Bouaké - Un cadre du Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ancien président ivoirien M Laurent Gbagbo), Eugène Kouadio Djué, a conduit, dimanche, à Bouaké, une mission de remobilisation et de sensibilisation des militants pour la cohésion à la base de ce parti affecté par une crise interne depuis quelque temps.
"Mon objectif principal, c’est de ressouder la base ici, parce que la crise au niveau du sommet est descendue dans la base", a indiqué M. Djué qui considère que les militants sont "dispersés et traumatisés un peu par les rumeurs mais surtout les attaques contres les uns et les autres".
Prônant la cohésion, il dit présenter la situation "objectivement" et affirme ne pas appartenir à un camp sauf au FPI. "Je ne défends personne, mais des thèses", a-t-il laissé entendre aux militants qu’il a rencontrés dans le cadre d’une réunion qu’il a qualifiée de concertation.
M. Djué qui souhaite la fin de la crise au sein du parti le plus rapidement possible, a invité les uns et les autres à éviter les attaques mutuelles à partir de la base.
"Parce que pour moi, le fonds de cette affaire, c’est le bilan de nos années de gestion. Mais, il se trouve que depuis 13 ans, il n’y a pas eu de congrès. Donc beaucoup de chose reste à voir", a-t- il signifié, préconisant des états généraux du Front populaire ivoirien après le congrès.
nbf/akn/kam
"Mon objectif principal, c’est de ressouder la base ici, parce que la crise au niveau du sommet est descendue dans la base", a indiqué M. Djué qui considère que les militants sont "dispersés et traumatisés un peu par les rumeurs mais surtout les attaques contres les uns et les autres".
Prônant la cohésion, il dit présenter la situation "objectivement" et affirme ne pas appartenir à un camp sauf au FPI. "Je ne défends personne, mais des thèses", a-t-il laissé entendre aux militants qu’il a rencontrés dans le cadre d’une réunion qu’il a qualifiée de concertation.
M. Djué qui souhaite la fin de la crise au sein du parti le plus rapidement possible, a invité les uns et les autres à éviter les attaques mutuelles à partir de la base.
"Parce que pour moi, le fonds de cette affaire, c’est le bilan de nos années de gestion. Mais, il se trouve que depuis 13 ans, il n’y a pas eu de congrès. Donc beaucoup de chose reste à voir", a-t- il signifié, préconisant des états généraux du Front populaire ivoirien après le congrès.
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