Pascal Affi N’Guessan a expliqué une fois encore le sens de son engagement politique hier, en face des membres de l’Union africaine de la jeunesse pour le développement et l’intégration (Uajedi) qu’il a reçus à sa résidence pillée, de la Riviera M’Badon. Il a indiqué que l’objectif qu’il poursuit est celui de la libération de Laurent Gbagbo. « Je préfère apporter la liberté à Laurent Gbagbo que des titres », a-t-il affirmé en réponse à ceux qui veulent coûte que coûte que l’ancien chef de l’Etat devienne président du Fpi. Le président du Fpi a estimé que dans la situation actuelle, ce qui prime sur tout est la libération de Laurent Gbagbo. Aussi toutes les actions et les initiatives doivent aller dans ce sens plutôt que de se lancer inutilement dans un spectacle contre-productif. «Je ne veux pas jouer le bravetchê pour que Gbagbo soit condamné », a-t-il martelé. L’ancien Premier ministre a fait comprendre que le défi de la libération de Laurent Gbagbo demande qu’on fasse preuve d’intelligence. «Faisons travailler notre intelligence pour parvenir à nos fins », a-t-il avancé.
Le président Affi a fait comprendre que la réconciliation est un moyen important pour obtenir la libération de Laurent Gbagbo. Il a expliqué que les choses seront difficiles tant que le Front populaire ivoirien continuera de donner le sentiment qu’il est sur le pied de guerre dans une logique de vengeance. Il a déclaré que Laurent Gbagbo n’a jamais été candidat à la présidence du Fpi étant donné qu’il n’a pas fait acte de candidature. La proposition de candidature de l’ancien chef de l’Etat à la présidence du Fpi répond, selon lui, à des objectifs stratégiques qu’à autre chose. « Ils ont voulu utilisé le nom et la photo de Gbagbo pour me faire fuir », relève-t-il. M. Affi a soutenu que le président Gbagbo ne saurait procéder ainsi. « Il nous aurait saisi directement et on aurait discuté pour trouvé un point d’accord », dira-t-il.
C.ébrokié
Le président Affi a fait comprendre que la réconciliation est un moyen important pour obtenir la libération de Laurent Gbagbo. Il a expliqué que les choses seront difficiles tant que le Front populaire ivoirien continuera de donner le sentiment qu’il est sur le pied de guerre dans une logique de vengeance. Il a déclaré que Laurent Gbagbo n’a jamais été candidat à la présidence du Fpi étant donné qu’il n’a pas fait acte de candidature. La proposition de candidature de l’ancien chef de l’Etat à la présidence du Fpi répond, selon lui, à des objectifs stratégiques qu’à autre chose. « Ils ont voulu utilisé le nom et la photo de Gbagbo pour me faire fuir », relève-t-il. M. Affi a soutenu que le président Gbagbo ne saurait procéder ainsi. « Il nous aurait saisi directement et on aurait discuté pour trouvé un point d’accord », dira-t-il.
C.ébrokié