Les cadres du Front populaire ivoirien (FPI) natifs des régions de Bondoukou et de Bouna se serrent les coudes. Ils adhèrent à la vision défendue par le président du parti, Pascal Affi N’Guessan. Ils le soutiennent dans la crise qui l’oppose à ses camarades au sein du FPI. Ces cadres sont l’ancien ministre Augustin Komoé, les secrétaires nationaux Kouakou Krah, N’Guettia Yao Kouman, Kamagaté Soulé, Kambou Difilé et Camille Dua Kobenan tous membres du secrétariat général du FPI. Avec des secrétaires généraux de fédérations, ils se sont retrouvés le mercredi 25 février dernier à la résidence d’Agustin Komoé pour faire le bilan des missions d’explication de la crise au FPI. Ils ont conduit ces missions dans les villes et villages de Bouna, Tehini, Doropo, Nassian, Bondoukou, Sandégué, Transuan, Koun Fao et Tanda.
Après les exposés, ils retiennent que le bilan de leurs missions est satisfaisant. En ce sens que les délégations ont été accueillies dans la ferveur. Mieux, la campagne d’intoxication et de dénigrement contre le président du FPI n’a pas déstabilisé les structures de base. Le constat fait sur le terrain est que les militants ne sont ni ébranlés, ni perturbés dans les sections et dans les fédérations.
Pour Camille Dua Kobenan, secrétaire national du FPI chargé du foncier rural, le parti est en progression à Sandégué. Où, souligne-t-il la mission qu’il a conduite a connu un réel engouement. Selon N’Guettia Yao Kouman, ces missions d’explication ont davantage aidé les populations à mieux comprendre la démarche d’Affi.
Selon les chefs de délégation, les militants rencontrés pensent que le président Affi est dans la position de l’enfant légitime de Gbagbo. Et ses adversaires se comportent comme de vrais enfants adultérins qui ne respectent rien. A en croire ces chefs de mission, les populations et militants du FPI trouvent sage et réaliste la vision d’Affi N’Guessan. De ce fait, rapportent-ils, les militants soutiennent le président du FPI et l’invitent à se rendre dans leurs villes.
Pour Augustin Komoé, il faut maintenir le contact avec les bases et rester vigilants pour ne pas laisser germer la graine de l’intoxication dans leurs régions. « La moisson est bonne et il faut saluer les secrétaires généraux de fédération légalistes. La stratégie des frondeurs c’est de créer le bicéphalisme à la tête des structures » a conclu l’ancien ministre de la culture du président Gbagbo.
B.K.
Après les exposés, ils retiennent que le bilan de leurs missions est satisfaisant. En ce sens que les délégations ont été accueillies dans la ferveur. Mieux, la campagne d’intoxication et de dénigrement contre le président du FPI n’a pas déstabilisé les structures de base. Le constat fait sur le terrain est que les militants ne sont ni ébranlés, ni perturbés dans les sections et dans les fédérations.
Pour Camille Dua Kobenan, secrétaire national du FPI chargé du foncier rural, le parti est en progression à Sandégué. Où, souligne-t-il la mission qu’il a conduite a connu un réel engouement. Selon N’Guettia Yao Kouman, ces missions d’explication ont davantage aidé les populations à mieux comprendre la démarche d’Affi.
Selon les chefs de délégation, les militants rencontrés pensent que le président Affi est dans la position de l’enfant légitime de Gbagbo. Et ses adversaires se comportent comme de vrais enfants adultérins qui ne respectent rien. A en croire ces chefs de mission, les populations et militants du FPI trouvent sage et réaliste la vision d’Affi N’Guessan. De ce fait, rapportent-ils, les militants soutiennent le président du FPI et l’invitent à se rendre dans leurs villes.
Pour Augustin Komoé, il faut maintenir le contact avec les bases et rester vigilants pour ne pas laisser germer la graine de l’intoxication dans leurs régions. « La moisson est bonne et il faut saluer les secrétaires généraux de fédération légalistes. La stratégie des frondeurs c’est de créer le bicéphalisme à la tête des structures » a conclu l’ancien ministre de la culture du président Gbagbo.
B.K.