A l’initiative du secrétariat général adjoint du Rdr chargé des syndicats, de la société civile et du monde associatif dirigé par le ministre Konaté Sidiki, s’est tenue le mercredi 4 mars 2015, au siège du Rdr, à la rue Lepic (Abidjan Cocody), une rencontre du Rassemblement des Grins de Côte d’Ivoire (Rgci). Pour les émissaires du ministre, la rencontre fut utile, dans la mesure où elle participe à la mobilisation des forces vives en vue de la réélection du Président Ouattara.
Espaces de discussions et d’échanges d’idées et d’opinions sur des sujets touchant la vie de la nation, les Grins ne datent pas de maintenant. Sous Laurent Gbagbo, l’on en a connus sous des appellations différentes : les Parlements, Agora, Sorbonne… Sous le Président Ouattara, ces mêmes Grins continuent d’exister. Mieux, ils veulent être reconnus en tant que tel afin de jouer pleinement leur rôle dans le débat politique actuel, notamment la réélection du Président Alassane Ouattara. «Nous existons depuis de longues années, mais notre mouvement s’est véritablement organisé à partir de 2003. Nous comptons aujourd’hui 2320 Grins à travers la Côte d’Ivoire dont près de 1265 dans le district d’Abidjan. Nous étions là au moment de Gbagbo mais n’étions pas trop visible, car, nous étions traqués. Nous sommes véritablement sortis à l’approche des présidentielles de 2010 où nous avons fait le plein du Palais de la Culture pour la victoire du Rdr. Supporters hier du président Alassane Ouattara dans l’opposition, nous attendons beaucoup de lui au pouvoir», a introduit M. Kamagaté Ibrahim, vice-président du bureau national et député suppléant d’Adjamé. A sa suite, les coordonnateurs et des membres des Grins venus d’Adjamé, Marcory, Treichville, Attécoubé, Abobo, Yopougon et des villes de l’intérieur, dont Bingerville, Adzopé ont insisté sur le traitement qui leur réservé depuis l’arrivée du Rdr aux affaires. «Pendant la crise postélectorale, c’est par les Grins que les messages passaient. Nous avons perdu des amis. Et depuis que le Rdr est au pouvoir, jamais une autorité ne nous a reçus pour nous dire merci. Chez nous dans les Grins, il y a trois sortes de thé. Le premier, le deuxième et un troisième tour appelé chaud-blanc. Ce dernier n’est généralement pas bon, car il s’agit du fond, donc sans goût. Dites au ministre Sidiki Konaté que les Grins ne veulent plus boire du chaud-blanc. On veut le premier thé servi. On veut être non seulement reconnu comme tous les autres clubs de soutien au président, mais on veut des moyens pour être efficace sur le terrain. Et cette fois, nous voulons des moyens avant les élections et non après», ont-ils fait savoir à Mamadou Serifou, secrétaire national adjoint chargé du dialogue social et l’honorable Bema Fofana, secrétaire national adjoint chargé des relations avec les associations, représentant pour l’occasion le ministre Sidiki Konaté.
Toutefois, les responsables des Grins ont marqué leur soutien au député de Man commune pour son dévouement à la cause du parti. Ils ont en outre plaidé que des moyens conséquents soient mis à leur disposition pour mieux préparer le terrain pour la victoire du président Alassane Ouattara. «Bazouma Dembélé dit Recteur fut notre premier président. Après lui, vinrent Sylla Yaya et Bemba Souleymane. Seulement, depuis 2 ans que Sylla est à la tête de notre association, rien ne bouge. Nous souhaitons bénéficier des conseils du ministre Sidiki Konaté afin de nous réorganiser. Il faut élire un nouveau bureau et s’apprêter pour aller sur le terrain», a plaidé le vice- président national, Kamagaté Ibrahim. Il a assuré les émissaires du ministre que les tous les Grins sont déterminés à se mettre à la tâche. Un message que les émissaires du Sga, chargé des syndicats, de la société civile et du monde associatif ont reçu 5/5 et promis transmettre fidèlement à qui de droit. «Le ministre nous a chargé de voir avec vous comment mettre en place un cadre de travail et de concertation en vue de la mobilisation de tous les Grins de Côte d’Ivoire au profit du Rdr et au profit de la réélection du président Alassane Ouattara», ont fait savoir les émissaires de Konaté Sidiki. Avant de quitter la salle Obama, les deux parties ont promis se retrouver dans les jours à venir.
