Il n’y a pas eu de passation de charges hier à la direction générale de la Refondation S.A, société éditrice du quotidien Notre Voie et de l’hebdomadaire satirique Bol’Kotch. Parce qu’un tel événement n’y était pas prévu.
César Etou qui prétend avoir été nommé directeur général de la société par un prétendu nouveau conseil d’administration est pourtant arrivé au siège du journal à la tête d’un groupe de personnes connues pour être des animateurs de la fronde contre le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan. Il s’agit de Marie-Odette Lorougnon, Sébastien Dano Djédjé, Koné Boubacar, Augustin Guéhoun, Tapé Kipré, Bamba Massani, Dédi Seri, Jean-Gervais Tchéidé, etc.
Ils sont arrivés aux environs de 11h accompagnés par quelques journalistes. Mais les agents de la police requis par la direction générale pour assurer la sécurité du bâtiment, du matériel et des agents qui travaillent sur les lieux, ont gentiment prié les visiteurs d’un autre genre de retourner tranquillement d’où ils étaient venus. Parce qu’aucune passation de charges n’était prévue. Ils ont insisté pour avoir accès à l’enceinte de l’entreprise. Mais les agents de police sont restés inflexibles.
Il y a eu alors quelque un moment de colère. César Etou a crié haut et fort qu’il serait le patron de l’entreprise et qu’il n’y a pas de raison de l’empêcher d’y accéder. Bamba Massani a lancé des injures aux agents de Notre Voie qu’elle voyait par les fenêtres. Koné Boubacar a dit à Robert Krassault, chef de service politique, qu’il ne sera plus journaliste à Notre Voie d’ici deux jours.
Vers 13h, sous la pluie, les visiteurs du jour se sont dispersés sans aucune brutalité. Avec la promesse qu’ils reviendront. Quand ? Aujourd’hui ? Demain ? Nul ne le sait encore.
En réalité, César Etou et son groupe savent bien qu’ils ne peuvent pas s’installer de la sorte parce qu’ils n’ont pas la légalité avec eux. Ils savent aussi qu’ils ne peuvent pas réussir le coup de force qu’ils ont tenté hier.
Koukougnon Zabril
César Etou qui prétend avoir été nommé directeur général de la société par un prétendu nouveau conseil d’administration est pourtant arrivé au siège du journal à la tête d’un groupe de personnes connues pour être des animateurs de la fronde contre le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan. Il s’agit de Marie-Odette Lorougnon, Sébastien Dano Djédjé, Koné Boubacar, Augustin Guéhoun, Tapé Kipré, Bamba Massani, Dédi Seri, Jean-Gervais Tchéidé, etc.
Ils sont arrivés aux environs de 11h accompagnés par quelques journalistes. Mais les agents de la police requis par la direction générale pour assurer la sécurité du bâtiment, du matériel et des agents qui travaillent sur les lieux, ont gentiment prié les visiteurs d’un autre genre de retourner tranquillement d’où ils étaient venus. Parce qu’aucune passation de charges n’était prévue. Ils ont insisté pour avoir accès à l’enceinte de l’entreprise. Mais les agents de police sont restés inflexibles.
Il y a eu alors quelque un moment de colère. César Etou a crié haut et fort qu’il serait le patron de l’entreprise et qu’il n’y a pas de raison de l’empêcher d’y accéder. Bamba Massani a lancé des injures aux agents de Notre Voie qu’elle voyait par les fenêtres. Koné Boubacar a dit à Robert Krassault, chef de service politique, qu’il ne sera plus journaliste à Notre Voie d’ici deux jours.
Vers 13h, sous la pluie, les visiteurs du jour se sont dispersés sans aucune brutalité. Avec la promesse qu’ils reviendront. Quand ? Aujourd’hui ? Demain ? Nul ne le sait encore.
En réalité, César Etou et son groupe savent bien qu’ils ne peuvent pas s’installer de la sorte parce qu’ils n’ont pas la légalité avec eux. Ils savent aussi qu’ils ne peuvent pas réussir le coup de force qu’ils ont tenté hier.
Koukougnon Zabril