Seize bonnes années d’interruption du salon international de l’agriculture et des ressources animales. L’évènement qui reprend en Côte d’Ivoire du 3 au 12 avril prochain, pourrait révolutionner le secteur agricole.
Le ministre de l’Agriculture, Mamadou Sangawofa est très confiant une semaine avant le début du Salon international de l’agriculture et des ressources animales (Sara 2015). C’est ce qui ressort de nos investigations faites au cabinet du ministre qui a bien voulu relancer cet évènement interrompu après les deux premières éditions, il y a plus d’une décennie. Avec ce salon, les autorités à travers le ministère de l’Agriculture ne cachent pas leurs intensions. Il faut attirer le maximum de transformateurs. Afin d’aider le pays à valoriser les principales productions qui sont en croissance depuis la fin de la crise postélectorale. Le ministre Sangawofa bien malin, veut profiter de la croissance agricole pour attirer des investisseurs et partager leurs expériences. De sorte à permettre aux coopératives et produits à une accession aux marchés internationaux. Le ministère de l’Agriculture n’a pas dormi sur ses lauriers. En effet, le message de la tenue de la troisième édition du Sara 2015 a été passé à 100% pour que ce salon international qui se tient du 3 au 12 avril prochain connaisse une réussite parfaite. Ce sont plus de 500 000 participants qui sont attendus à Abidjan. Pour réussir le pari de la mobilisation, une forte délégation du ministère de l’Agriculture avec à sa tête, le ministre Sangafowa s’était rendue recensement au Salon international de l’agriculture de Paris (Sia) où le ministre et ses collaborateurs ont pris attache avec des investisseurs. En marge du Sia, Mamadou Sangafowa a également visité la biennale des professionnels du machinisme agricole qui s’est déroulé à Villepinte située au Nord de la capitale française du 22 au 26 février. Le souci donc du ministre, c’est de révolutionner l’agriculture ivoirienne à travers le salon de l’agriculture qui démarre dans une petite semaine. Les ambitions du ministre de l’Agriculture sont claires. Il faut des résultats enviables qui passent par la mécanisation et la transformation afin d’être au rendez-vous de l’émergence agricole. Des investisseurs sont invités parce que la Côte d’Ivoire présente biens d’opportunités. Avec 1. 700 000 tonnes de cacao en 2014, l’anacarde avec 560 000 tonnes en 2014 veut parvenir à 50% de sa transformation locale. Il faut donc envisager des approches de solutions pour se doter d’équipements et de technologie de transformation. Pour cela, le ministre de l’Agriculture a visité trois ateliers au Sima. Il y a trouvé des modèles de labour et de transformation. Il en a profité pour exposer sa vision sur la mécanisation de l’agriculture ivoirienne en tenant compte des réalités du pays. Il a donc invité des spécialistes à participer au Sara 2015 afin de présenter leur savoir-faire aux producteurs ivoiriens. Ils pourront faire parti des personnes ressources dont le gouvernement a besoin pour doter le secteur agricole d’outils modernes.
Romaric Sako
Le ministre de l’Agriculture, Mamadou Sangawofa est très confiant une semaine avant le début du Salon international de l’agriculture et des ressources animales (Sara 2015). C’est ce qui ressort de nos investigations faites au cabinet du ministre qui a bien voulu relancer cet évènement interrompu après les deux premières éditions, il y a plus d’une décennie. Avec ce salon, les autorités à travers le ministère de l’Agriculture ne cachent pas leurs intensions. Il faut attirer le maximum de transformateurs. Afin d’aider le pays à valoriser les principales productions qui sont en croissance depuis la fin de la crise postélectorale. Le ministre Sangawofa bien malin, veut profiter de la croissance agricole pour attirer des investisseurs et partager leurs expériences. De sorte à permettre aux coopératives et produits à une accession aux marchés internationaux. Le ministère de l’Agriculture n’a pas dormi sur ses lauriers. En effet, le message de la tenue de la troisième édition du Sara 2015 a été passé à 100% pour que ce salon international qui se tient du 3 au 12 avril prochain connaisse une réussite parfaite. Ce sont plus de 500 000 participants qui sont attendus à Abidjan. Pour réussir le pari de la mobilisation, une forte délégation du ministère de l’Agriculture avec à sa tête, le ministre Sangafowa s’était rendue recensement au Salon international de l’agriculture de Paris (Sia) où le ministre et ses collaborateurs ont pris attache avec des investisseurs. En marge du Sia, Mamadou Sangafowa a également visité la biennale des professionnels du machinisme agricole qui s’est déroulé à Villepinte située au Nord de la capitale française du 22 au 26 février. Le souci donc du ministre, c’est de révolutionner l’agriculture ivoirienne à travers le salon de l’agriculture qui démarre dans une petite semaine. Les ambitions du ministre de l’Agriculture sont claires. Il faut des résultats enviables qui passent par la mécanisation et la transformation afin d’être au rendez-vous de l’émergence agricole. Des investisseurs sont invités parce que la Côte d’Ivoire présente biens d’opportunités. Avec 1. 700 000 tonnes de cacao en 2014, l’anacarde avec 560 000 tonnes en 2014 veut parvenir à 50% de sa transformation locale. Il faut donc envisager des approches de solutions pour se doter d’équipements et de technologie de transformation. Pour cela, le ministre de l’Agriculture a visité trois ateliers au Sima. Il y a trouvé des modèles de labour et de transformation. Il en a profité pour exposer sa vision sur la mécanisation de l’agriculture ivoirienne en tenant compte des réalités du pays. Il a donc invité des spécialistes à participer au Sara 2015 afin de présenter leur savoir-faire aux producteurs ivoiriens. Ils pourront faire parti des personnes ressources dont le gouvernement a besoin pour doter le secteur agricole d’outils modernes.
Romaric Sako