Ouattara Safiatou
Espaces de discussions et d’échanges d’idées et d’opinions sur des sujets touchant la vie de la nation, les Grins ne datent pas de maintenant. Sous Laurent Gbagbo, l’on en a connus sous des appellations différentes : les Parlements, Agora, Sorbonne… Sous le Président Ouattara, ces mêmes Grins continuent d’exister. Mieux, ils veulent être reconnus en tant que tel afin de jouer pleinement leur rôle dans le débat politique actuel, notamment la réélection du Président Alassane Ouattara. «Nous existons depuis de longues années, mais notre mouvement s’est véritablement organisé à partir de 2003. Nous comptons aujourd’hui 2320 Grins à travers la Côte d’Ivoire dont près de 1265 dans le district d’Abidjan. Nous étions là au moment de Gbagbo mais n’étions pas trop visible, car, nous étions traqués. Nous sommes véritablement sortis à l’approche des présidentielles de 2010 où nous avons fait le plein du Palais de la Culture pour la victoire du Rdr. Supporters hier du président Alassane Ouattara dans l’opposition, nous attendons beaucoup de lui au pouvoir», a introduit M. Kamagaté Ibrahim, vice-président du bureau national et député suppléant d’Adjamé. A sa suite, les coordonnateurs et des membres des Grins venus d’Adjamé, Marcory, Treichville, Attécoubé, Abobo, Yopougon et des villes de l’intérieur, dont Bingerville, Adzopé ont insisté sur le traitement qui leur réservé depuis l’arrivée du Rdr aux affaires. «Pendant la crise postélectorale, c’est par les Grins que les messages passaient. Nous avons perdu des amis. Et depuis que le Rdr est au pouvoir, jamais une autorité ne nous a reçus pour nous dire merci. Chez nous dans les Grins, il y a trois sortes de thé. Le premier, le deuxième et un troisième tour appelé chaud-blanc. Ce dernier n’est généralement pas bon, car il s’agit du fond, donc sans goût. Dites au ministre Sidiki Konaté que les Grins ne veulent plus boire du chaud-blanc. On veut le premier thé servi. On veut être non seulement reconnu comme tous les autres clubs de soutien au président, mais on veut des moyens pour être efficace sur le terrain. Et cette fois, nous voulons des moyens avant les élections et non après», ont-ils fait savoir à Mamadou Serifou, secrétaire national adjoint chargé du dialogue social et l’honorable Bema Fofana, secrétaire national adjoint chargé des relations avec les associations, représentant pour l’occasion le ministre Sidiki Konaté.
Toutefois, les responsables des Grins ont marqué leur soutien au député de Man commune pour son dévouement à la cause du parti. Ils ont en outre plaidé que des moyens conséquents soient mis à leur disposition pour mieux préparer le terrain pour la victoire du président Alassane Ouattara. «Bazouma Dembélé dit Recteur fut notre premier président. Après lui, vinrent Sylla Yaya et Bemba Souleymane. Seulement, depuis 2 ans que Sylla est à la tête de notre association, rien ne bouge. Nous souhaitons bénéficier des conseils du ministre Sidiki Konaté afin de nous réorganiser. Il faut élire un nouveau bureau et s’apprêter pour aller sur le terrain», a plaidé le vice- président national, Kamagaté Ibrahim. Il a assuré les émissaires du ministre que les tous les Grins sont déterminés à se mettre à la tâche. Un message que les émissaires du Sga, chargé des syndicats, de la société civile et du monde associatif ont reçu 5/5 et promis transmettre fidèlement à qui de droit. «Le ministre nous a chargé de voir avec vous comment mettre en place un cadre de travail et de concertation en vue de la mobilisation de tous les Grins de Côte d’Ivoire au profit du Rdr et au profit de la réélection du président Alassane Ouattara», ont fait savoir les émissaires de Konaté Sidiki. Avant de quitter la salle Obama, les deux parties ont promis se retrouver dans les jours à venir.
Ouattara Safiatou