudrais vous remercier pour l’occasion qui m’est offerte pour dire merci à nos vaillants et vaillantes secrétaires généraux de section, des membres du Bureau politique du Pdci-Rda, délégations communales de Cocody I et II qui, à travers leur présence massive à ladite rencontre, ont démontré que le Pdci-Rda a retrouvé sa vitalité à Cocody. Commune où il n’est pas toujours aisé de mobiliser les militants.
Pour répondre à votre question, je peux dire que le secrétaire exécutif du Pdci, Pr. Maurice Kakou Guikahué, a éclairé les lanternes des militants qui avaient des préoccupations. Vous savez, depuis le 12 Congrès extraordinaire mais et surtout depuis l’Appel de Daoukro, certains cadres du Pdci ou sympathisants sillonnent les délégations pour entretenir le flou dans l’esprit des militants. Mais, malheureusement, pour ces cadres, les délégations communales de Cocody I et II se distinguent par leur discipline et leur engagement au chef qu’est le président Henri Konan Bédié. Vous savez, dans la vie d’un pays, d’une nation ou même d’une famille, ce n’est jamais facile.
Et surtout quand vous regardez dans le rétroviseur pour voir d’où la Côte d’Ivoire vient ces dix dernières années, je pense que nous devons travailler à l’union, à la cohésion et à la tolérance. Le président Bédié, homme d’Etat qui aime son pays, a donné des orientations claires à travers l’Appel de Daoukro. Comme des soldats, nous exécutons sa volonté. Dans nos bases, le message est passé et nous nous en félicitons. Vous en avez vu la preuve lors de la visite du Pr. Guikahué. Je précise qu’à cette rencontre, les délégations sœurs de Bingerville, Adjamé, Plateau et Attécoubé étaient présentes.
Pour vous, le référendum du 21 février prochain est donc une simple formalité ?
L’homme politique que je suis ne dira pas que ça sera une formalité même si nous sommes conscients que Cocody roule à 100% pour l’Appel de Daoukro. Les délégations I et II sont parfaitement conscientes que le Pdci doit se mobiliser pour obtenir un score à la soviétique le 28 février. Cocody a pris un engagement et les militants avec qui j’échange tous les jours m’ont rassuré que nous n’aurons pas deux paroles. Chez nous, l’Appel de Daoukro, c’est oui et rien d’autre !
Je voudrais vous remercier pour l’occasion qui m’est offerte pour dire merci à nos vaillants et vaillantes secrétaires généraux de section, des membres du Bureau politique du Pdci-Rda, délégations communales de Cocody I et II qui, à travers leur présence massive à ladite rencontre, ont démontré que le Pdci-Rda a retrouvé sa vitalité à Cocody. Commune où il n’est pas toujours aisé de mobiliser les militants.
Pour répondre à votre question, je peux dire que le secrétaire exécutif du Pdci, Pr. Maurice Kakou Guikahué, a éclairé les lanternes des militants qui avaient des préoccupations. Vous savez, depuis le 12 Congrès extraordinaire mais et surtout depuis l’Appel de Daoukro, certains cadres du Pdci ou sympathisants sillonnent les délégations pour entretenir le flou dans l’esprit des militants. Mais, malheureusement, pour ces cadres, les délégations communales de Cocody I et II se distinguent par leur discipline et leur engagement au chef qu’est le président Henri Konan Bédié. Vous savez, dans la vie d’un pays, d’une nation ou même d’une famille, ce n’est jamais facile.
Et surtout quand vous regardez dans le rétroviseur pour voir d’où la Côte d’Ivoire vient ces dix dernières années, je pense que nous devons travailler à l’union, à la cohésion et à la tolérance. Le président Bédié, homme d’Etat qui aime son pays, a donné des orientations claires à travers l’Appel de Daoukro. Comme des soldats, nous exécutons sa volonté. Dans nos bases, le message est passé et nous nous en félicitons. Vous en avez vu la preuve lors de la visite du Pr. Guikahué. Je précise qu’à cette rencontre, les délégations sœurs de Bingerville, Adjamé, Plateau et Attécoubé étaient présentes.
Pour vous, le référendum du 21 février prochain est donc une simple formalité ?
L’homme politique que je suis ne dira pas que ça sera une formalité même si nous sommes conscients que Cocody roule à 100% pour l’Appel de Daoukro. Les délégations I et II sont parfaitement conscientes que le Pdci doit se mobiliser pour obtenir un score à la soviétique le 28 février. Cocody a pris un engagement et les militants avec qui j’échange tous les jours m’ont rassuré que nous n’aurons pas deux paroles. Chez nous, l’Appel de Daoukro, c’est oui et rien d’autre !