De passage à Bouaké pour des funérailles, Eugène Djué, connu sous le sobriquet du «Maréchal»,militant du Fpi, a profité de l’occasion pour rencontrer ses camarades de Bouaké. C’était le Dimanche 22 février dernier, au foyer du Jeune Viateur de Bouaké.
Cette rencontre a porté sur la crise au FPI qui n’est plus un secret de polichinelle. Devant les militants venus nombreux, le «Maréchal» a dit être venu, de lui-même, rencontrer ses camarades afin de discuter de la vie du parti.
Interrogé sur sa position dans à la crise qui prévaut au FPI, ce cadre de l’ancien régime au pouvoir à souligné n’appartenir à aucun des camps en conflit. Cependant, il a critiqué le comportement de certains cadres du parti : «Je proteste et déplore les attaques contre le président Affi qui, tant qu’il n’y a pas de congrès, demeure le président du parti». Il a également ajouté que le FPI doit sortir rapidement de la crise s’il ne veut pas mourir.
La seconde préoccupation des militants était, la stratégie pour libérer le président Laurent Gbagbo. A ce niveau, l’ancien secrétaire national de la FESCI n’y est pas allé avec le dos de la cuillère : «On a transformé Gbagbo en fond de commerce. La lutte du président Gbagbo a dépassé un parti politique». Avant de terminer : «si je rencontre le président Gbagbo aujourd’hui, je lui dirai de ne pas être candidat».
Avant de prendre congé des militants venus de Brobo, en plus des quatre fédérations de Bouaké, Eugène Djué a exhorté les militants au pardon, à la réconciliation et surtout au respect des personnes qui incarnent le Front populaire ivoirien. Notamment le président Pascal Affi N’Guessan.
A.K. BANDAMA
Cette rencontre a porté sur la crise au FPI qui n’est plus un secret de polichinelle. Devant les militants venus nombreux, le «Maréchal» a dit être venu, de lui-même, rencontrer ses camarades afin de discuter de la vie du parti.
Interrogé sur sa position dans à la crise qui prévaut au FPI, ce cadre de l’ancien régime au pouvoir à souligné n’appartenir à aucun des camps en conflit. Cependant, il a critiqué le comportement de certains cadres du parti : «Je proteste et déplore les attaques contre le président Affi qui, tant qu’il n’y a pas de congrès, demeure le président du parti». Il a également ajouté que le FPI doit sortir rapidement de la crise s’il ne veut pas mourir.
La seconde préoccupation des militants était, la stratégie pour libérer le président Laurent Gbagbo. A ce niveau, l’ancien secrétaire national de la FESCI n’y est pas allé avec le dos de la cuillère : «On a transformé Gbagbo en fond de commerce. La lutte du président Gbagbo a dépassé un parti politique». Avant de terminer : «si je rencontre le président Gbagbo aujourd’hui, je lui dirai de ne pas être candidat».
Avant de prendre congé des militants venus de Brobo, en plus des quatre fédérations de Bouaké, Eugène Djué a exhorté les militants au pardon, à la réconciliation et surtout au respect des personnes qui incarnent le Front populaire ivoirien. Notamment le président Pascal Affi N’Guessan.
A.K. BANDAMA