Au Front populaire ivoirien (Fpi), on dialogue à coup de plaintes devant les tribunaux et par communiqués interposés. Les héritiers de l'ancien président se déchirent à l'approche de l'élection, et lui, assiste, impuissant, à implosion de son parti.
« Contenir l'ardeur vengeresse des militants, les calmer, jouer autant que possible dans le cadre défini par la loi, gérer calmement la crise. Avec ou sans Laurent, il faut que le parti continue d'exister, préserve son audience dans le pays. Du fond de sa cellule, il nous demande de procéder ainsi et de le considérer comme un simple militant de base. » Ces propos, Abou Drahamane Sangaré ne les a pas tenus cette semaine, ni même cette année, mais en mars 1992. Sangaré, 46 ans à l'époque, vient de prendre la tête du Front... suite de l'article sur LInfodrome
« Contenir l'ardeur vengeresse des militants, les calmer, jouer autant que possible dans le cadre défini par la loi, gérer calmement la crise. Avec ou sans Laurent, il faut que le parti continue d'exister, préserve son audience dans le pays. Du fond de sa cellule, il nous demande de procéder ainsi et de le considérer comme un simple militant de base. » Ces propos, Abou Drahamane Sangaré ne les a pas tenus cette semaine, ni même cette année, mais en mars 1992. Sangaré, 46 ans à l'époque, vient de prendre la tête du Front... suite de l'article sur LInfodrome