Le président du Front populaire ivoirien (Fpi) a communié, samedi, avec des femmes de sa formation politique. Il leur a expliqué ses motivations pour une «participation» à la prochaine élection présidentielle.
Un 14 février bien charmant pour le président du Front populaire ivoirien (Fpi). Dans la matinée de cette journée dédiée à l’Amour, Pascal Affi N’Guessan a reçu de nombreuses militantes, au siège de son parti, à Attoban (Cocody). Elles sont parties lui dire des vœux, rapportent des témoins de la scène. A celles-ci, conduites par Christine Konan, présidente du comité d’organisation de la rencontre, rapporte-t-on, il a indiqué pourquoi il résiste à une fronde interne. «Laurent Gbagbo m’a confié le parti et il doit venir me retrouver à la tête du parti pour que je lui fasse le bilan», a-t-il affirmé, sous des acclamations. Selon lui, les divergences se règlent par des pourparlers. «Il n’y a pas d’autre voie pour la libération de Gbagbo en dehors de la négociation politique, et c’est sur ce chemin que je suis. Je ne tournerai jamais le dos au dialogue, car cela m’a été enseigné par Laurent Gbagbo», a-t-il argumenté sa position. «On ne fait pas la politique avec gros cœur ni avec des palabres, mais avec intelligence», a-t-il dit à l’endroit de ses adversaires, si l’on en croit toujours nos sources. Pour lui, «la division, la haine et la guerre interne ne peuvent nous faire avancer et faire avancer le pays». Les femmes quant à elles lui ont assuré leur «soutien». Et c’est sa collaboratrice, Christine Konan qui le lui a traduit dans son discours. «Nous, femmes du Fpi, te réitérons notre totale adhésion à ta vision. Nous voudrions à cet effet te relire un paragraphe de la «Déclaration des femmes du Fpi», a-t-elle avancé. «(Nous) Réaffirmons notre attachement et notre soutien au leadership politique du président Pascal Affi N’Guessan et à sa vision empreinte d’esprit d’ouverture, de pragmatisme, de pondération, de dialogue et de paix», a-t-elle lu. Elles, aussi, a souligné l’oratrice, sont de cœur avec l’ex-chef d’Etat détenu à La Haye. «Nous soutenons donc, a conclu la secrétaire nationale, sans réserve ta vision: ‘’Gbagbo et nous‘’, c’est-à-dire la paix, la réconciliation, le progrès».
Bidi Ignace
Un 14 février bien charmant pour le président du Front populaire ivoirien (Fpi). Dans la matinée de cette journée dédiée à l’Amour, Pascal Affi N’Guessan a reçu de nombreuses militantes, au siège de son parti, à Attoban (Cocody). Elles sont parties lui dire des vœux, rapportent des témoins de la scène. A celles-ci, conduites par Christine Konan, présidente du comité d’organisation de la rencontre, rapporte-t-on, il a indiqué pourquoi il résiste à une fronde interne. «Laurent Gbagbo m’a confié le parti et il doit venir me retrouver à la tête du parti pour que je lui fasse le bilan», a-t-il affirmé, sous des acclamations. Selon lui, les divergences se règlent par des pourparlers. «Il n’y a pas d’autre voie pour la libération de Gbagbo en dehors de la négociation politique, et c’est sur ce chemin que je suis. Je ne tournerai jamais le dos au dialogue, car cela m’a été enseigné par Laurent Gbagbo», a-t-il argumenté sa position. «On ne fait pas la politique avec gros cœur ni avec des palabres, mais avec intelligence», a-t-il dit à l’endroit de ses adversaires, si l’on en croit toujours nos sources. Pour lui, «la division, la haine et la guerre interne ne peuvent nous faire avancer et faire avancer le pays». Les femmes quant à elles lui ont assuré leur «soutien». Et c’est sa collaboratrice, Christine Konan qui le lui a traduit dans son discours. «Nous, femmes du Fpi, te réitérons notre totale adhésion à ta vision. Nous voudrions à cet effet te relire un paragraphe de la «Déclaration des femmes du Fpi», a-t-elle avancé. «(Nous) Réaffirmons notre attachement et notre soutien au leadership politique du président Pascal Affi N’Guessan et à sa vision empreinte d’esprit d’ouverture, de pragmatisme, de pondération, de dialogue et de paix», a-t-elle lu. Elles, aussi, a souligné l’oratrice, sont de cœur avec l’ex-chef d’Etat détenu à La Haye. «Nous soutenons donc, a conclu la secrétaire nationale, sans réserve ta vision: ‘’Gbagbo et nous‘’, c’est-à-dire la paix, la réconciliation, le progrès».
Bidi Ignace