Les frondeurs du Front populaire ivoirien (Fpi) ont récidivé, hier mercredi. Une dizaine d’entre eux se sont à nouveau attroupés devant les locaux de Notre Voie à la Riviera-Palmeraie. . Ils disent être venus installer les nouveaux dirigeants de la Refondation S.A qui auraient été nommés par un conseil d’administration qui n’existe qu’à leurs yeux. Le spectacle qu’ils ont servi aux badauds était totalement pitoyable.
Après leur premier passage sans succès, lundi dernier, les anti-Affi ont encore échoué, hier, dans leur tentative de faire main basse sur le quotidien Notre Voie. Marie-Odette Lorougnon, Sébastien Dano Djédjé, Jean-Gervais Tchéidé, Libi Koita, Odette Sauyet Likikouet, André Kouassi, César Etou et Dédy Séri faisaient partie des agitateurs venus assiéger Notre Voie. «Nous sommes venus prendre notre journal», «Nous sommes venus récupérer le journal du Fpi» ou encore «Nous sommes venus prendre le journal de Gbagbo», laissaient-ils entendre comme si Gbagbo les avait mandatés ou s’ils étaient les héritiers de Gbagbo et les seuls dépositaires du Fpi.
Heureusement, les agents de police sollicités par les responsables de l’entreprise depuis un moment n’ont pas cédé aux provocations. Ils ont gardé leur sang-froid pour ne pas tomber dans leur piège. Ainsi les employés ont-ils pu avoir accès à leur lieu de travail. C’est finalement aux environs de 11 h que Pr. Dano Djédjé a demandé à ses amis frondeurs de se retirer.
On ne comprend vraiment pas la démarche de ces gens qui disent être militants du Fpi et qui ont lancé une fatwa contre ce journal cherchent coûte que coûte à le contrôler. Ils disent avoir leurs journaux à eux pour les aider dans leur combat. Alors pourquoi courir derrière Notre Voie ? C’est curieux et même incompréhensible.
B.K.
Après leur premier passage sans succès, lundi dernier, les anti-Affi ont encore échoué, hier, dans leur tentative de faire main basse sur le quotidien Notre Voie. Marie-Odette Lorougnon, Sébastien Dano Djédjé, Jean-Gervais Tchéidé, Libi Koita, Odette Sauyet Likikouet, André Kouassi, César Etou et Dédy Séri faisaient partie des agitateurs venus assiéger Notre Voie. «Nous sommes venus prendre notre journal», «Nous sommes venus récupérer le journal du Fpi» ou encore «Nous sommes venus prendre le journal de Gbagbo», laissaient-ils entendre comme si Gbagbo les avait mandatés ou s’ils étaient les héritiers de Gbagbo et les seuls dépositaires du Fpi.
Heureusement, les agents de police sollicités par les responsables de l’entreprise depuis un moment n’ont pas cédé aux provocations. Ils ont gardé leur sang-froid pour ne pas tomber dans leur piège. Ainsi les employés ont-ils pu avoir accès à leur lieu de travail. C’est finalement aux environs de 11 h que Pr. Dano Djédjé a demandé à ses amis frondeurs de se retirer.
On ne comprend vraiment pas la démarche de ces gens qui disent être militants du Fpi et qui ont lancé une fatwa contre ce journal cherchent coûte que coûte à le contrôler. Ils disent avoir leurs journaux à eux pour les aider dans leur combat. Alors pourquoi courir derrière Notre Voie ? C’est curieux et même incompréhensible.
B.K.